En vrac’ de fin de semaine

Un petit en vrac’ en cette fin de semaine du mois de novembre 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Puisqu’on parle d’Archlinux GUI…

Côté culture ?

Dans le précédent « En vrac’ de fin de semaine » (daté du 15 octobre 2021), je parlais de la cassette contenant les diverses bandes sons du jeu « Attack of the Petscii Robot ». Ander Enger Jensen pour me remercier d’un service rendu m’a fait parvenir une cassette à titre gracieux.

Sur ce, bon week-end 🙂

Amstrad Cent Pour Cent, n°50 : la suite du mythique magazine, 28 ans après sa mort.

Octobre 1993 : je suis utilisateur d’un Amstrad CPC depuis 1988 et lecteur régulier d’Amstrad Cent Pour Cent depuis octobre 1989. De mensuel, le magazine était devenu bimestriel, puis trimestriel.

Lorsque je partis en ce début octobre 1993 chercher ma dose d’A100%, je ne pensais pas tomber sur un numéro qui serait celui d’un adieu. J’ai longtemps conservé le magazine avant de le perdre dans un déménagement.

Sur un groupe Facebook créé à l’occasion, un projet fou voit le jour : faire renaître le magazine pour un numéro 50. Inutile de préciser que j’ai sauté sur l’occasion. Un site dédié est même mis en ligne pour l’occasion.

Après une trop longue attente, le magazine a fini par pointer le bout de ses pages. Voici la vidéo de son déballage.

Le contenu ? Digne de la grande époque, avec quelques nouveautés déjà publiée et à venir, des rubriques de bidouilles et surtout un hommage à Alain Massoumipour alias Poum qui nous a quitté en 2019. Sans lui, difficile d’avoir un A100%.

Mais je ne vais pas bouder mon plaisir et je pense que le magazine sera sur ma table de chevet durant quelques jours.

En avril-mai 1994, soit six mois après la mort d’A100%, une deuxième mort me touchera, celle de CPC Infos qui n’était plus devenu qu’un magazine de listings. Cela signait la fin de ma période Amstradienne… Machine de coeur qui est désormais inabordable en occasion 🙁

Les scènes rétroludiques ne cesseront jamais de m’étonner…

Mis à part les prix honteusement gonflés – que ce soit pour le matériel ou le logiciel d’époque – les differentes scènes rétroludique continuent d’envoyer du lourd, comme avec le très récent jeu typé Zelda sorti le 26 octobre et créé par Sarah Jane Avory.

C’est en suivant IndieRetroNews que je suis une nouvelle fois tombé sur le cul. Prince of Persia premier du nom a été porté sur Atari 8 bits. J’avais parlé de ce jeu développé à l’origine pour Apple II et dont le code source avait été publié en 2012 sur Github par Jordan Mechner.

Mais d’autres titres arrivent sur des ordinateurs qui sembleraient être incapables de gérer les dits jeux. Par exemple, un port de Puzzle Bobble pour Amstrad CPC par l’équipe de Crazy Piri.

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En vrac’ de fin de semaine

Minuscule en vrac’ en ce dernier samedi d’août 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien, la rentrée sera je l’espère un peu plus remplie. Je dois avouer que j’attends les albums de Collapse, d’Altesia et de Persona que j’ai financé durant la première moitié de l’année 2021.

Bon fin de week-end 🙂

Vieux Geek, épisode 285 : Fugitif, un jeu d’aventure ou une démo technique ?

Dernier article d’une série de trois consacrés aux jeux d’aventures sur Amstrad CPC. Après avoir parlé de « L’ile » sorti en 1988 chez Ubi Soft, de « Orphée, voyage aux enfers » sorti en 1985 chez Loriciels, j’avais envie de parler d’un des rares jeux que j’ai eu à l’époque en version physique, « Fugitif », sorti en 1991 chez Lankhor.

Je l’avais eu dans la compilation « Épopées Vol 2 » avec le très bon titre « La Secte Noire ». Cependant, ma boite était incomplète. Après avoir contacté Lankhor, je reçus la disquette manquante. En effet, Fugitif tenait sur 2 disquettes, chaque face avec un nom qui sentait bon l’espace : Aldebaran, Cassiopée, Hyadès et Deneb.

L’histoire est assez fouillée. On joue le rôle de Jack Bludfield, un chasseur de prime. Suite à la colère de Xocann, un de ses anciens amis devenu criminel, il a été blessé alors que la femme qu’ils aimaient tous les deux a été tuée.

Jack apprend que Xocann s’est évadé avec d’autres criminels de la planète prison Orlano 2. On commence notre quête à New York. Contrairement à de nombreux autres jeux d’aventures de l’Amstrad CPC, pas de commande à taper. Tout se joue avec une interface à base d’icones, un peu comme dans l’Arche du Capitaine Blood. On doit jongler avec 3 voire 4 icones pour accomplir des actions.

Le jeu est entièrement muet mis à part la musique de démarrage. Mais c’est sur le plan graphique que tout a été donné. Alors que le mode 1 qui proposait une résolution de 320×240 pixels se limitait officiellement à 4 couleurs, les développeurs se débrouillèrent pour faire afficher jusqu’à 10 voire 12 couleurs sur chaque écran. Je vous renvoie à l’interview de Frédéric Mantegazza sur le site Lankhor.net pour plus de détails croustillants.

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