En vrac de milieu de semaine…

Un petit billet en ce pluvieux mois de décembre. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que je vais me prendre des commentaires rageux utilisant le réseau TOR qui seront donc tués à vue 🙂

Côté informatique :

  • Si vous aimez Linux From Scratch et ne jurez que par ce projet, la NuTyX 20.12.0 est disponible avec pas mal de petites choses. Les notes de publication en français sont assez copieuses.
  • Dans la série « Elle bouge toujours, tant mieux pour les personnes qui l’utilisent », je demande la deuxième bêta de la Mageia 8. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • Pour les fans de compilation, je demande la Crux 3.6.x qui a jadis servi de base de réflexion à une distribution peu connue, Archlinux. Plus d’infos sur les notes de publication.

Côté culture :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne fin de journée 🙂

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 37 : Téléchat.

Cette série a traumatisé mon enfance, en duo avec l’énigmatique et flippant « Tripods ». Nous sommes en 1983, et Roland Topor décide de proposer une émission satirique sur la télévision où les animateurs sont des animaux et les objets vivants.

Rien que le générique, dépressif à souhait, donne le bourdon.

Le tout passait en même temps qu’une émission célèbre, Récré A2. Il est vrai que ce sont des épisodes de 5 minutes, donc c’était juste une pastille à l’humour décalé. Entre Grouchat et son éternel plâtre, Lola l’autruche qui co-présente l’émission, les objets plus ou moins bizarres comme l’huissier de justice qui est aussi un fer à repasser, les gluons des objets, Mic-Mac le micro de Grouchat, on est dans le grand délire.

Tout y est caricaturé, spécialement les publicités avec le pauvre singe Pub-Pub qui se fait traiter de tous les noms par une voix off, peut-être le responsable des produits Nul ?


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Culture et confinement, épisode 5.

Voici ce que j’espère être le dernier épisode pour une longue période. On va parler musique, car il y a de quoi faire, vu le nombre impressionnant de sorties d’artistes que je suis en cette fin d’année 2020.

Dans les sorties à venir :

  • Le groupe de progressive heavy metal anglais Kylver annonce la sortie pour le 5 février 2021 d’un album live uniquement au format numérique, « The Plague Tapes ».
  • Le groupe de pop folk anglais Model Village annonce pour le 12 février 2021 la sortie de son nouvel album « World of Carp ».

Dans les sorties récentes ?

  • Le duo russe iamthemorning propose un nouvel EP, « Counting The Ghosts ».
  • Le groupe de musique électronique ambiante Cosmic Ground a sorti son 6e album, intitulé « 0110 », 6 en binaire 🙂
  • Puisque j’écris ce billet en plein mois de décembre, autant parler de l’EP au format numérique du duo Mourning Dove « Silent Night » qui reprend des classiques de Noël.
  • Si vous aimez le jazz qui joue l’improvisation, l’album « Ritual for Expansion » du trio Maggliocchi, Metcalfe et Wacrenier sorti chez Le Fondeur de Son sera pour vous.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bonne fin de journée !

Culture et confinement, épisode 4.

Je dois dire que je profite de ce deuxième confinement pour me faire quelques plaisirs culturels, comme découvrir des films vieux de plus de 25 ans dont ma connaissance se limitait à une affiche et parfois une bande annonce.

Le premier film dont j’ai envie de parler, c’est « The Shawshank Redemption », connu en France sous le nom « Les évadés ». L’histoire se déroule sur une vingtaine d’années et raconte les mésaventures de Andrew Dufresnes, joué par Tim Robbins, accusé à tort du meurtre de sa femme et de son amant et de ses compagnons de mésaventures dont un magistral Morgan Freeman dans le role de Red, le « brocanteur » de la prison qui arrive à tout faire passer, même les objets les plus incongrus.

Je dois dire que c’est un film qui passe sans qu’on s’en rende compte. Il dure plus de 2 heures et il m’a littéralement collé à l’écran. C’est un film très dur, surtout quand on voit des gardiens tabasser à mort des détenus – mais qui vous prend aussi aux tripes. Un peu comme « La ligne verte ».

Dans la série « grands classiques que j’ai enfin vu », parlons d’un des films les plus connus de l’année 1957, « 12 Angry Men » ou « 12 hommes en colère » de Sidney Lumet. Dans ce drame, on vit les débats houleux d’un jury qui doit décider d’envoyer sur la chaise électrique un jeune homme de 18 ans. Henry Fonda, le juré n°8 est le seul à ne pas croire en la culpabilité de l’accusé.

Dans cette tragédie qui unient les trois unités (temps, lieu et action), on voit le combat mené par Henry Fonda. On ignore jusqu’à la fin quelle sera la décision du jury. Le film n’a pas trop mal vieilli, surtout quand on se souvient que le film a été tourné au milieu des années 1950.

C’est tout pour cet article. En espérant vous avoir donné envie de voir ou revoir deux classiques du cinéma américain, loin des « blockbusters » actuels au scénario qui tiennent sur un ticket de métro 🙂

« Throne Legacy », un superbe hommage à un grand classique des jeux vidéos, « L’Aigle d’Or ».

C’est en regardant les résultats du concours CPC Retro Dev 2020 que j’ai pu voir qu’un jeu du nom de « Throne Legacy », hommage fortement appuyé au grand classique de 1984 « L’Aigle d’Or » finissait 6e sur un total de 36 finalistes.

C’est un jeu uniquement en anglais (dommage !) développé par Arnaud Bouche qui envoit sur le plan technique dès le départ : écran de présentation en overscan (plein écran), sprites énormes et colorés, une jouabilité bien pensée – même si je ne suis pas fan des touches attribuées par défaut – et surtout des graphismes qui donnent pas si mal que cela, spécialement pour de l’Amstrad CPC.

J’ai pu noter que l’effet de rasters et que la musique d’intro sont celles de « The Shadows of Sergoth ». Autant récupérer ce qui fonctionne, non ? Je remercie Amstrad Maniaque pour le « longplay » concernant « The Shadows of Sergoth ».

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