Cosmic ground 5 : un retour planant.

J’ai déjà parlé par deux fois des créations de Dirk Jan Müller, pour ses deuxième et troisième opus respectivement en juillet 2015 et en septembre 2016.

Chaque année, il sort un nouvel opus dont un live en juin 2017. En octobre 2019, le cinquième opus studio est sorti, sous le nom très recherché de cosmic ground 5.

8 pistes pour 75 minutes. Entre l’introduction qui ne dure que 1 minute et 46 secondes et la septième qui dépasse les 18 minutes, on a toute une gamme de mélodie. Certaines personnes diront que c’est de la musique d’ascenseur, mais je dois dire que je prends un plaisir monstre à écouter ce genre d’albums quand j’écris, je fais quelques tests techniques ou que je me balade sur la toile.

C’est sombre, froid, glauque donc parfait pour se concentrer. Évidemment, il faut aimer ce genre musical inspiré du krautock, de l’ambiant et un peu du Tangerine Dream des années 1970. Mais putain que c’est bon !

Mes prédictions pour 2019 ? Bilan final.

En décembre 2018, je m’étais lancé dans les prédictions pour 2019. En juillet, j’avais fait un bilan intermédiaire.

Premier point pour la Manjaro Linux : comme je l’avais pensé, 2019 était l’année de tous les dangers. Détrônée du classement de curiosité de Distrowatch par MX Linux, la distribution continue son bonhomme de chemin, même si certains bienpensants du monde linux francophone la voue aux gémonies.

Tout ce que j’ai à répondre, c’est cette vidéo « C’est trolldi, c’est permis » où je montre que mon ordinateur portable est sous Manjaro Linux (passée en Unstable) depuis quelque chose comme 18 mois et que l’installation se porte comme un charme.

Concernant les distributions à base de paquets universels, comme la Fedora Silverlight, la 31 est sortie en novembre 2019. J’avoue ne pas avoir testé, donc je ne me prononcerai pas. Notons quand même que les versions classiques sont encore mises en avant… On se demande bien pourquoi 🙂

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Clevermind, le casse-tête pour Amstrad CPC qui vous fera détester les coccinelles.

J’ai eu l’occasion de le dire plusieurs fois, j’admire la puissance de la scène Amstrad CPC plus d’un quart de siècle après la fin de la production des ordinateurs 8 bits.

En 2018, le sublime « The Shadow of Sergoth » est sorti. Kukulcan qui s’occupe du site CPC-Power est aussi un programmeur et a décidé de proposer un casse-tête au principe assez basique : Clevermind. On y joue le rôle d’une coccinelle qui a faim et qui doit manger toutes les feuilles d’un niveau.

Kukulcan s’est amusé à pondre des niveaux plus sadiques les uns que les autres… Et il y a 50 niveaux à franchir. J’ai été bêta-testeur des premières versions et je dois dire que le jeu a vraiment évolué depuis la première version de développement que j’ai reçu. Zisquier sur sa chaine youtube y a consacré deux ou trois vidéos, basé sur une version bêta avancée du jeu.

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Xalk, un diabolique casse-tête pour Amstrad CPC à la longue vie :)

J’ai déjà eu l’occasion de le dire, j’admire la vivacité de la scène de la rétro-informatique, spécialement celle de l’Amstrad CPC.

En 1990, Anthony alias Antman rencontre l’équipe d’Amstrad 100% à l’Amstrad Expo. Janvier 1991, Amstrad 100% publie le jeu sous forme d’un listing. Merci à Abandonware Magazine d’avoir archivé ce magazine.

J’avais saisi à l’époque ce casse-tête, mélange de Tetris et de Klax. Il était assez corsé côté difficulté, faut-il le préciser.

Les années passent et en 2017 l’excellent et indispensable CPC-Power annonce l’arrivée d’une version luxueuse de Xalk, proposée par Anthony alias Antman lui-même. Au menu, quelques améliorations au niveau du code du jeu – comme la gestion des lignes en diagonale et d’un fond d’écran assez bien dessiné.

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Bilan de mes prédictions pour 2019 à mi-chemin de l’année.

Bon, d’accord, je le fais au 7/12e de l’année. Mais il faut bien faire un bilan de temps à autre, non ? J’avais rédigé le billet « Mes prédictions pour l’an 2019. » le 26 décembre 2018.

Premier point :

Commençons par le monde linux. 2019 sera l’année de tous les dangers pour Manjaro Linux.

Et bien, je ne pensais pas si bien dire. Outre le fait que maintenant la distribution est deuxième au classement de curiosité de Distrowatch, il y a des choix complètement injustifiables sur le plan technique : ajout du support des paquets universels (snap et flatpak) par défaut à compter de la version 18.1.0 ou encore le remplacement de LibreOffice par le plus que castré FreeOffice, du moins dans sa version librement distribuable.

Apparemment, l’équipe de Manjaro (ou seulement son dirigeant ?) veut se lancer dans le marché du téléphone portable… Marché verrouillé par le duo-duel Apple et Google depuis combien d’années déjà ?

Bref, si Manjaro est dans le top 5 de Distrowatch à la fin de l’année, ce sera beau pour cette distribution !

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