Les utilisateurs de Manjaro Linux, Antergos et autres dérivées d’Archlinux se méprennent-ils sur AUR ?

AUR, alias Archlinux User Repository, qu’on peut traduire par Dépots des utilisateurs d’Archlinux est un peu le grand fourre-tout et le banc d’essai de certains logiciels avant leur inclusion dans les dépots officiels. C’est un grand livre de recettes, si on peut prendre une comparaison culinaire.

Comme tout grand fourre-tout, on trouve tout et n’importe quoi. Des versions de développements de logiciels, des noyaux alternatifs, des émulateurs ou encore des pilotes pour certains matériels comme nos chères imprimantes.

Cependant, un problème apparaît, que ce soit chez les utilisateurs d’Archlinux ou des distributions dérivées : l’oubli qu’AUR est un dépot géré par les utilisateurs, et par conséquent l’excellent cotoie le pire. Je maintiens une quinzaine de paquets et c’est pas si évident que cela, je dois l’avouer.

C’est précisé en toute lettre sur le site officiel d’AUR, quand on active l’interface en français (le message est strictement identique en anglais) :

AVERTISSEMENT
Les paquets non supportés sont produits par des utilisateurs. Toute utilisation des fichiers fournis se fait à vos propres risques.

Il est en effet facile d’oublier cet avertissement. Il faudrait pourtant se souvenir d’une règle de base : AUR n’est à employer que si l’on ne trouve pas ce que l’on cherche sur les dépots officiels.

D’ailleurs, j’ai une vingtaine de paquets en provenance d’AUR sur ma machine, juste ce qu’il faut pour mon matériel, la gestion de mes fichiers musicaux ou encore la lecture de flux RSS, dixit la sortie de yaourt :


[fred@fredo-arch ~]$ yaourt -Qam
aur/artefetcher-qt4 0.4.2-1
aur/envypn-font 1.6.2-1
aur/epson-inkjet-printer-workforce-320-sx218 1.0.0-8
aur/flac2mp3-bash 1.0-4
aur/gnome-shell-extension-weather-git 20140329-1
aur/google-musicmanager 1.0.117.4968_r0-1
aur/google-talkplugin 5.4.2.0-1
aur/iscan 2.29.3-7
aur/iscan-data 1.29.0-1
aur/kazam 1.4.4-1
aur/liferea-git 1.11.r5134.g5f1fbcd-1
aur/localepurge 0.7.3.2-1
aur/ovmf-bin 15214-1
aur/package-query 1.4-1
aur/pyrenamer 0.6.0-9
aur/ttf-ms-fonts 2.0-10
aur/virtualbox-ext-oracle 4.3.14-1
aur/xsane2tess 1.0-7
aur/yaourt 1.5-1

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ElementaryOS « Freya » beta 1 : tout ça pour ça ?

La sortie officielle de la beta 1 de la ElementaryOS « Freya » met fin à un battage médiatique qui court depuis le début de l’année 2014 dans le petit monde des distributions GNU/Linux.

Basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, elle apporte une interface « novatrice » (sauf si on connait l’apparence générale de MacOS-X), Pantheon. On apprend dans les notes de publications que cette première béta est basée sur Ubuntu 14.04.1 LTS, qu’un outil de gestion de comptes en ligne spécifique nommé « Pantheon Online Accounts« , que le support de l’UEFI est encore en cours. Sans oublier une poignée de bugs typiques d’une version béta.

Qui dit Ubuntu 14.04.1 LTS, dit noyau linux 3.13 (abandonnées par les développeurs depuis le 22 avril 2014, problème lié au gel de la Ubuntu 14.04.x LTS), mais aussi une salo…saleté de bug quand on installe une Ubuntu 14.04.x (ou une de ses dérivées) dans VirtualBox : une résolution maximale de 640×480. Il faut alors installer le paquet virtualbox-guest-x11 et redémarrer pour contourner le dit problème.

J’ai récupéré via Bittorrent l’ISO (comme conseillé) dans l’article qui annonce la sortie de la version « Freya » béta 1 d’ElementaryOS, et j’ai ensuite créé une machine virtuelle VirtualBox pour la suite de l’article.

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Coup de gueule de vacances : et oui, le mot consommateur est constitué de quatre syllabes.

