Deux mois avec Xfce 4.12.0 : quel bilan ?

Il y a environ 2 mois, j’installais en dur Xfce en lieu et place de Gnome 3.14.2, après presque 4 années passées sous Gnome Shell.

En mars 2015, j’écrivais déjà un article dithyrambique sur mes trois premières semaines passées avec l’environnement Xfce.

Je concluais l’article ainsi :

Xfce est devenu un choix de tranquillité en ce qui me concerne. Même si la sortie de Gnome 3.16 est très proche au moment où je rédige cet article (le 22 mars 2015, la sortie étant pour le 26 mars 2015), je pense rester avec l’environnement dont le développement de la nouvelle version a pris près de 3 ans.

Cela ne m’empêchera pas de faire quelques tests en machine virtuelle. Quant à migrer de nouveau vers Gnome, ce n’est pas encore à l’ordre du jour !

Cinq semaines sont passées, et je dois dire que je suis toujours avec Xfce. Dépasser la barre des deux mois est déjà pas si mal. J’avoue que je me surprend à utiliser encore Xfce. Au point que j’en viens à préférer faire mumuse avec des OS libres proposant Xfce. J’aurais bien fait un article sur OpenBSD 5.7, mais contrairement à ce que j’écrivais dans l’article de mars 2015, OpenBSD a fait marche arrière et est revenu sagement à Xfce 4.10. Dommage !

J’ai conservé quelques outils de l’environnement Gnome car les outils proposés par l’environnement Xfce ne me convenait pas : Brasero (pour la gravure de galettes), SoundJuicer (pour ripper les galettes que j’ai acheté), Evince (pour la lecture des fichiers) et File-Roller (pour les archives).

Sinon, tout le reste sont des outils développés en gtk, donc neutre au niveau de l’environnement et qui pourrait tout aussi bien s’intégrer dans Gnome, Mate Desktop, Cinnamon ou encore Lxde.

Le gros point noir étant le jeu d’icones. Depuis l’installation de Xfce, j’en ai changé plusieurs fois. D’abord celui de FerrariOS elementaryOS porté pour Xfce, puis le thème Faience et finalement, j’ai décidé d’installer le jeu d’icone Tango, malheureusement « rétrogradé » sur AUR, à savoir les paquets tango-icon-theme et tango-icon-theme-extras.

Xfce mai 2015 avec les icones tango

D’accord, le jeu d’icones fait vieux, mais on échappe aux émétiques aplaties icônes Numix.

Outre le fait que j’ai parfois l’impression d’utiliser un SSD en lieu de mon disque dur mécanique (ne serait-ce qu’au lancement de l’environnement), je ne regrette pas vraiment pas la migration. Prochain cap ? Les 6 mois d’utilisation. Rendez-vous début septembre prochain pour faire un bilan.

La beauté, c’est vraiment relatif… Spécialement en informatique libre :)

La beauté est une notion toute relative, spécialement en informatique libre avec le thème d’icone aplatie en cette année 2015. Mais je ne vais pas revenir sur des icones qui ressemblent à des dessins de maternelle mal finis. Non, je vais parler dans cet article d’une énième dérivée de la Xubuntu LTS, j’ai nommé BellaOS.

Addition toute fraiche à la liste des distributions indexées sur Distrowatch (elle fait donc partie des 290 distributions encore vivantes), la BellaOS est pour schématiser une Xubuntu à laquelle on aurait rajouté Plank (le dock du projet ElementaryOS), avec le menu Whisker, Banshee, un fond d’écran à la MacOS-X.

La version 2.2 du projet a été annoncé récemment sur la page d’accueil de Distrowatch. Elle ne semble exister qu’en 64 bits. Je l’ai donc récupéré depuis l’espace sourceforge. Apparemment, c’est aussi la première version disponible en téléchargement.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
–2015-04-11 14:34:08– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1649410048 (1,5G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Bella-OS-2.2-64bit.iso »

Bella-OS-2.2-64bit. 100%[=====================>] 1,54G 2,52MB/s ds 10m 52s

2015-04-11 14:45:00 (2,41 MB/s) — « Bella-OS-2.2-64bit.iso » sauvegardé [1649410048/1649410048]

J’ai ensuite lancé VirtualBox pour voir cette énième dérivée de Xubuntu LTS en action.

