En vrac de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine. Qui reprend le duo logiciel libre et culture. Commençons par le panier de crabes informatique.

Côté culturel ?

Commençons par le coup de gueule d’Agnès sur le monde de l’auto-édition et des auteur(e)s qui se croyent tout permis et qui se la joue copinage à fond… Plus dure sera la chute !

Et pour finir en musique ?

Voila, c’est tout et c’est déjà pas mal !

The Fourth Is Bearded : à la découverte du post-hardcore.

J’ai des goûts musicaux assez étendus : j’aime bien écouter de tout, sauf la production commerciale qui me sort par les yeux. Que ce soit du heavy metal, du jazz, de la folk, de la musique électronique ou encore du néoclassique (comme avec Aythis) tant que j’accroche, j’écoute. Mais les productions ultra-formatées et sur-entendues, non merci. En clair, 95% des albums qu’on trouve dans les rayonnages des magasins, culturel ou pas.

Comme pour les oeuvres de Red Forest dont j’ai parlé le 6 janvier 2016, le blogueur influent que je semble être – les personnes au fond de la salle qui viennent de rire, merci de sortir ! – a été contacté par un membre du groupe « The Fourth Is Bearded », un groupe du Havre qui est spécialisé dans le mélange post-rock et post-hardcore.

J’avoue qu’avant d’écouter l’album je ne connaissais pas du tout le post-hardcore. J’ai donc été sur la page Bandcamp du groupe et j’ai lancé la lecture.

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En vrac’ musical du mercredi.

Premier en vrac’ musical pour 2016. Il sera assez court, n’ayant pas eu l’occasion d’écouter trop de musique ces derniers temps.

Bonne journée !

« Slow Ascent Melancholia » des Parqks : du post-rock instrumental un brin planant et Aquitain :)

Pouillant les archives de Bandcamp à la recherche de bon post-rock instrumental je suis encore tombé sur un groupe français – ce qui me remonte le moral au vue de la production actuelle – d’un groupe originaire de Limoges, Parqks.

Avant de me dire que je ne connais pas ma géographie et que Limoges est dans le Limousin, que je m’avance un peu à cause de la restructuration des régions pour dire que Limoges est dans l’Aquitaine moderne élargie, je vous renvoie à une certaine duchesse d’Aquitaine peu connue du nom d’Aliénor (née vers 1122-1204), épouse du cul-béni roi de France Louis VII, puis d’Henri II Plantagenet dont le Duché s’étendait géographiquement de Poitiers jusqu’à Lourdes et de Bordeaux jusqu’à Limoges. Je sais, ça remonte au douzième siècle, mais cela a juste poser les premières pierres d’un conflit qui a ensanglanté deux royaumes entre 1336 et 1453. Je vous renvoie donc à l’excellent épisode de Confession d’Histoire sur Aliénor d’Aquitaine.

Cette parenthèse culturelle et historique étant maitenant close, revenons-en au groupe Parqks et leur premier LP « Slow Ascent Melancholia ».

Ici nous sommes en face d’un album assez court pour du post-rock, 7 titres pour un peu moins de 39 minutes. On est loin des pistes sans fins de certains albums. Dès la première piste, on se laisse emporter par des guitares qui se la joue planante, ethérée, avec une mélodie qui permet de vous débrancher le cerveau des ennuis de la vie quotidienne. La montée en puissance de la première piste se termine avec un rythme bien péchue qui vous prend aux tripes.

La transition avec la deuxième piste – qui ne fait que 4 minutes se fait sans secousse. J’ai l’impression que les deux premières pistes n’en faisait qu’une en réalité avant qu’elles soient scindés. Je peux très bien me tromper, mais c’est l’impression que cela me laisse.

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En vrac’ de fin de semaine.

Noël 2015 approchant, je vais faire un en vrac’ qui sera pas trop méchant pour une fois. Ben quoi, c’est la bonté de Noël qui me touche 🙂

Commençons par le monde noyauté par des idéologues enfermés dans leurs tours d’ivoire du logiciel libre.

Passons maintenant à la culture.

C’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end.

« Cirrus Minor » des Cirrus Minor : c’est officiel, je suis aussi accro au post-rock instrumental.

Il y a des addictions musicales qui me caractérisent. Pour le rock progressif et le metal – classique et progressif au départ – je ne peux que remercier un ami caricaturiste et portraitiste. Pour le post-rock, ça remonte à la découverte de Mono, le groupe de post-rock japonais. Même si le déclic réel a été avec – je ne sais plus qui, désolé – qui m’a fait découvrir les orléanais de Have The Moskovik.

Alors que je cherchais de l’inspiration pour un texte en cours d’écriture – qui sera publié si j’arrive à le terminer un jour en accès libre sur Atramenta – en farfouillant la section post-rock de Bandcamp à la recherche des dernières sorties, je suis tombé alors sur une pochette qui m’a interpellé. Celle du premier album éponyme du groupe Cirrus Minor, groupe originaire d’Évreux.

C’est ce qu’on pourrait appeller sans aucun problème du post-rock instrumental progressif. Car il faut dire qu’avec 5 pistes au compteur pour un total d’un peu plus de 35 minutes. Soit une moyenne de 7 minutes par piste.

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En vrac’ dominical.

Après un samedi plutôt mouvementé, voici donc le billet en vrac’ dominical pour faire retomber la pression.

Commençons par le logiciel libre.

Parlons culture maintenant.

Bon dimanche !

En vrac’ musical du mercredi.

Quelques liens en vrac’ consacré à la musique. Les deux ou trois premiers ont été trouvés via le réseau à l’oiseau bleu.

Bon mercredi !

« Atlas Hands » de GrimLake : encore une pépite du post-rock français.

Il y a des albums qui tapent directement en plein dans les tympans. Qui vous font rager de devoir attendre le début du mois suivant pour vous le procurer car vos finances sont trop tendues en fin de mois. Le premier LP de Mathieu Legros alias GrimLake intitulé « Atlas Hands » fait parti de ceux-ci.

Tombé amoureux du post-rock après avoir écouté le premier « Have The Moskovik », comme j’ai pu tombé amoureux du metal progressif après avoir écouté « Blackwater Park » d’Opeth, j’ai rapidement accroché à la première écoute de « Atlas Hands ». Encore une preuve que la musique est une source de réjouissance et de bonheur.

Sur le plan technique, on reste dans les classiques : 9 pistes et 48 minutes au compteur.

Dès la première piste, « Run Into The Night », on est dans les classiques du post-rock instrumental. Mélodie péchue, qui vous prend aux tripes et vous entraine de la première à la dernière note. Du pur sucre.

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