Dans un article qui arracherait des larmes à un crocodile empaillé, Jean Labadie, un producteur et distributeur de films se plaint, et je cite :

[…]Hadopi première version n’était pas parfait mais menaçait de sanctions ceux qui volaient (car, oui, le piratage est un vol) les ayants droit, auteurs, producteurs ou diffuseurs de films. Votre gouvernement n’a eu de cesse que de détruire cette entité sans avoir jamais, en deux ans, proposé une quelconque riposte contre les contrevenants. Pourquoi dans ce cas ne pas laisser chacun se servir dans les magasins d’alimentation ou de prêt-à-porter ? Ne serait-il pas aussi légitime de se vêtir et de manger à sa faim sans payer ?[…] »

Outre le fait qu’un fichier copié n’est pas volé, du moins au sens du Code Pénal, article 313-1 :
« Le vol est la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui. » et que la copie est définie comme étant : la « Reproduction d’une œuvre d’art, d’un bijou, d’une photo, etc.. », donc en faire un double, et qui reviendrait à dire que mathématiquement une soustraction est la même chose qu’une division, on peut voir que l’industrie du cinéma n’a pas compris qu’elle défend l’indéfendable.

L’article défend une VOD qui saucissonnerait la planète. Cela me rappelle quelque chose, une hérésie, une saloperie une source d’emmerdements sans fin : le zonage des DVDs.

Si les CDs et les VHS ont eu un énorme succès, c’était qu’il n’y avait pas de limitation géographique. Qui fait que je peux acheter un CD aux Etats-Unis ou au Japon auprès d’un artistes inconnus des grands catalogues et que ma platine peut les lire sans installer d’adaptateurs. C’est du « j’insère le CD et ça le lit. »

C’est trop simple à comprendre ou encore à mettre en oeuvre ?

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Versions remastérisées deluxe des albums de Led Zeppelin : le foutage de gueule XXXL continue.

Dans un article du 17 juillet 2014, je parlais du foutage de gueule et soyons clair la sodomie financière que sont les nouvelles versions deluxe des albums de Led Zeppelin.

Vous en voulez une nouvelle dose ? Je demande les versions deluxe des albums Led Zepellin IV alias Zoso et Houses of the Holy. Elles sortiront le 28 octobre 2014.

Les bonus sont tellement inintéressants qu’on se demande si on prends les amoureux de musiques pour des débiles profonds.

Contrairement au premier album qui bénéficie d’un bonus intéressant (Un concert de 1969 à l’Olympia), les albums suivants ne propose que des versions remixées ou alternatives d’un intérêt proche de moins l’infini.

Si on regarde la fiche de l’album « Houses of the Holy », les bonus sont des versions différentes de l’album d’origine, modulo l’absence du morceau reggae D’yer Mak’er. Aucun titre inédit ou soyons fou, une prestation live.

Pour l’album Led Zeppelin IV ? Pas de listing des CDs, mais juste une indication sur la fiche qui ne laisse aucun doute : « Version 2CD Deluxe reproduisant la pochette originale et le nouvel artwork en « négatif » pour les contenus « compagnons ». L’album original est nouvellement remasterisé. Le second CD audio (disque « compagnon ») propose des prises alternatives studio jamais publiées. Livret de 16 pages. »

Chaque album pour la somme modique de 16,99€ pièce. Un bon conseil, allez sur Price Minister ou profitez des promotions que fait parfois la Fnac dans ses rayons pour avoir l’album à petit prix. Inutile de vous ruiner pour de telles produits !

Je dis cela, mais c’est vous qui décidez. Mais la sodomie de portefeuille pour des versions deluxes dont les bonus sont sans aucun intérêt, j’ai donné merci !

Ah, la fausse diversité dans le domaine des navigateurs internet :)

Il y a plus d’un an, je parlais de la mort de Camino, un navigateur internet pour MacOS-X qui enrobait le coeur de rendu de Mozilla Firefox (Gecko) dans une interface prévue pour MacOS-X et ses technologies.

J’ai entendu d’un énième navigateur basée sur le composant Webkit de QT reprenant l’interface historique d’Opera (jusqu’à sa version 12) m’a donné envie de faire un point sur la fausse diversité des navigateurs web.

Car il faut le dire, depuis la lente mise à mort d’Opera 12.xx, côté diversité, c’est vraiment nul à se vider les intestins sur un rythme de techno.

En gros pour résumer, il y a trois familles, une seule étant spécifique à MS-Windows. Avec quelques miettes pour des navigateurs alternatifs, car dans des domaines où les poids lourds du secteur sont justement trop lourds ! 🙂

La première famille, c’est justement celle du moteur de rendu d’Internet Explorer, alias Trident qui est en version 7.0 en 2014.

C’est aussi la base d’une floppée de surcouche comme AvantBrowser ou encore Maxthon pour ne citer que les deux plus célèbres.

La deuxième famille est celle de Gecko et donc de Mozilla Firefox et Seamonkey principalement.

La troisième famille, c’est celle de Webkit et de son cousin germain Blink. Ici, on trouve : Chrom(ium)e, Opera (depuis sa version 15.x), Safari (uniquement sur MacOS-X), Midori, Web (le navigateur de Gnome), QupZilla, et encore une tripotée de navigateurs dont je suis certain que j’en oublierais la moitié au passage !

