Fin 2017, Isabelle Rozenn-Mari, dont j’avais dévoré le cycle des « enfants de Dana » ou son roman primé « Souviens-toi Rose », m’avait contacté pour me proposer une offre que je ne pouvais refuser : être dans les béta-lecteurs de son nouveau roman « Les larmes d’Alyssa ».
Je m’étais promis d’en parler à la sortie. C’est chose faite en cette fin du mois de janvier 2018.
Comme d’habitude, Isabelle Rozenn-Mari nous fait voyager en Bretagne, région de prédilection de ses oeuvres.
Le synopsys du roman ? Alyssa vient de voir mourir sous ses yeux son compagnon, lâchement poignardé en plein Paris. Pour fuir les mauvais souvenirs, la voila qui retourne vers le petit village de Bretagne, Daoulmar où vit sa grand mère avec qui elle a une relation privilégiée.
À peine arrive-t-elle à destination que d’une série d’événements macabres dans une église abandonnée qui l’est tout autant se déclenche.
Surtout les questions s’accumulent au fil des pages. Quel lien peut-il y avoir entre les événements et ceux intervenus une dizaine de siècles auparavant quand des troupes vikings ravagèrent la région ?