Confession rétroludique : la scène Amiga me laisse froid.

Mon parcours informatique, en gros, c’est ça :

  1. Amstrad CPC durant 5 années (1988-1993)
  2. Commodore Amiga 1200 durant 18 mois à 2 ans (1993-1995)
  3. PC depuis 1995, avec une parenthèse Apple en 2004-2005 avec le premier Mac Mini

Ce doit être le parcours de nombreuses personnes ayant commencé l’informatique personnelle dans les années 1980. Cela fait maintenant 36 ans que j’ai touché à mon premier clavier en informatique, le temps passe plutôt vite.

Et cependant, contrairement à certaines personnes, je ne prends aucun plaisir ou presque à lancer UAE via FS-UAE pour émuler un des ordinateurs 16/32 bits de Commodore.

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Confession : Je suis archlinuxo-manjaristo-debianiste et c’est pas plus mal.

Derrière ce titre un peu bizarre, je décris les différents systèmes linux – GNU/Linux pour satisfaire les pisse-froid – que j’ai installé sur mes ordinateurs et autres Raspberry Pi.

Pour Archlinux, j’ai mon PC fixe qui me sert au quotidien et dont l’installation d’Archlinux date de plus de 5 ans.

J’ai aussi un Raspberry Pi 4 – 2 Go qui me sert à diverses tâches et qui fonctionne avec Archlinux ARM.

Pour Manjaro, c’est une installation d’une Tux’n’Vape Mate transformé par la suite en station sous Gnome. L’ordinateur en question date de l’époque de fin MS-Windows Vista début MS-Windows 7. Autant dire qu’il fait son âge.

Pour Debian, c’est la Debian unstable qui fait fonctionner un Asus eeePC 1005 HAG, le tout avec Xfce pour des raisons de mémoire.

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Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

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3615 ma vie : pourquoi le vieux con linuxien que je suis utilise Mate-Desktop au quotidien

Oui, derrière un titre qui sent bon les années 1980-1990, j’ai envie de faire un petit billet rapide digne de la confession.

Oui, j’utilise Mate-Desktop au quotidien depuis… la fin novembre 2015, après une ultime semaine sous Gnome 3.18. En mars 2015, j’avais migré sur Xfce en ayant eu ma claque de Gnome 3 et de sa tablettisation croissante.

En ce mois de mars 2019, cela fait donc trois ans et demi que je suis utilisateur de l’interface qui a succédé à Gnome 2.x. La version 1.22 est sorti le 18 mars 2019. Un billet sur linuxfr.org résume les grands traits de cette version de peaufinage de l’environnement.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 11 : ma découverte du trip-hop avec Portishead.

Il y a un genre musical que j’aime écouter de temps en temps, quand j’ai envie de me changer les idées, c’est le trip-hop. Je suis assez sélectif dans ce genre musical, et je dois avouer que mon « dépucelage » musical dans ce domaine a été fait par le groupe le moins stakhanoviste du domaine, Portishead.

Comme pour Dead Can Dance (qui a inauguré cette série de billets en juillet 2016), je dois la découverte de ce genre musical à une amie et future collègue en 2008.

Je connaissais vaguement le titre le plus célèbre du premier album du groupe de Bristol, « Glory Box » dont ma version préférée est celle du live à New York :

Dès que je suis plongé dans le premier album, je n’ai rien trouvé à jeter, que ce soit « Sour Times », « Roads », « Mysterons » ou encore « Wandering Star ».

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Confession d’un amateur de musique, épisode 10 : ma découverte de la Renaissance Folk-Rock avec Blackmore’s Night.

Si j’aime les musiques qui vous décapent les oreilles à grand coup de guitares saturées, de chants gutturaux et de rythmes de batterie presque inhumains à cause de leur complexité, j’aime aussi le strict opposé.

Le groupe qui m’a fait découvrir la musique folk-rock avec des ambiances de la Renaissance, c’est le dernier projet musical d’un guitariste aussi talentueux que son caractère est porcin. J’ai nommé Richard Hugh Blackmore, qui fêtera ou aura soufflé ses 72 bougies le 14 avril 2017.