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Je suis un vilain idéologue, vous l’ignoriez ? :D

J’ai reçu un courrier enflammé de la part d’une personne travaillant pour un site que j’avais employé dans un vieil article concernant mon point de vue sur la dangerosité intrinsèque de faire dépendre le financement d’un site internet par la seule manne publicitaire. Un vieux billet d’avril 2014 avec une vidéo à l’appui.

Apparemment, ayant froissé certaines sensibilités d’un site qui doit avoir 20 à 30 fois plus de visites quotidiennement que mon humble blog, dont le pic a été une journée à 2500 pages vues, et qu’un article vu peut-être une centaine de fois depuis sa rédaction a été source d’un fil de messages où les leçons de morale se sont succédées aux « vous n’y connaissez rien », ou encore « votre métier de blogueur n’a rien à voir avec celui d’éditeur ».

Statistiques juillet 2014

Non seulement, je ne suis pas un blogueur de métier, et s’il y a une cinquantaine de personnes en France métropolitaine qui peuvent le prétendre, ce doit être le bout du monde.

Mais qu’on soit blogueur ou éditeur, on tombe sous le coup de la loi du 29 juillet 1881, dite loi sur la liberté de la presse.

Je suis d’accord, l’humble blogueur que je suis n’a pas à se poser de questions sur comment payer la facture de l’hébergement du blog ou le salaire des collaborateurs. D’ailleurs, dans le respect de la loi de 1881, je préfère par sécurité fermer les commentaires d’un article au bout d’une semaine, les spams ayant tendance à arriver sur les vieux articles.

Des gros sites dits d’informations jouent avec le feu, mélangeant allègrement le publi-rédactionnel avec le vrai rédactionnel, imposent des panneaux infranchissables, des intermèdes musicals ou autre cochoncetés de ce style. Du pousse au crime pour installer un bloqueur de publicité, donc. A cause de cette minorité d’orifice excréteur fessiers, les sites honnêtes et respectueux envers leurs visiteurs payeront les pots cassés.

La principale remarque a été que je suis un idéologue , et je dois dire que je suis en partie d’accord. J’ai des opinions et des idées, je les exprime, je les argumente.

On pourrait appliquer ce terme aussi à Ploum quand il parle du sujet de la publicité sur la toile, que ce soit son coût réel, son coût humain, ou sur un business-model en mal de renouvellement.

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Les distributions GNU/Linux en rolling release, nouvel effet de mode ?

Avec l’annonce de l’arrivée d’une version de la distribution au caméléon en mode rolling release, du moins la transformation de sa branche de développement en version rolling release, on peut se poser la question : les rolling releases, nouvel effet de mode pour les distributions GNU/Linux ?

L’annonce d’OpenSuSE indique que l’introduction d’une version en rolling release permettra de raccourcir la durée nécessaire à la stabilisation des versions classiques et l’abandon des versions intermédiaires. Il est vrai que le cycle atypique de 8 mois n’étaient pas en faveur de la distribution au caméléon, ne serait que quand la version 12.2 était sortie avec 2 mois de retard.

Mais il est vrai que je n’ai jamais eu de chance avec la distribution saurienne, comme à l’époque de la sortie de sa précédente incarnation, la 13.1.

Après cette rapide parenthèse pour justifier l’arrivée d’une version en rolling release, je me demande s’il n’y a pas un effet de mode en ce moment pour populariser ce mode de publication, qu’on peut résumer ainsi : Installer une fois, mettre à jour en continu, ne réinstaller qu’en cas de pépin grave ou de changement d’ordinateur.

Cependant, il convient de faire une classification dans les distributions en rolling release. Il y a les pures et dures, avec mise à jour quotidienne.

Celles qui ont un tampon de stabilisation assez court. Celles qui sont des semi-rolling release et celles qui étaient en rolling et qui sont devenus adeptes des « update packs » avec mise à jour trimestrielles. Je suis resté avec les principales distributions GNU/Linux, en m’excusant pour les éventuels oublis des listes qui suivront.

Dans le premier cas : ArchLinux (et son pendant libre, Parabola GNU/Linux), Gentoo Linux et sa cousine Funtoo Linux, sans oublier Sabayon Linux. Mais on peut aussi rajouter le branche « unstable » de la Debian GNU/Linux, qui ont donné Aptosid et Siduction.

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PeachOS OSI : le syndrôme AUBD en action se mélange à ce qu’il ne faut pas faire…

AUBD ? Another Ubuntu Based Distribution. En fouillant la liste d’attente de Distrowatch, j’ai pu lire ceci : « Peach OSI (submitted on 2014-07-25) ». Ma curiosité ayant été titillée, je suis allé sur le site de la distribution en question.

