Alors que ma 46ième année se tire, quel bilan en faire ?

Je rédige ce billet le 9 février, vers 18 h 00. Quelques heures après sa publication, je passerai à ma 47ième année sur cette poussière dans l’univers qu’on appelle la Terre. Ou si vous préférez, mon année geek+5 🙂

J’ai voulu faire un rapide billet de l’année personnelle qui s’est écoulée. Mis à part cette saloperie de Covid, j’ai passé une année pas trop mauvaise. Sur le plan informatique, ça a été le calme olympien. Je suis encore et toujours sur Archlinux (pour mon PC fixe) et Manjaro (pour mon portable).

Cela fait maintenant plus de 10 ans que j’utilise cette famille de distributions et elle me convient très bien. Nul besoin de changer de crèmerie dès que le moindre bug pointe le bout de son nez. D’ailleurs, mon absence de youtube en tant que créateur de contenu me permet d’éviter des ulcères avec des experts linuxiens en carton pâte. Quel que soit l’âge des personnes en question.

La passion que j’ai pour la rétro-informatique a connu un coup d’accélérateur depuis février 2020. Outre le fait que je suis tombé sous le charme de « Planet X3 » (au point d’acheter une version physique durant l’été 2020), j’ai aussi craqué pour « Attack of the PETSCII Robots » (du même auteur), mais seulement en numérique.

Je n’ai ni Commodore PET, ni Vic20, ni Commodore 64/128 avec un lecteur de disquette pour justifier l’achat d’une version physique du jeu.

C’est le côté stratégie – mais en prenant son temps, sauf quand on prend le niveau de difficulté le plus élevé – qui m’a plu… et qui m’a permis de devenir bêta-testeur pour la mise en place de l’audio pour la version Commodore PET du jeu.

Même si ce ne sont que des mélodies au haut-parleur, et des bruitages du même acabit, j’avoue que je prends parfois pas mal de plaisir vidéo-ludique à utiliser l’émulateur PET de Vice que celui pour Commodore 64.

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Mon bilan pour l’année 2020 : une année « blanche » ou presque.

Maintenant que l’année 2020 vit ses dernières heures, du moins lors de la rédaction de ce billet, j’ai eu envie de faire un bilan. C’est une année « blanche » ou presque en ce qui me concerne. En effet, je comptais prendre des cours de conduite pour réessayer de passer le permis de conduire après une première tentative vers 1995-1996.

C’est au moment où je comptais m’inscrire auprès d’une auto-école que le premier confinement est arrivé. Autant dire que cela repoussait automatiquement mon inscription. Quand le premier confinement se déclencha, je pensais aux personnes qui étaient prêtes à tenter leur chance à l’examen qui se prenait un arrêt sec de leurs démarches en pleine face.

Ensuite, le temps que les auto-écoles récupèrent un peu et que je puisse envisager une inscription – après avoir mis un peu d’argent de côté pour les premières leçons au coût moyen de 42 à 45 euros de l’heure – que le deuxième confinement pointait le bout de son nez.

Autant vous dire que je suis un brin écoeuré, même si je suis bien content que le code que j’ai décroché en juin 2019 ait une durée de validité maximale de 5 ans, loin des 2 ans que j’avais connu lors de ma première tentative de décrocher le permis de conduire. Ce qui me laisse encore une marge confortable. C’est déjà ça de pris !

Côté culture, ce fut une année d’un calme trompeur. En effet, je n’ai acheté cet année que quatre albums : « Paragon Circus » d’Altesia, « Plow » de Tarmak, « A Shadow of Memories » de Lethian Dreams et « 0110 » de Cosmic Ground.

Côté littéraire – si je peux parler ainsi – j’ai publié deux oeuvres en auto-édition via Amazon : « Les contes de Tonton Fred » (en avril 2020) et « Le Dragon et la Princesse » (en octobre 2020).

J’ai attaqué un nouveau projet, du nom de projet « M ». Pour le moment, je n’ai écris qu’une douzaine de pages, vous comprendrez que je préfère rester silencieux. Je pense que j’ai bien encore 4 à 6 mois de travail sur ce projet pour le faire aboutir. J’en reparlerai donc d’ici juin 2021. Tout ce que je peux vous montrer, c’est l’état d’avancement en cette fin d’année 2020.

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« Parangon Circus » d’Altesia : attention, c’est du lourd :)

Il y a parfois des découvertes que l’on fait par pur hasard. Le premier album d’Altesia en fait partie. Pour l’apprécier, il y a plusieurs pré-requis : si on aime Opeth, toute la carrière (y compris le transitionnel et très moyen « Heritage »), la carrière solo de Steven Wilson et les morceaux qui explosent les compteurs en terme de durée, c’est bon.

Altesia est un groupe de Bordeaux qui se définit comme étant du metal progressif. Progressif c’est certain. Sur un album qui arrive à environ 57 minutes avec 3 pistes qui dépassent allègrement les 10 minutes, c’est difficile de dire le contraire. Metal ? Si on considère que le métal, c’est du chant guttural et point barre, partiellement.

Les inspirations « Wilsonniennes » se font entendre dès la piste d’introduction avec « Pandora ». Une guitare acoustique suivi de chants clairs franchement calmes. Le calme avant la tempête… Car un premier morceau plat de résistance vous attends au tournant.

Dès que « Reminiscence » commence on sent qu’on va s’en prendre plein la… Une ambiance à la « Porcelain Heart » d’Opeth mélangée avec des rythmes du rock progressif des années 1970 arrive… Une introduction d’environ 4 minutes, c’est du grand art.

La voix du chanteur qui arrive comme une fleur, ça fait bizarre ! Il y a bien entendu des bonnes grosses guitares saturées, mais aussi du saxophone qui donne un côté jazzy à la piste. Miam !

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En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi hivernal.

  • Elle est enfin sortie, la Manjaro Linux 19.0… Même s’il y a des conneries monumentales comme l’ajout du support des snaps et autres flatpaks, elle a le mérite d’exister.
  • La LinuxMint Debian Edition 4.0 beta est enfin sortie, basée sur Debian Buster. Pas trop de retard pour une fois par rapport à sa base !
  • Dans la série des distributions GNU/Linux bizarre, je demande la GoboLinux 0.17 alpha, vous savez, celle qui jette à la poubelle l’arborescence d’unix pour cloner cette de MS-Windows…
  • La DGLFI de la semaine, la Releax OS apparemment créée depuis une feuille blanche.
  • La clownesque MakuluLinux est disponible dans une nouvelle version, la 2020 « Lindoz ». Youpi !

Côté culture :

  • Si vous aimez le rock progressif à la Steven Wilson ou celui proposé par Opeth depuis l’album Heritage, les créations des bordelais d’Altesia seront votre tasse de thé.
  • Sept ans après le premier album, Camille Feral a sorti en décembre 2019 le deuxième opus des Fantomes Courtois sous le titre « Monseigneur l’astre solaire ». De l’acoustique pour les fans de mélodies que l’on aurait pu entendre au 18e siècle 🙂

Puisqu’il faut rire du logiciel libre et de ses délires, voici l’épisode 7 des tutos à la con de Tonton Fred :

Bonne fin de journée ! 🙂