Ah, les easter-eggs…

Les easter-eggs en informatique sont des messages cachés plus ou moins subtilement par les auteurs d’un logiciel pour le signer. Il y a le célébrissime about:mozilla ou encore le flipper caché dans MS-Word 97, les crédits défilants dans Internet Explorer 4. Cela peut aussi prendre la forme de niveaux cachés, comme les deux niveaux hommages à Wolfenstein3D dans Doom 2, le dopefish dans Quake et Quake 2, etc.

Un site, eeggs.com en recense plus de 14 000 en rajoutant les films, les livres, les émissions télé, etc.

Entre 1998 et 2002, en pleine bulle internet, j’avais acheté un nom de domaine infoloufoque.com où j’avais mis un site qui au final avait dépassé les 750 références. Le site est depuis longtemps disparu, sauf pour Archive.org où un cliché du 16 mai 2002 est disponible 🙂

Comme quoi mon amour pour les easter-eggs ne date pas d’hier. J’ai fait une vidéo où je montre quelques easter-eggs inclus dans Planet-X3. À force de jouer à cet excellent petit RTS – auquel il ne manque qu’une extension de 5 ou 6 cartes – j’ai détecté des easter-eggs… Mais il doit sûrement en manquer à l’appel…

Et il y en a un, sur la carte « Urban Ruins » dans Planet-X2 pour Commodore 64, même si David Murray s’était plaint de ne pas pouvoir en mettre autant qu’il voulait faute de place en mémoire.

Bref, pour une fois que des oeufs de Pâques ne font pas grossir, autant en profiter, non ? Vous comprenez pourquoi j’aime à montrer ce genre de cachotteries – parfois mieux programmées que le reste – dans mes vidéos vieux geeks entre autres.

En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi de juillet 2020.

Côté culture ?

Pour finir ce rapide billet, un autre longplay de l’excellent RTS Planet-X3 dont j’ai parlé le 13 juin 2020, et que j’ai mis à jour entre temps, le sixième que j’ai enregistré. C’est déjà pas si mal que cela, 6 sur 13. C’est la carte « Two Islands », une des plus dures du jeu.

Bonne journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • George Orwell connu pour son roman dystopique « 1984 » ou encore pour des romans comme « Hommage à la la Catalogne » et « La ferme des animaux » va entrer dans la collection de la Pléiade.
  • Prenez une enquête policière, deux photos et une vieille pièce italienne découvertes dans le coffre fort d’un vieillard sans histoire et vous aurez « Bien paraître » de Sébastien Mayoux qui m’a été conseillé par Agnès de Destination Passions.

Dans la série, « on continue la longue quête des longplays pour Planet-X3 » déjà évoquée dans cet article, en voici un nouveau, le sixième, consacré à la carte « 2nd Strike ».

Bon week-end 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Un petit billet en ce mercredi de juin qui se la joue été caniculaire 🙂

Côté culture ?

Roger Subirana vient de publier un album du nom de « Mirrors » qui contient des morceaux inédits, des collaborations, des versions lives et pleins de petites choses en plus ! /mirrors-album

Pour finir ce rapide billet, un autre longplay de l’excellent RTS Planet-X3 dont j’ai parlé le 13 juin 2020, le quatrième que j’ai enregistré. C’est déjà pas si mal que cela, 4 sur 13. C’est la carte « River Divide », en hommage à la première carte de Planet-X2 sorti sur Commodore 64 ?

Bonne journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine :)

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt doux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

C’est vrai, c’est bien connu, Archlinux ça ne tient pas le choc dans le temps :)

Un petit billet d’humour sur une rumeur tenace sur Archlinux. Je suis Archlinuxien depuis plus de 10 ans. Et en moyenne, mes installations tenaient dans les deux ans. Il faut dire que je leur en mettais plein la… figure et j’étais bien content de les voir tenir aussi longtemps 🙂

Cependant, en ce 15 juin 2020, je viens de m’apercevoir que mon installation actuelle d’Archlinux faite à l’époque en utilisant l’outil Anarchy – pour gérer l’UEFI que je ne maitrisais pas franchement en 2018 – approche petit à petit des 900 jours. Oui, 900 !

