Fermeture du blog jusqu’au 30 juin.

Un petit billet pour vous annoncer la fermeture du blog jusqu’à la fin du mois. La cause ? Les trolls qu’on me demande d’ignorer et qui s’en donnent à coeur joie, car ce ne sont pas des méchantes personnes, c’est bien connu !

La preuve en image.

Tous les articles ont les commentaires clos. Désolé pour l’inconvénient, mais je n’ai pas le choix si je ne veux pas me mettre la rate au court-bouillon sous peine d’exploser.

Quant aux personnes qui vous disent d’ignorer les trolls, vous comprenez à quel point elles se trompent désormais ?

Rendez-vous début juillet et remerciez donc qui de droit pour la fermeture durant trois semaines du blog.

PS : vous pourrez toujours me suivre sur mastodon, diaspora* et twitter.

Les projets un peu fou du logiciel libre, épisode 24 : Blasphemer, la wad libre pour Heretic.

Quand j’ai lancé cette série de billet en décembre 2015, j’ai pris un projet ludique emblématique, « FreeDoom ». La volonté de créer des épisodes entièrement libres pour Doom date de l’époque de la libération du code source du célèbre FPS développé par ID Software.

En 1994, Raven Software sort Heretic qui est un Doom matiné d’héroïc-Fantasy. Il y aura ensuite au fil des années Hexen (qui rajoute une dose de jeu de rôle), Hexen 2 (que j’ai adoré et qui reste un de mes FPS préférés) ou encore Quake 4 (en 2005) et Wolfestein (en 2009).

À l’image du projet FreeDoom, un projet d’abord dénommé FreeHeretic puis Blasphemer est proposé.

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Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 6

Après un mois de mai assez correct, en dehors de la sombre daube qu’est la Blag Linux et la mise à mort d’Antergos au bout de 7 ans d’existence bien que des projets veuillent continuer l’acharnement logiciel, que nous donne le bilan du mois de juin 2014 ?

Seulement quatre articles… Autant dire que c’était pas franchement très rempli, et vu le peu d’articles, le résultat est normal. 100% de survie.

Reste à voir si le mois de juillet va confirmer la tendance !

« Memories » de Grimlake, le retour gagnant du post-rock français.

Il y a une quinzaine de jours – au moment où je rédige ce billet, le 9 juin 2019 – que j’ai reçu la version physique du deuxième album de Mathieu Legros alias Grimlake. Bien que l’album soit sorti fin avril 2019, je ne l’ai acheté que courant mai.

Après son premier album, le très bon « Atlas Hands » dont j’ai parlé en décembre 2015, j’ai appris avec plaisir qu’un deuxième opus était sorti.

Constitué de 7 pistes et durant à peine moins de 35 minutes, on se retrouve avec du post-rock concentré tel un expresso dans un bar.

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Ah, les pactes de non-agression, vaste blague !

J’avais écrit dans la soirée du 7 juin 2019 un rapide article dans lequel j’exprimais – sous le coup de la colère – tout mon dégoût des manoeuvres qui polluent le monde linuxien francophone, spécialement dans sa partie youtubesque.

J’avais joint la capture d’écran suivante où un troll notoire – qui crache tel un lama sur un projet dont j’ai fait parti des fondateurs – avoir une explosion séminale précoce à l’annonce d’un « piratage » du site du projet Tux’n’Vape.

Ensuite, un troll qui doit avoir encore du lait qui sort des narines quand on lui presse les narines en rajoute sa dose. Bref, même si je ne peux pas m’avancer, la non-remontée de bretelles en textuel dans la zone de bavardage des deux personnes me fait dire qu’il y a une forme de complicité de la part du vidéaste en question.

Ce vidéaste connu pour ses changements d’avis comme de chemises – j’espère qu’il a un bon lave-linge – joue la politique la plus idiote qui existe : celle du pacte de non-agression.

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« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !

Il faut savoir tourner la page : mon départ de la partie technique de Tux’n’Vape.

