Quel avenir pour mon équipement rétroludique ?

Ici, je ne vais parler que de mon équipement rétroludique principal, à savoir le Commodore 64 et les ajouts que je pourrais y faire. Mon PC ne nécessite plus qu’un investissement modique (un beeper à remplacer) pour être 100% fonctionnel.

Cela fait deux ans que j’ai reçu en cadeau un Commodore 64, sans câbles ni alimentation. J’ai donc dans un premier temps investi dans une alimentation moderne et un câble vidéo pour pouvoir brancher le Commodore 64 à ma vieille (7 ou 8 ans ?) TV avec un affichage LCD.

J’ai ensuite investi dans un SD2IEC (pour charger les images disques depuis une carte SD), une cartouche Final Cartridge 3+ (pour avoir un accélérateur de chargement entre autre), sans oublier un incontournable joystick à brancher sur le port 2.

J’ai pris une photo avec tous les périphériques que je possède branchés au « cul » de l’ordinosaure. À savoir de gauche à droite :

Quels sont les équipements que j’envisage de prendre d’ici la fin de l’année 2024 ? Une carte Kung Fu Flash qui est bien pratique pour lancer les jeux au format cartouche qui sont de plus en plus nombreux. Et si c’est possible, un lecteur de disquettes 1541 / 1541-II pour les quelques disquettes 5 pouces 1/4 au format Commodore que je possède. C’est quand même mieux de lancer un jeu depuis un format physique de temps à autres 😉

En gros, j’en aurai pour une grosse centaine d’euros, 150 en cumulé au pire. J’écume les annonces sur eBay donc je garde confiance, au moins pour la carte Kung Fu Flash.

C’est bien le rétroludique, surtout sur le matériel d’origine, même si quelques frais sont à prévoir régulièrement.

« Trois femmes : Akiko », le dernier tome de ma trilogie.

Sept ans après le premier tome, et un an après le second, voici donc arrivé le temps du dernier volume.

Le roman en question s’appelle « Trois femmes : Akiko ». Il est disponible au format papier et au format numérique kindle sans DRM.

Voici une photo des trois volumes de l’histoire que j’ai entamé quand j’avais une vingtaine d’années avant de le reprendre en 2016.

J’ai fait une petite vidéo pour faire un brin de publicité à l’ensemble.

J’espère que ce tome trouvera son public, même si j’écris avant tout pour le plaisir. Il peut se lire indépendamment des deux premiers tomes même si certains passages de ces derniers y font référence de manière plus ou moins directe.

Bonne découverte !

De l’ouverture du code source d’un jeu pour prolonger sa durée de vie…

C’est une méthode qui a été utilisée durant de nombreuses années par ID Software, ou encore par les créateurs de Marathon (le Doom du Mac) avec AlephOne pour que le jeu puisse être jouable plus facilement sur du matériel récent. Seul le code source des jeux sont ouverts, les fichiers de données restant commerciaux.

Bien que Doom soit sorti en 1993, 30 ans plus tard, il existe un sacré paquet de ports du code du jeu pour les MS-Windows, MacOS ou Linux modernes. On peut citer Gzdoom, Chocolate Doom, DoomRetro ou encore Woof-Doom.

Pour tout ce qui est Quake / Quake 2 / Quake 3 Arena, on a respectivement QuakeSpasm et DarkPlaces, Yamagi Quake 2 et Ioquake 3.

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Y en a marre des effets de mode dans le monde du logiciel libre.

S’il y a bien un truc qui me hérisse le poil et m’attaque la paroi stomacale par excès de sucs gastriques, ce sont les effets de mode dans le monde du logiciel libre.

Dès qu’une mode est lancée, on a droit à 15 projets différents sur le même principe, tout en sachant que 90% des projets en question ne soufflera pas sa deuxième bougie.

Il y a deux modes en ce moment. D’un côté, les distributions immuables comme la Fedora Silverblue (Gnome) et Fedora Kinoite (KDE), ou encore VanillaOS. De l’autre, les distributions déclaratives qui utilise un fichier de configuration unique pour gérer de manière souple les logiciels disponibles et de façon reproductible à l’infini ou presque. Ici, on peut citer NixOS ou encore GNU Guix pour les puristes.

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