Sdaw : un de premiers jeux que j’ai acheté… 22 ans déjà :D

Entre 1989 et 1993, j’ai utilisé une machine qui ferait se pisser de rire le premier djeunz venu, à savoir l’Amstrad CPC 6128. Je n’ai acheté en tout et pour tout que 5 ou 6 jeux (dont une compilation contenant Fugitif et La Secte Noire). Il faut dire que les jeux sur disquettes coutaient 149 F (soit 22,71 €), oui seulement, mais pour un budget d’adolescent boutonneux, c’était pas une petite dépense. Il faut dire aussi que j’achetais tous les magazines qui proposaient des listings pour avoir des jeux, même s’ils n’étaient pas toujours extraordinaires 🙁

En 1990, après avoir lu un article dans un des meilleurs magazines de l’époque consacré à l’Amstrad CPC, j’avais cassé ma tirelire et acheté le jeu « SDAW » édité par Lankhor.

C’est un mélange de jeu d’aventure avec Dungeon Master pour le coté labyrinthe à explorer. Quelques subtilités avaient été ajoutées : pas plus de 3 objets à la fois, limitation énergétique (5 * 50 déplacements au maximum), et au moins un passage à réponse aléatoire à chaque partie.

L’introduction était quand même bien faîte pour l’époque, avec un départ flippant à souhait, surtout quand on a uniquement 16 ans. Quelques voix numérisées, et une musique faisant penser à un rythme de rap à la sauce électronique.

Cependant, vu la difficulté du jeu, cette séquence était très pour ne pas dire trop fréquente.

Oui, les graphismes sont pourris, les sons idem, mais il faut se souvenir que le jeu est sorti il y a… 22 ans 😉

Castle Master sur Amstrad CPC… Mon premier jeu jamais acheté !

En 1990, j’ai 16 ans, et je lis dans le magazine Amstrad 100 pour 100 du mois de mai 1990 un test sur un jeu « Castle Master ». Très bien noté (83%), ce jeu en FreeScape permet à un utilisateur d’Amstrad de se promener dans un univers 3D temps réel.

Bien entendu, on est encore très loin de ce que sera Quake premier du nom 6 ans plus tard, mais pour une petite machine avec un microprocesseur de 3,3 mhz et équipé de 128 Ko (oui, il n’y a pas de faute de frappe), c’est purement et simplement très bon.

Ayant déboursé la somme pharaonique de 169 F (26 € environ), je reçois une semaine après la commande une boite cartonné contenant le jeu sur une disquette 3 pouces, le manuel d’instruction. Et je lance le jeu. J’avoue que je mettrais la première fois près de 5 heures sur deux semaines pour en voir la fin.

Cet après midi, une crise de nostalgie m’a pris, et j’ai lancé Castle Master dans WinApe (le seul qui me permette facilement l’enregistrement de vidéo).

Et j’ai joué à Castle Master, en essayant de faire fonctionner ma mémoire, n’ayant plus joué à ce jeu depuis la mort de mon Amstrad CPC 6128 il y a un douzaine d’années environ.

J’ai posté la vidéo de 50 minutes sur youtube. Il faut dire que je me suis pas mal paumé dans les catacombes, et que j’aurais surement pu faire 10 minutes de moins. Mais le plaisir de jeu est toujours présent.

Que les petits jeunots qui ne jurent que par les PS3, Xbox 360 ou encore Nintendo Wii voient comment la génération de leurs parents a débuté dans le monde des jeux vidéos 😉

L’Amstrad CPC (28 ans au compteur) en a encore dans les tripes ;)

Je vous parle d’un temps que le moins de trente-cinq ans ne peuvent pas connaitre…

Je dois faire un aveu : j’ai claqué un nombre monstrueux de pièces de 5 francs dans la borne d’arcade « Bubble Bobble »… Et quand j’ai entendu parler d’une version refaite pour l’honorable ordinateur Amstrad CPC (28 ans cette année), je me suis précipité pour la tester, en utilisant Arnold.

Et y a pas à dire, c’est très beau. Pas aussi fin que les graphismes de la borne d’arcade d’origine, mais assez proche… Deux captures d’écran suffiront pour montrer la qualité de la réalisation…

bb4cpc001

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Le jeu est aussi dur que l’original, et j’avoue que je n’ai pas réussi à dépasser le 10ième niveau à cause de ces saletés de baleines fantômes… Pas juste !!!

En tout cas, cela m’a fait me replonger en 1989-1990 quand j’allais à la Maison des Jeunes d’Arcachon… Pourquoi j’ai l’impression d’avoir pris un coup derrière la nuque ? 🙂

Comme quoi, pas besoin d’avoir des graphismes photoréalistes pour s’amuser ! 🙂

Séquence vieux *** trentenaire nostalgique : les jeux d’aventure sur Amstrad CPC :)

Entre 1985 et 1992-1993, époque de gloire de l’Amstrad CPC, des centaines de jeux ont été pondus : des sombres m****s (comme Helter Skelter ou encore Gauntlet 3)

Cependant, un genre de jeu a été assez representé : les jeux d’aventures. La plupart du temps, c’était des mélanges d’un lieu dessiné avec des actions à saisir au clavier. Et souvent, c’était des petits bijoux. Ce sont d’ailleurs mes préférés, loin devant les « point and click ».

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Sidux Hypnos preview 1 : du rolling release à la sauce debian.

Je l’avoue, j’ai appris à apprécier les distributions en rolling release. Siduxdont j’ai déjà parlé en novembre dernier – reprend ce principe, en prenant comme base Debian gnu/linux Sid.

Après avoir récupéré l’image 64 bits de la version KDE, je l’ai installé dans une machine virtuelle kvm.

[fred@fredo-arch download]$ qemu-img create -f raw disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=raw size=34359738368
[fred@fredo-arch download]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom sidux-2010-01-hypnos-pre1-kde-lite-amd64-201005262039.iso -boot d &

Les étapes étant les même que celle de l’article de novembre dernier, je vais me concentrer sur les apports de cette nouvelle version.

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Y a pas à dire, le CPC au bout de 25 ans en a toujours dans les circuits.

16 septembre 2009 : Orion Prime, un jeu d’aventure sort sur le vénérable Amstrad CPC, 25 ans au compteur. Vendu en version boite et oui 😉

28 octobre 2009 : Le jeu est disponible en libre téléchargement. Via Genesis8, j’ai pu mettre la main sur la vidéo de début du jeu. Elle dure près de 6 minutes (les deux dernières minutes de la vidéo sont pour la musique du jeu).

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La nostalgie ludique du dimanche 19 juillet : les listings dans les magazines d’informatiques.

Quand j’ai commencé l’informatique personnelle (fin 1989, début 1990), les magazines proposaient des listings de jeux, de logiciels utilitaires. Ayant débuté sur Amstrad CPC, des titres comme « Amstar & CPC« , « Amstrad 100%« , « CPC Infos« , « MicroMag » ont bercé mon jeune age informatique.

Grace à des sites comme Genesis 8 ou encore le CPC Games CD, j’ai pu retrouver des images disque de jeux de cette époque. Les jeux en question étaient souvent en langage machine, dont des centaines – voire des milliers – de lignes de code de DATAs qu’il fallait taper sans se tromper. Mais le résultat en valait la chandelle. Voici quelques exemples.

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