J’ai déjà parlé par deux fois de la saga de fantasy celtico-bretonne d’Isabelle Rozenn-Mari. C’était en février, puis en mars 2014.
Comme je le précisais dans l’article de mars 2014, au début, Isabelle Rozenn-Mari prévoyait une quadrilogie, finalement, c’est une trilogie avec le tome final « Les enfants de Dana : Les éternels » qui est sorti le 8 juillet 2016.
J’ai eu l’honneur de lire une version quasi-définitive du texte. C’est donc pour me rafraichir la mémoire en relisant le texte et pour soutenir l’auteur que j’ai acheté le dernier tome de la trilogie dès sa sortie. Au moins, vous êtes au courant de ce fait, rarement précisé sur les blogs qui parlent de livres ou de musique.
Quand le troisième tome commence, on se demande toujours qui est Argaïl et qui sont ses bras droits démoniaques. Mais pour dérouter le lecteur, le premier chapitre nous envoie dans l’Égypte des Pharaons. Dès le deuxième chapitre, Isabelle nous donne des indices sur qui est qui, même si on est obligé d’attendre quelques chapitres de plus pour avoir la confirmation des soupçons… Ou pas !
Tout ce que je peux vous dire, c’est que le tome final est vraiment dur, et que les révélations se succèdent à grande vitesse. Qui sont les Maghinder, les « bras droits » d’Argaïl qui ne rêvent que de prendre sa place ? Et les Sabrens, ses soldats ?
Les surprises sont au rendez-vous et avec le dernier tiers, vous ne serez pas déçu.
Même si je ne suis pas un grand amoureux du genre « fantasy », cette petite saga m’a permis de passer un bon moment. J’ai pu facilement imaginer que certains passages n’ont pas dû être des plus évidents à écrire.
Quand on écrit une trilogie, quadrilogie ou plus, on finit par s’attacher à tous les personnages, que ce soit le pire des salauds ou pas.
À vous de voir, mais je n’ai qu’une chose à dire : merci pour la saga, Isabelle !