Je m’étais juré, après un billet gueulante du mois d’avril 2015 de ne plus parler du projet elementaryOS. Cependant, la sortie de la version 0.4 de la distribution en question me donne une occasion d’exprimer mon point de vue sur ce projet.
Ici, on retrouve le syndrome « iPhone 7 ». Le dernier smartphone, au moment où je rédige cet article, a fait sauté une technologie fonctionnelle et vieille de plus de 130 ans, le port jack au nom du progrès technique… Et pour imposer le passage à un port « made in Cupertino » pour à la fois charger le téléphone et y brancher un casque. En gros, comme l’USB, sauf que c’est une technologie brevetée par Apple.
La distribution elementaryOS fait quelque chose d’équivalent dans son domaine, et j’y reviendrai plus longuement par la suite.
Dans la note de publication de la elementaryOS basée sur la Ubuntu 16.04 LTS, on apprend en grande pompe l’arrivée de nouveaux indicateurs dynamique (comme ceux de Gnome 3.x ?), l’arrivée d’un outil de contrôle parental, qu’Epiphany a foutu un coup de pied dans les roustons de Midori pour la navigation web.
Bien entendu, il y a les phrases classiques l’amélioration des performances, des logiciels. Bref, l’argumentaire classique pour justifier une version majeure.
Après avoir récupéré l’image ISO via bittorrent depuis la page de téléchargement – dont la présentation est toujours aussi maladroite et qui n’a pas changé depuis ma gueulante d’avril 2015 – j’ai lancé mon ami VirtualBox pour faire mumuse avec la nouvelle version majeure de la distribution.