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Pour changer des distributions GNU/Linux remplissant les poubelles à cause de leurs inutilités, parlons de la Emmabuntus 3 1.01 et de la HandyLinux 2.0 béta.

Derrière ce titre coup de gueule se cache une lassitude devant la propagation de distributions GNU/Linux comme la Manjaro Linux Unity, édition communautaire du projet Manjaro Linux qui n’apporte rien au schmilblick, loin de là.

On peut dire qu’il est marrant de tester des distributions dont les créateurs possèdent un égo qui donnerait une indigestion à un trou noir supermassif. C’est marrant, mais au bout d’une demi-douzaine, la lassitude arrive et on ne trouve plus de mots assez acides ni cinglant pour renouveller son vocabulaire.

Dans cet article, j’ai eu envie de changer un peu et de parler de distributions GNU/Linux vraiment utiles. Malgré ce que l’on pourrait penser, il n’est pas nécessaire de rester avec les distributions mères (du genre Debian GNU/Linux, Gentoo linux, Slackware Linux, Fedora Linux ou encore Archlinux) pour avoir des produits intéressants.

Leurs filles sont toutes autant intéressantes, que ce soit Ubuntu (avec sa floppée de dérivées officielles), la Manjaro Linux ou encore la Funtoo Linux.

Si on rajoute un cran, il ne reste plus grand monde, mis à part la distribution au goût de menthe. On pourrait rajouter la Emmabuntüs, dont j’ai déjà parlé plusieurs fois sur le blog, la dernière fois en août 2014.

Fin mars 2015, la première révision mineure de la Emmabuntüs 3 est sortie.

Basée sur la Xubuntu 14.04.2, elle apporte toujours sa floppée de logiciels qui permettent d’équiper un ordinateur avec une connexion réseau faible, en clair, largement en dessous de la moyenne européenne en terme de vitesse.

Cela permet d’allonger la durée de vie des ordinateurs et limite ainsi le gaspillage et la pollution. Seul une censure d’une quinzaine de jurons bien chatiés de problème de résolution écran après l’installation dans VirtualBox qui nécessite la recompilation des pilotes additionnels au lieu de simplement installer le paquet disponible. Un bug de la Xubuntu 14.04.2 apparemment. Du moins, selon les retours que j’en ai eu.

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Prenez une pincée de Debian GNU/Linux, une pincée d’Illumos, vous obtiendrez Dyson.

Dyson est un projet hybride intéressant. En partant de la Debian GNU/Linux (qui propose aussi des noyaux autres que linux avec des projets comme Debian GNU/kFreeBSD ou pour les plus que barbus, la Debian GNU/Hurd), le projet Dyson a une approche différente : celle de proposer le noyau illumos.

Illumos ? C’est le descendant du projet OpenSolaris mis à mort par Oracle après le rachat de Sun Microsystems en janvier 2010. J’ai parlé rapidement plusieurs fois du projet OpenSolaris sur mon blog, dans les années 2008 et 2009.

Comme pour le monde linuxien, Illumos propose le noyau, et il existe plusieurs distributions. Dans le domaine des version grands publics, il n’y a pas énormément de choix en dehors de la Dyson : OpenIndiana, OpenSXCE et XStreamOS.

J’ai décidé de parler de la Dyson, car c’est un projet qui est sur la liste d’attente de distrowatch depuis pas mal de temps. Depuis juin 2009 pour être plus précis : « Dyson (submitted on 2009-06-05) »

La dernière ISO installable date d’octobre 2014, et j’ai donc récupéré l’énorme ISO (100 Mo environ) depuis le répertoire http://ftp.osdyson.org/iso/2014-10-08/.

Ensuite, j’ai créé une machine virtuelle en utilisant le modèle « OpenSolaris 11.x » de VirtualBox.

Une fois la version « lacaille » lancée, on arrive sur l’installateur qui est en anglais du début à la fin.

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Kademar Linux : de la robustesse (ou pas ?) des distributions Rolling Release…

Les distributions en publication continue alias rolling release ont souvent la mauvaise réputation d’être difficilement maintenable si on les « laisse pourrir sur pied » sans faire de mise à jour régulière.

Dans cet article, j’ai eu envie de voir si cette réputation est complètement justifiée ou pas. Je suis parti d’une distribution GNU/Linux espagnole du nom de Kademar Linux. Sur sa fiche distrowatch, on peut constater que la dernière sortie date de mai 2014, avec la version 5.0 du projet. J’ai même retrouvé l’annonce de publication datant de juin 2014.