Il y a une citation de Georges Clemenceau qui me plait particulièrement – une parmi d’autres – et la voici : « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. »

Le doux monde du logiciel libre en est la parfaite confirmation. Dans la vidéo ci-après, j’explique pourquoi au bout de deux ans je quitte le partie technique du projet que j’ai aidé à fonder.

Outre le fait que le projet était devenu la cible préférée des fouteurs de merdes de la youtubosphère linuxienne francophone – et mon départ vers Peertube n’avait rien changé au déferlement de haine, d’insultes et de menaces sur mon intégrité physique de la part de courageux anonymes – on arrive à un moment où il faut savoir tourner la page et laisser les projets techniques qu’on a lancé dans les mains de personnes que l’on considèrent être fiables.

Ma vie réelle étant plutôt occupée par des trucs complètement basiques, je n’ai pas le temps en ce moment d’évaluer des distributions en dehors de celle que j’utilise au quotidien. D’ici une grosse semaine, le temps libre redeviendra une réalité palpable.

Je n’ai pas grand chose à rajouter à ce que j’ai dit en vidéo, je vous conseille donc de la visionner en entier avant toute chose 🙂

Sur ce, bonne journée !

Guide d’installation d’Archlinux, version de juin 2019.

Voici la soixantième-septième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de mai 2019.

Note : des versions plus dynamiques sont disponibles sur mes espaces github et framagit.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso. Au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er juin vers 8 h 35 du matin, l’ISO de juin 2019 n’est pas encore disponible.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.32.2, Plasma 5.15.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.22.1 en gtk3, Cinnamon 4.0.10 et Deepin 15.10.1

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

Et si Tux’n’Vape disparaissait du jour au lendemain ?

Cette question m’est venue après les déboires de certains projets dont Antergos est l’exemple le plus récent. Aucun projet n’est éternel et croire le contraire est plutôt la preuve d’un manque de réalisme.

Qu’arriverait-il si du jour au lendemain, l’équipe dont je fais partie disait : « on en a assez, on arrête les frais ? » Si du jour au lendemain, nous enlevions les images ISO et nous demandions le retrait des liens au format torrent ?

Sur le plan technique, rien ou presque. Notre projet est une personnalisation de Manjaro dont la compatibilité est assurée à 99,99%. Contrairement à Antergos qui nécessite des actions spécifiques pour être archlinuxisée – cf la vidéo ci-après – une Manjaro Tux’n’Vape c’est du direct. Pas de dépot à désactiver, de manipulations plus ou moins bizarre. Autant dire que côté transparence, c’est difficile de faire plus simple.

Le gain immédiat pour l’équipe serait de ne plus avoir à payer de sa poche les frais d’hébergement. Même si ce n’est qu’une poignée d’euros chaque mois, c’est toujours mieux d’utiliser l’argent en question pour les dépenses de la vie réelle. Le projet Tux’n’Vape a été lancé pour aider les personnes à utiliser une distribution GNU/Linux, pas pour se remplir les poches avec la monétisation des vidéos 🙂

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Se couper un brin de la folie du monde virtuel, quel plaisir !

Tandis que j’écoute l’excellent deuxième album de Grimlake intitulé « Memories » – dont je dois faire la chronique très rapidement ! – j’ai eu envie de faire un point rapide sur la grosse semaine passée sans écrire le moindre billet.

Il faut dire qu’en ce moment – je rédige ce billet le 29 mai 2019 au soir – la vraie vie m’accapare pas mal. Je ne m’étendrai pas sur ce qui me fait avoir une vie réelle actuellement étant donné que cela concerne ma sphère privée.

Mais il faut dire que depuis une semaine, en gros depuis le 21 mai 2019, pas mal de petites choses se sont passées.

Entre l’affaire « Thomas Cyrix » qui s’est terminé en lynchage numérique de celui-ci (30 000 abonnés perdus en l’espace d’une semaine ) – et peu importe si le monde réel n’est pas aussi simple avec un grand méchant d’un côté et des petits gentils de l’autre – ou encore l’acharnement thérapeutique sur le cadavre encore chaud d’Antergos, je me suis aperçu à quel point le monde virtuel peut être toxique.

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