Pour être plus précis, 839 jours. Donc au 15 août 2020, les 900 jours seront atteints. Les 1000 ? Au 23 novembre 2020. Tiens, une idée pour un billet dans quelques mois, c’est cool 🙂

Comme quoi, on peut très bien avoir des installations vieilles de deux ans voire plus qui sont toujours en vie sur une Archlinux.

Il y a une formule du droit romain qui dit ceci : « Quod gratis asseritur, gratis negatur » ce qu’on peut traduire par : « Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve ».

Voici donc la sortie de la commande head /var/log/pacman.log -n 20. En gros, les 20 premières lignes du fichier qui enregistre les activités de pacman.


[2018-02-27 17:39] [PACMAN] Running 'pacman -r /mnt -Sy --force --cachedir=/mnt/var/cache/pacman/pkg --noconfirm bash bzip2 coreutils cryptsetup device-mapper dhcpcd diffutils e2fsprogs file filesystem findutils gawk gcc-libs gettext glibc grep gzip inetutils iproute2 iputils jfsutils less licenses linux logrotate lvm2 man-db man-pages mdadm nano netctl pacman pciutils pcmciautils perl procps-ng psmisc reiserfsprogs s-nail sed shadow sysfsutils systemd-sysvcompat tar texinfo usbutils util-linux vi which xfsprogs alsa-utils base-devel cpupower cups cups-pdf dialog efibootmgr ffmpegthumbnailer git grml-zsh-config grub gst-libav gst-plugins-bad gst-plugins-base gst-plugins-good gst-plugins-ugly gtk3-print-backends gtk-engine-murrine gvfs gvfs-mtp gvfs-smb libreoffice-fresh libreoffice-fresh-fr lightdm lightdm-gtk-greeter lightdm-gtk-greeter-settings linux-headers mate mate-extra mesa-libgl networkmanager network-manager-applet ntfs-3g pamac-aur pavucontrol pulseaudio pulseaudio-alsa screenfetch ttf-dejavu unzip vim wget wireless_tools wpa_actiond wpa_supplicant xdg-user-dirs xf86-video-ati xorg-apps xorg-server xorg-xinit xterm zsh zsh-completions zsh-syntax-highlighting'
[2018-02-27 17:39] [PACMAN] synchronizing package lists
[2018-02-27 17:44] [ALPM] transaction started
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed linux-api-headers (4.14.8-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed tzdata (2018c-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed iana-etc (20180221-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed filesystem (2017.10-2)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed glibc (2.26-11)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed gcc-libs (7.3.0-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed ncurses (6.1-3)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed readline (7.0.003-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed bash (4.4.019-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed bzip2 (1.0.6-7)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed attr (2.4.47-3)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed acl (2.2.52-4)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed gmp (6.1.2-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed libcap (2.25-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed gdbm (1.14.1-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed db (5.3.28-3)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed perl (5.26.1-2)

En l’espace de presque 940 jours, je suis passé d’un noyau Linux 4.14.x ou 4.15.x au 5.7.2. Soit une quinzaine de versions (du 4.14 ou 15 au 4.20, puis du 5.0 au 5.7). Sans oublier la tétrachiée de versions mineures intermédiaires. De même, mon installation est passée de gcc 7.3.x à la version 10.1, de la glibc 2.26 à la 2.31, a connu Mate-Desktop 1.20, 1.22, 1.24 et actuellement Gnome 3.36. Autant dire que ça a pas mal bougé 🙂

Sans oublier les logiciels installés une fois puis viré, les émulateurs, les virtualisateurs, etc… Mon installation a même survécu – grâce aux bons soins d’un certain BabaOrhum – au passage du système d’un disque dur vers un nvme…

Continuer la lecture de « C’est vrai, c’est bien connu, Archlinux ça ne tient pas le choc dans le temps 🙂 »

En vrac’ dominical.

Un court billet rédigé un dimanche matin nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

Profitons d’un samedi matin de début juin pas trop chaud pour vrac’er 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

Certains groupes ne comprennent-ils pas qu’il y a des coûts psychologiques à ne pas franchir ?

