En vrac’ rapide et libre de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine.

Voila, c’est tout ! Bon week-end 🙂

Vive les « petits » labels musicaux.

Dans un article récent, je parlais du dernier opus du groupe Heligoland, « Saint Anne ».

Aimant beaucoup le travail de ce groupe, et en faisant quelques recherches, je me suis aperçu que sur leur page Bandcamp, seul 4 de leur 5 albums sont disponibles chez eux.

En effet, leur premier opus, « Shift These Thoughts » n’est pas directement disponible chez eux.

Après quelques recherches, je suis tombé sur le premier label du groupe, Big Rig Records qui propose à la vente leur premier opus.

Et même si je ne suis pas chaud à l’idée de commander en Australie (par rapport aux délais de livraison), j’ai eu la surprise de recevoir ma commande, une dizaine de jours après l’avoir passée, et 5 jours après la confirmation de l’envoi.

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« Factory Of Dreams », le premier album des « Seven Nails ».

Seven Nails, c’est un groupe de métal symphonique et progressif allemand. Il est composé de Daniela Marx (Chant), Julian Volkmann (Chant), Marion Hüttl (Violon et chant),Tim Lobitz (Claviers), Mathias Schmid (Guitare), Leo Reinhardt (Basse) et Johannes Auer (Batterie).

Leur premier album, « Factory Of Dreams » est sorti le 15 février 2013. Je l’ai trouvé alors que je cherchais sur Bandcamp des albums de métal symphonique avec du chant. Et j’avoue que c’est d’abord la pochette qui m’a tapé dans l’oeil.

Dès la première piste, l’ambiance est lourde. Un tonnerre nous accueille, mélangé à une ambiance très « faustienne ». On se croirait devant un chateau en ruine, à la recherche d’un abri pour la nuit.

Le titre éponyme nous propose une rythmique typique du métal symphonique. Il est agréable de noter que les voix sont claires et que c’est un mélange de voix féminine et masculine. Le violon que l’on peut entendre est un vrai, ce qui est agréable.

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Linux Mint Debian Edition : que devient la distribution qui « a raté le coche » en 2012 ?

Dans mon article de mes prévisions pour 2013, je me déclarais déçu de voir comment l’équipe de Linux Mint avait raté une occasion en or de se rendre encore plus populaire avec sa distribution Linux Mint Debian Edition.

Commençons par l’occasion manquée de l’année sur le bureau Linux, j’ai nommé la LinuxMint. Elle avait tout cette année pour prendre son envol, en proposant une vraie distribution à publication en flux continu avec son interface Cinnamon par dessus. La LinuxMint Debian Edition est un fiasco, avec des « services pack » réguliers qui est tout sauf de la publication en flux continu.

Si on en croit la page officielle du projet, elle est définie désormais comme une semi rolling release, ce qui est plus honnête : « Linux Mint Debian Edition (LMDE) is a semi-rolling distribution based on Debian Testing. »

La sortie de la version Release Candidate de la LMDE 201303
me donne l’occasion de voir où elle en est. Selon l’article du blog, elle contient l’Update Pack 6, Mate 1.4, Cinnamon 1.6, un installateur amélioré et surtout un bel écran de démarrage 😉

Utilisant le réseau des pirates à savoir Bittorrent, dixit l’industrie de réplication de galettes plastifiées, j’ai récupéré l’ISO de la 201303 avec Cinnamon en 64 bits. Et j’ai utilisé VirtualBox pour voir l’ensemble en action.

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Manjaro Linux 0.8.4 : où en est la Archlinux pour être humain glabre ? :)

En tant qu’utilisateur d’ArchLinux, j’apprécie de voir que les dérivées de cette distribution continuer leur bonhomme de chemin. La version 0.8.4 de la Manjaro Linux étant fraichement sortie, j’ai eu envie de voir où en elle était.

J’ai donc récupéré la version Xfce en 64 bits, et j’ai lancé le tout dans une machine VirtualBox. Qemu – en version git – semble avoir du mal à digérer le passage à MesaGL 9.1 en ce moment.

Au menu des réjouissances : un noyau linux 3.7.9, un outil graphique qui s’occupe de la vérification des mises à jour, de leur installation, et de l’ajout/suppression de programme, à savoir Pamac, mais aussi Xfce 4.10, Cinnamon 1.6.x, et plein d’autres choses comme Chromium comme navigateur par défaut et un certain Steam…

La nouvelle version de Xfce à la sauce Manjaro Linux nous propose d’utiliser l’outil Plank tiré d’ElementaryOS pour gérer les applications fréquemment lancées.