Cette distribution se décline en trois éditions : La escritorio (avec KDE SC), la Bitnami (avec le duo Joomla et Bitnami) et la Khronos (avec Xfce).

J’ai donc pris l’ISO de la version Khronos, et je l’ai lancé dans une machine virtuelle VirtualBox.

Dès le démarrage, on a le choix de plusieurs langues, dont l’espagnol, le russe, le français, le chinois, l’anglais, le basque, le galicien ou encore l’italien.

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L’avenir du bureau libre sera-t-il à terme basé sur du BSD ?

Cette question m’est venue à l’esprit lors de la sortie de Xfce 4.12. Sur l’article qui liste les nouveautés, on peut lire :

A note on Xfce’s portability

All but one of those screenshots were taken on machines running OpenBSD-current, a good proof that Xfce is still portable and friendly to all Unix systems.

Ce qu’on peut traduire par :

Une note sur la portabilité de Xfce

Toutes les captures d’écran sauf une ont été prises sur des machines sous OpenBSD-current, une bonne preuve que Xfce est encore portable et convivial envers tous les systèmes Unix.

J’avoue que quand j’ai lu cela, je suis tombé sur le popotin. Un autre élément qui me fait avancer dans cette réflexion, c’est un article de Cyrille Borne, qui bien qu’étant un peu excessif sur certains plans n’est pas complètement faux dans son diagnostic.

[…]Le raisonnement se tient totalement en précisant que si on utilise du logiciel libre c’est pour être libre et pas pour avoir quelqu’un qui décide à votre place.
[…]
A une informatique libre, je préfère une informatique solidaire, plutôt qu’une informatique élitiste, une informatique pas faite pour cent personnes mais pour des millions.
[…]
J’ai la sensation de voir une bande d’ados révolutionnaires paranoiaques qui crachent de façon systématique dans la soupe et je dois vous confier mon profond sentiment de lassitude. Je ne peux aujourd’hui cautionner des gens qui ont oublié le but de l’informatique, simplifier les tâches pour le plus grand nombre. Je ne peux aujourd’hui cautionner des gens qui ont oublié le but de l’informatique libre, rendre l’informatique plus juste. Quand Richard Stallman s’attaque à son imprimante pour la débloquer c’est pour la rendre meilleure, quand Linus Torvald lance Linux c’est pour s’affranchir de Microsoft et des autres ténors de l’informatique.
[…]
Les énervés prennent désormais tellement de place sur la toile qu’on ne voit qu’eux, j’aurai personnellement peur d’être amalgamé, rayez donc sur la carte blogueur libre, encore heureux que j’ai suicidé blog libre on pourrait encore faire la confusion.

Il est vrai que Cyrille Borne fait parfois des articles à l’emporte-pièce, mais sur le fond, il n’a pas complètement tord.

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Expérience « geekienne » : Xfce 4.12 en dur sur Archlinux.

Dans un article de début mars 2015, je disais comment rajouter, rapidement, un exemplaire de Xfce 4.12 sur une Archlinux fraichement installée.

J’ai eu envie de sauter le pas et d’installer Xfce sur mon PC principal. Après avoir viré Gnome et les fichiers de configuration en relation, j’ai installé Xfce en suivant les instructions de l’article de début mars 2015.

Cependant, durant les premières 24 heures, j’ai comblé certains trous que j’avais laissé béant.

Par exemple, l’ajout d’une calculatrice (Galculator), d’une interface à ffmpeg pour avoir des aperçus des fichiers vidéo (ffmpegthumbnailer), et de certains outils Gnome dont j’ai du mal à me passer : Evince (pour les fichiers pdfs), Shotwell, Gnome Mplayer, Sound-Juicer et Brasero.

Pour le verrouillage d’écran ? xscreensaver.

Sans oublier l’extension gvfs-smb pour que Thunar puisse accéder au disque dur de ma freebox révolution.

J’ai ensuite personnalisé l’environnement selon mes goûts : remplacement de l’applet date d’Orage par « dateheure » qui me permet d’avoir le duo jour et heure, la météo, l’applet de gestion du son, celle pour surveiller les coeurs du CPU de mon ordinateur.

J’ai aussi remplacer le menu classique de Xfce par Whisker. Après quelques heures d’adaptation, je dois dire qu’il est très agréable d’emploi.