Et on tombe sur ce qu’il ne faut pas faire. Premier point, une argumentation en carton pâte.

Sur la page qui justifie l’existence de la distribution, nous avons un exercice de xyloglossie parfait, qui montre aussi la modestie du développeur en question.

« Before remastering Ubuntu, the most widely used desktop Distro of Linux, I installed and graded almost 200 Linux Distros, a process that took over 6 months to accomplish. In the end there was only 2 Distros that I could give a grade of an A (I graded them on a scale of A to E with A being the highest grade). I was looking for the perfect system that I could « give » to my family, friends and special clients so that they too could have all the benefits of a Linux system. In the end I had to conclude that, for the most part, most people would not use any of the Linux Distros because they were « just so different » from what they were used to. Then I set about creating a Linux system that anyone with any computer skill level could use. The net result was and is Peach OSI. »

Ce qui nous donne traduit :

Avant de remasteriser Ubuntu, la distribution Linux de bureau la plus largement utilisé, j’ai installé et noté près de 200 distributions, un processus qui a duré plus de 6 mois pour être accompli. En fin de compte il y avait seulement 2 distros auxqulles je pourrais donner une note de A (je les ai notés sur une échelle de A à E, A étant la meilleure note). Je cherchais le système parfait que je pouvais « donner » à ma famille, mes amis et mes clients particuliers afin qu’ils puissent eux aussi avoir tous les avantages d’un système Linux. En fin de compte, j’ai dû conclure que, pour la plupart, la plupart des gens ne sauraient pas utiliser l’une des distributions Linux parce qu’ils étaient «tellement différent » de ce qu’ils avaient utilisés. Alors je me mis à la création d’un système Linux que n’importe qui avec n’importe quel niveau de compétence en informatique pourrait utiliser. Le résultat net a été et reste Peach OSI.

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Ah, les effets de mode… :)

Tout est cyclique, spécialement les modes. J’en veux pour preuve deux domaines qui m’intéressent à savoir celui des romans et des distributions GNU/Linux.

Quelques exemples ?

La saga de l’Héritage de Christopher Paolini. J’ai décroché à la moitié du troisième volume, « Brisingr », tellement l’ennui était palpable. Par la suite, combien de saga avec des dragons ont envahi les étalages ?

Mais n’oublions pas les histoires de vampyres après le succès de la saga Twilight ou encore la série de plus en plus barbante et prévisible des romans policiers de Camilla Läckberg qui sont de moins en moins intéressant depuis le tome 5, « L’enfant allemand ».

Je ne parlerais pas de la mode des polars et autres thrillers qui envahissent les étagères virtuelles ou réelles jusqu’à la nausée.

Combien de livres de saga qui sont des photocopies peu inventives finissent au pilon ?

Je dois dire qu’en dehors de quelques livres, comme « Un Genou à terre« , ou encore « Trois balles dans le buffet« , l’ennui est intégral quand je veux lire un roman policier ou un thriller. Même si je suis tombé sur une exception récemment dont je vous parlerai dans quelques jours, le temps de le finir.

Autant dire que quand j’ai auto-édité mon premier roman, en utilisant un thème de science fiction dystopique, je suis allé à contre courant de la mode actuelle… Ce qui est une très mauvaise idée sur certains plans 🙂

Mais assez parlé de littérature, parlons un peu d’informatique libre.

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Les 3 premiers albums de Led Zeppelin remastérisés, deux tiers de foutage de gueule ?

Le 3 juin dernier, les trois premiers album de Led Zeppelin en version deluxe remastérisés sont sortis. Dans un article des Inrocks daté de mars 2014, on peut avoir la liste des bonus. L’expression de foutage de gueule pour les albums Led Zeppelin II et III peut s’appliquer.

Quel intérêt d’avoir des « roughs mix » en clair des maquettes retravaillées par la suite pour donner les versions finales comme pour le CD bonus de « Led Zeppelin II » ?

Les bonus du troisième album ne sont pas mieux lotis. Mis à part deux inédits et un blues, on voit que c’est le remplissage qui a été la règle.

Le seul album vraiment intéressant au niveau du CD bonus, c’est le premier, avec un concert du groupe à l’Olympia en 1969 où certains titres du premier albums sont repris et améliorés en live.

En clair, si vous n’avez pas les trois premiers albums du groupe anglais, vous pouvez acheter ceux-ci, même si les CDs bonus resteront dans le coffret.

L’offre est à mon avis, un foutage de gueule bien costaud et fait uniquement pour prolonger les droits d’auteurs. Comme avait dit Frank Zappa sur le titre d’un des ses albums qui pastichait « Sgt Peppers » des Beatles : « We’re Only in It for the Money », ce qu’on peut traduire par un : « Nous sommes seulement là pour l’argent ». C’est bien le cas de cette réédition.