C’est un groupe qu’il a fondé en 1997 avec celle qui allait devenir sa troisième épouse, Candice Night. Après avoir exploré le hard-rock classique et fait des expérimentations avec Rainbow, il se lance dans la musique folk-rock inspiré des ambiances de la Renaissance. J’ai découvert le groupe sur le tard, après la sortie de l’album Autumn Sky en 2010, dont voici un de mes titres préférés, même si je préfère avec le recul l’album « Ghost of a Rose ».

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Confession d’un amateur de musique, épisode 9 : ma découverte du heavy-metal classique avec le Sabbat Noir…

Nouvel épisode ou nouvelle confession ? Les deux à la fois ! Pour ce nouvel épisode, je vais retourner à la grande époque du heavy metal, les années 1970. Même si les Beatles ont été des précurseurs avec « Helter Skelter » tiré de leur album blanc, pour moi, les fondateurs du heavy metal, c’est le trio Black Sabbath, Led Zeppelin et Deep Purple.

J’avoue ma préférence pour le groupe fondé par Ozzy Osbourne, Toni Iommi, Geezer Butler et Bill Ward. Je tiens à préciser que je n’ai pas découvert le groupe avec l’album éponyme, mais avec le jouissif « War Pigs ».

J’ai par la suite découvert la discographie du groupe, même si les deux derniers albums de la première période Ozzy Osbourne peuvent être ignorés sans mal.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 8 : ma découverte du post-rock avec Mono.

Note préliminaire : en réalité, c’est le 7ième épisode, l’épisode 6 n’ayant jamais existé. Mea culpa !

Une de mes plus grosse découverte en terme de musique, en dehors du metal, c’est le post-rock. C’est quoi le post-rock ? Dixit wikipedia :

Le post-rock est un sous-genre musical du rock à tendance expérimentale et qui intègre des caractéristiques inspirées du rock alternatif, de l’art rock et de la musique électronique.

C’est un mouvement né à la fin des années 1980, dont les influences principales sont à compter dans l’ambient, le rock progressif, le krautrock, le jazz, le space rock, le shoegaze ou encore le post-punk. Sacré mélange, faut-il préciser.

J’ai été déniaisé dans ce domaine via un partage sur google plus – vous savez le réseau social fantôme – et un extrait du concert d’un des monstres actuels dans le domaine, Mono.

Ce n’est pas l’extrait ci-après, mais imaginez quand vous découvrez cela… Ça décalamine les cages à miel.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 7 : ma découverte du métal industriel avec « Ghosts I-IV » de Nine Inch Nails.

J’aime le metal sous de nombreuses formes, et je reviendrai dans d’autres billets sur les autres formes. Mais dans ce billet, j’ai envie de parler de la découverte la plus transversale de découverte en terme de metal… Sa variante dite industrielle  via l’album concept de Trent « NiN » Reznor.

Grand fan des jeux d’id software à partir de Quake jusqu’à Doom 3, NiN ne m’était pas un nom inconnu, même si je n’avais pas fait le rapport avec la musique 😉

Nous sommes en mars 2008. J’entends parler d’un album concept proposé par un musicien que je ne connais pas vraiment alors, Trent Reznor. À l’époque, la DADVSI est une toute jeune loi. C’est l’ancêtre de l’usine à gaz HADOPI.

Les producteurs de galettes plastifiées venaient d’avoir la peau du réseau Kazaa et attendaient avec impatience le procès du site ThePirateBay qui aura lieu en 2009.

Quelques mois auparavant en octobre 2007, Radiohead avait proposé en libre téléchargement son album « In Rainbows ». Autant dire que quand Trent Reznor propose en libre téléchargement le premier quart de son album Ghosts I-IV, je saute sur l’occasion pour récupérer la musique trop content de pouvoir télécharger légalement et gratuitement quelque chose.

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Confession d’un amateur de musique, épisode 3 : ma découverte de la folk avec Simon et Garfunkel.

Après un épisode consacré à Dead Can Dance et aux musiques médiévales, puis au rock progressif via Genesis, passons à la folk.

J’ai découvert très jeune le duo folk. C’était via une compilation de leur cinq albums studio sorti à la fin des années 1980, début des années 1990. Ce fut mon cadeau d’anniversaire. Même si j’ai eu du mal avec les deux premiers albums du duo, mon coup de coeur primaire a été avec les créations du duo a été l’album « Bookends », l’avant-dernier album studio officiel sorti en 1968.

Il contient un de mes titres préférés, « Old Friends ».

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