Pour le « dock », j’ai rajouter des raccourcis pour mon client courrier et l’éditeur de texte mousepad.

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Installer Xfce 4.12 sur Archlinux avec un peu d’avance… Que c’est complexe… ou pas :)

Je publie mensuellement un tutoriel pour installer une Archlinux, et l’un des addenda est consacré à Xfce. La sortie de la version 4.12.0 fin février 2015, et le fait que l’ensemble soit disponible en moins de 24 heures m’a donné envie de rédiger ce billet pour que vous puissiez – si vous êtes suffisamment courageux – avoir Xfce 4.12 un peu en avance.

C’est un billet qui aura une courte durée de vie, mais c’est juste pour le plaisir que je l’ai fait. Il vous faut comme base une Archlinux avec les dépots « testings » activés (le temps que les paquets de Xfce 4.12 arrive sur les dépots stables), avec Xorg préinstallé et fonctionnel. Il est en quelque sorte complémentaire au tutoriel fraichement publié.

Pour installer la base de Xfce 4.12, il y a deux étapes. Si vous migrez une Archlinux avec Xfce 4.10 préinstallé, l’étape de modification du fichier /etc/pacman.conf sera inutile.

Donc, quand vous êtes connecté en tant qu’utilisateur normal, il faut commencer par modifier le fichier /etc/pacman.conf pour qu’un paquet soit ignoré. En effet, sinon, on a droit à ça : Un conflit qui bloque l’installation.

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En vrac’ de début de semaine.

Pour commencer la dernière semaine de ce mois de février 2015, un en vrac’ varié. Commençons par le logiciel libre.

Et en mode fourre-tout ? 🙂

Voila, c’est tout pour aujourd’hui !

AryaLinux : une Linux From Scratch scriptée.

Il existe deux familles de distributions GNU/Linux : celles basées sur des paquets précompilés, et celles qui compilent les paquets à partir des codes sources.

Dans la deuxième famille, on trouve les distributions qui proposent une base déjà compilée (comme pour la Gentoo Linux, sa cousine la Funtoo Linux, la Lunar-Linux ou encore la Crux), et d’autres qui partent de rien et compile tout, même le compilateur.

Dans ce cas, on trouve essentiellement des distributions comme la Kaarpux (qui bloque au moment où j’écris cet article, le 20 février 2015 au niveau de la récupération des codes sources), ou la Linux From Scratch qui tient à la fois de la distribution et du manuel d’emploi pour créer sa propre distribution en mode « je suis un gros fondu d’informatique ».

Il n’y a que peu de distributions qui prennent comme base la LFS. Outre la NuTyX, il y a aussi un projet dont j’ai entendu parlé récemment, la AryaLinux. Sauf erreur de ma part, elle est uniquement disponible en version 32 bits.

Après avoir discuté avec son auteur, Chandrakant Singh, j’ai appris que la première AryaLinux sera basée sur la LFS et son complément la BLFS en version 7.5, datant de mars 2014.

Cependant, l’auteur m’a assuré que la version suivante serait basé sur le duo LFS/BLFS 7.6 avec systemd activé, sorti en septembre 2014. J’entends déjà grincer des dents.

J’ai donc récupéré l’ISO, et j’ai lancé l’ensemble dans une machine VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://softlayer-ams.dl.sourceforge.net/project/aryalinux/aryalinux-builder-i686-1.0/iso/aryalinux-i686.iso
–2015-02-19 20:23:02– http://softlayer-ams.dl.sourceforge.net/project/aryalinux/aryalinux-builder-i686-1.0/iso/aryalinux-i686.iso
Résolution de softlayer-ams.dl.sourceforge.net (softlayer-ams.dl.sourceforge.net)… 37.58.69.140
Connexion à softlayer-ams.dl.sourceforge.net (softlayer-ams.dl.sourceforge.net)|37.58.69.140|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2770057216 (2,6G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « aryalinux-i686.iso »

aryalinux-i686.iso 100%[=====================>] 2,58G 1,36MB/s ds 24m 40ss

2015-02-19 20:47:42 (1,79 MB/s) — « aryalinux-i686.iso » sauvegardé [2770057216/2770057216]

La seule étape non automatisée, c’est la création du partitionnement du disque. Ensuite, il suffit de lancer les scripts contenus dans le répertoire /sources/

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