L’installateur est encore semi-graphique, mais automatisé pour la plupart des étapes. Il existe deux versions de l’installateur, le « stable » et « l’expérimental » qui rajoute le support de l’UEFI entre autre. A noter la présence d’un installateur en ligne, mais je ne l’ai pas testé.

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En vrac’ culturel, enfin si on veut.

Un petit en vrac’ en relation avec la culture dans son sens le plus large.

C’est tout pour aujourd’hui, j’ai des projets à travailler sur le feu 😉

NuTyX Sekong RC2 : la distribution basée sur Crux et Linux From Scratch renaît de ses cendres.

J’ai eu un passé mouvementé avec la NuTyX, inutile de s’apesantir dessus. Mais avec la sortie de la RC2 de la Sekong, j’ai eu envie de faire un nouveau test de cette distribution un peu atypique.

Au menu, dixit l’annonce de publication : une noyau Linux 3.4.33 (C’est un noyau LTS donc long time support, ce qui justifie largement sa présence), KDE SC 4.10, Gnome 3.6.2, Xfce 4.10, Lxde 0.5.10, LibreOffice 3.6.x, Mozilla Firefox 19, et plein d’autres choses.

Après avoir récupéré la mini ISO, d’une taille de 79 Mo et vérifier qu’elle était correcte, j’ai lancé une machine virtuelle VirtualBox, ayant des ralentissements effroyables lors de mes tests avec Qemu 🙁

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Qemu 1.5 : un début de concurrence pour Gnome Boxes ?

J’ai parlé de Gnome Boxes, l’interface utilisateur graphique de qemu pour Gnome dans un billet de novembre 2012.

M’occupant le paquet qemu-git sur AUR, j’ai pu constaté quelques modifications intéressante au niveau du code de qemu, en jetant un oeil sur le dépot git de développement.

La première modification a été postée le 21 février 2013 en fin de journée, et le texte qui l’accompagne est clair :

gtk: make default UI (v5)

A user can still enable SDL with ‘-sdl’ or ‘-display sdl’ but start making the
default display GTK by default.

I’d also like to deprecate the SDL display and remove it in a few releases.

Une traduction rapide donne :

gtk : en faire l’Interface Utilisateur par défaut (v5)

Un utilisateur peut toujours activer SDL avec ‘-sdl’ ou ‘-display sdl’ mais commençons à proposer l’affichage GTK par défaut.

Je voudrais aussi déprécier l’affichage SDL et l’enlever dans quelques versions.

Cette modification m’a permis de trouver un message sur la liste de publication de Qemu où on apprend que cette modification est en cours depuis… 7 ans 🙂

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Origins de « Bend The Sky » : une initiation au métal symphonique.

S’il est un genre musical qui connait les dérivées par dizaine, c’est bien le métal. Je connaissais le métal progressif, le heavy métal, le métal industriel, et j’ai récemment découvert ce qu’on appelle le métal symphonique.

Vous prenez du métal, et vous lui rajoutez des composantes de musique orchestrale classique (piano, violons) et voila le travail.

Recherchant donc du métal symphonique instrumental, j’ai fouillé Bandcamp et je suis tombé sur le premier album des australiens de « Bend The Sky »

Il s’intitule « Origins ». Composé de 12 pistes (de 4 à 6 minutes), il propose une initiation intéressante à cette composante du métal. Dès la première piste, « Reform » qui commence par une intro au piano classique, on est ensuite projeté dans des rythmiques métal, même si le piano revient, accompagnés de guitares puissantes et d’une batterie juste ce qu’il faut de puissance sans tomber dans le lourd.

Il faut noter que les morceaux sont inspirés des canons de la musique classique : comme des choeurs qui entame le morceau « Tempest », par exemple. Sans oublier la présence de passages acoustiques qui permettent une montée en puissance des titres, comme sur « Glaciers ».

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En vrac’ rapide et libre.

Comme j’ai pas trop le temps – ni l’envie – de pondre un long billet aujourd’hui, un en vrac’ rapide et libre fera l’affaire !

Voila, c’est tout pour aujourd’hui !