Il y a près de 5 ans, en juillet et août 2015, j’écrivais deux billets sur les abus en terme de prix pour les albums de musique, spécialement pour les versions numériques, qui ne sont que des 0 et des 1 arrangés dans un certain ordre si on va au plus bas du contenu en question.

Que ce soit dans le premier article, écrit fin juillet 2015 sous le coup de l’énervement, ou dans sa suite écrite une quinzaine de jours plus tard, je donnais l’exemple d’album qui dépassait allègrement les 12 à 15€ pour des censure d’une dizaine de jurons fichiers au format non destructif flac… Il y avait dans le deuxième billet l’exemple d’un groupe de folk progressif « Elena’s Idea » qui proposait son album à 15€ en numérique et 25€ en format physique.

Étant retourné sur la page du groupe, qui n’affiche pas la moindre vente sur Bandcamp, les prix sont devenus un peu plus raisonnables… Respectivement 10€ et 15€ pour le numérique et la version physique.

Comme quoi, se retrouver sans la moindre vente, ça fait réfléchir et ça donne envie de revoir ses prétentions à la baisse. Après tout, tout le monde n’est pas comme une boite comme Apple pour vendre du matériel avec un logo fruité dessus pour deux à trois fois le prix du matériel équivalent ailleurs.

Ce qui m’a donné envie d’écrire ce billet, c’est la sortie du nouvel opus – qui est très bon – d’Astolat, « The Winning Tragedy » que j’attendais après le tout aussi bon Aokigahara sorti en 2014. Quand j’ai vu le prix, à savoir 15€, j’ai d’abord cru – et c’était logique – que c’était pour une version physique…

Malheureusement, j’ai vite déchanté. C’est 15€ pour l’album (12 pistes) et pour les versions instrumentales pour onze d’entre elles. 15€ ?! Désolé, mais c’est beaucoup trop cher pour simplement des fichiers que l’on peut perdre dans un choc appliqué à un disque dur externe en plein fonctionnement. Quant à la carotte des versions instrumentales, ça me fait penser au foutage de tronche des albums remastérisés de Led Zeppelin au milieu des années 2010.

Donc, et ça me fait mal au fondement de le dire surtout que j’attendais cet album avec impatience, ce sera pour moi un « non, désolé, je n’achète pas. » Je ne sais pas si je continuerai de suivre l’actualité du groupe, mais avec ce genre de faux pas stratégique, ça donne envie de s’en éloigner.

Avant qu’on me dise que « toute peine mérite salaire » – ce avec quoi je suis d’accord – il faut savoir aussi rester raisonnable et ne pas se mettre à dos les personne qui suivent le groupe depuis des années.

Et si cela ne touchait que le monde de la musique en ligne… N’oublions pas les délires de l’auto-édition et des sommes mirobolantes parfois demandées pour des livres numériques comme le soulignait Agnes dans un billet de juin 2018 de son blog.

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 35 : Galactica (1978)

Il y a des séries qui vous marquent étant petit. J’ai déjà parlé des « Maitres de l’Univers« , de « Il était une fois l’homme » ou encore des « Années coup de coeur« .

Mais il y en a une – avec Buck Rogers au 25e siècle – qui m’a marqué dans mes jeunes années, c’est Battlestar Galactica sortie en 1978. Oui, je parle bien de la première avec Dirk Benedit dans le rôle de Starbuck, Richard Hatch dans le rôle d’Apollo, Lorne Greene dans le rôle d’Adama, Maren Jensen dans le rôle d’Athena et le méchant de l’histoire, John Colicos dans le rôle du comte Baltar.

Je m’en suis souvenu quand j’ai enregistré la vidéo suivante dans ma série « C’est trolldi, c’est permis ».

Le générique de la série de 1978, c’était ça :

Outre le fait qu’on sent l’inspiration de Star Wars dont le premier film était sorti un an plus tôt, on est dans la revisite des histoires bibliques : les 12 colonies, l’exode, la recherche d’une planète promise.

Continuer la lecture de « Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 35 : Galactica (1978) »