En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet. Rien ! En ce moment, l’actualité du logiciel libre est aussi mouvementée qu’un électro-cardiogramme plat… Y a des périodes creuses :/

Côté culture ?

Bonne week-end !

« Thanks to the sun » de The Orchid : une suite réussie au premier EP.

En octobre 2015, je parlais du premier et très court EP de The Orchid, un groupe d’indie-folk de la région du Mans. En février 2017, le deuxième EP est sorti.

Le deuxième EP est presque deux fois plus long que le premier – près de 24 minutes pour le deuxième opus contre un peu plus de 12 pour le premier – et reprend un des titres phares du premier opus, « (all breathing should be) Praises ».

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Vieux geek, épisode 80 : Zaero, le « Mission Pack 3 » pour Quake 2.

Comme j’avais déjà pu l’aborder dans l’épisode 65 de la série « vieux geek », il existe un troisième mission pack non officiel pour Quake 2. Sorti en 1998 par l’équipe de développement Team Evolve, Zaero nous plonge dans une courte extension de 14 niveaux.

L’histoire se passe entre Quake 2 et Quake 4. Les Stroggs ayant perdu leur dirigeant, le Makron dans Quake 2, se sont repliés dans des bases fortifiées. Les humains, guidés par l’appat du gain sont allés sur la planète des Stroggs pour y récupérer un minerai, le Steedium.

Mais les Stroggs contre attaque et prennent en otage des humains. Pour libérer les prisonniers, les pilotes de l’unité d’élite Zaero doivent s’infiltrer et détruire le champ d’énergie mis en place par les Stroggs.

Évidemment, la contre attaque tourne mal, et vous vous retrouvez dans la mouise jusqu’au cou.

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Une semaine de retour aux sources linuxiennes ?

La première semaine du mois de mai 2017 a été celle d’une volonté de revenir aux sources de ma passion pour le libre. Malgré ma gueulante sur le monde du libre concernant ses problèmes d’accès aux novices (et je tiens à remercier les personnes qui ont commenté, spécialement « Le visiteur du soir » pour ses remarques), je pense tout faire pour rester dans le monde du libre.

Un dépannage spécialement laxatif sur une opération des plus simples, à savoir purger un document en attente bloqué sur le serveur d’impression de MS-Windows 10 – qui aurait pu se résoudre par un passage en force dans l’interface web de CUPS – m’a fait comprendre ma douleur.

Je me suis alors posé la question : quelle distribution pourrait me convenir si par malheur Archlinux disparaissait ? Surtout, une distribution mère en rolling release, car c’est le modèle de publication que j’affectionne et que je considère être le plus adapté à ma situation.

Cela excluait donc toutes les fixed releases comme la Slackware Linux (ma madeleine de Proust), Debian GNU/Linux, Fedora ou encore OpenSuSE (désolé, mais je ne peux pas supporter cette distribution, même en peinture).

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En vrac’ de fin de semaine.

Pour commencer ce week-end prolongé, voici donc le billet qui va bien 🙂
Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end prolongé !

« La preuve par neuf » de Jérome Dumont… On n’est jamais mieux trahi que par les siens ?

Cela faisait longtemps que je n’avais pas abordé un livre auto-édité, pour une simple et bonne raison : j’en lis de moins en moins par manque de temps et d’envie.

Cependant, il y a des auteur(e)s que j’apprécie et Jérome Dumont en fait partie.

Le neuvième épisode de la série des aventures de Gabriel Rossetti et de son épouse Amanda MacLane nous emmene dans une aventure qui fait penser que « l’on est souvent jamais mieux trahi que par les siens », c’est plutôt vrai…

L’histoire commence mi-décembre. Une journée banale jusqu’à ce que Jacqueline Miremont, une vieille dame de 77 printemps se présente dans le cabinet de notre avocat niçois.

Elle annonce tout de go à Gabriel Rossetti qu’elle veut divorcer après 56 ans de mariage !

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Guide d’installation d’Archlinux, version de mai 2017.

Voici la quarante-troisième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle d’avril 2017.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso, au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er mai vers 10 h 15 du matin, l’ISO de mai 2017 n’est pas encore disponible.

Note du 7 mai 2017 : le paquet xorg-server-utils et xorg-utils ont été enlevés des dépots d’Archlinux.

Note du 8 mai 2017 : une version corrigée du tutoriel (xorg et une coquille graphique) est disponible ci-dessous. Merci à informaticienzero pour les retours. Désolé pour le dérangement !

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.24.1, Plasma 5.9.5, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.18.0 en gtk3. Budgie Desktop et Cinnamon ont été enlevés pour des raisons de place.

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

 

En vrac’ de fin de semaine.

En ce milieu de week-end prolongé, bien qu’un peu tard le dimanche, voici donc le billet qui va bien 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Pas grand chose, désolé.

Bonne fin de week-end prolongé !

Orotoro : une autre preuve que Bordeaux est une ville très intéressante, musicalement parlant.

Même si c’est une région connue pour les opportunités de s’éclater la panse dans la bonne humeur, il y a des groupes qui valent le détour. Pour les fans de folk metal, j’avais déjà parlé d’Aequinoctium Sanguinis dans un billet en vrac’ d’octobre 2015.

Pour du rock plus classique, il y a Here[in] dont j’ai parlé en juillet 2011.

Bref, que du beau linge. En septembre 2016, dans un billet « en vrac' », je parlais rapidement du premier EP du quartet bordelais Orotoro. Il mélange habilement le stoner, le metal et le progressif.

Fouillant dans mes archives, je suis retombé sur le billet parlant d’Orotoro, et j’ai appris avec grand bonheur qu’un deuxième EP était sorti en novembre 2016, et qu’en février 2017, un CD compilant les deux premiers EP était sorti. L’occasion était trop belle pour ne pas l’écouter… Et l’acheter 🙂

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le terme progressif n’est pas usurpé. La plus petit piste dépasse les 5 minutes 30, la plus longue frôle les 11 minutes… 8 pistes pour un total de 63 minutes. Bonne moyenne, non ? 😀

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