Chronique d’une migration réussie vers Gnome 3.12.0 pour Archlinux.

Comme tous les 6 mois, je fais mon fou furieux, et je teste le dépot [gnome-unstable] pour Archlinux dès qu’il atteint un certain niveau de maturité. Comme pour Gnome 3.10.0 en septembre 2013.

Voici donc la marche à suivre si vous êtes suffisamment branchés cascades ultimes. Ce n’est pas conseillé aux personnes qui tiennent à la stabilité de leur environnement. En clair, l’ensemble peut vous exploser en pleine tronche. Je suis clair, ou faut-il un dessin ? 😀

Les captures d’écrans qui suivent la liste d’action à effectuer sont des illustrations. Les instructions seront applicables aussi dès l’arrivée de Gnome 3.12 dans le dépot [testing], puis dans les dépots stable.

Je tiens à préciser qu’un outil ne fonctionne pas et nécessite une compilation, c’est Brasero. Donc si vous dépendez de cet outil, et que compiler Brasero ne vous branche pas, passez votre chemin et attendez un peu !

  1. Si le paquet totem-plugin est installé, il faut l’enlever : yaourt -Rcs totem-plugin
  2. Avec gnome-tweak-tool, on désactive les extensions tierces qui pourraient interférer.
  3. On désactive le lancement automatique de GDM : sudo systemctl disable gdm.service
  4. On active le dépot [gnome-unstable] en le rajoutant en haut de la liste des dépots, avec [testing] et [community-testing]
  5. On lance l’installation des mises à jour, 128 pour mon ordinateur de bureau avec un petit yaourt -Syua, puis on attends en serrant les fesses.
  6. On redémarre. Puis on se connecte en utilisateur classique, et on lance gdm avec sudo systemctl start gdm.service

Ce sont les étapes d’installation. Si Gnome 3.12 vous accueille tant mieux. Sinon, il faudra virer gnome, désactiver gnome-unstable et réinstaller Gnome 3.10…

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Void Linux et Gnome 3.12… Un cocktail détonnant.

J’ai lu sur le blog de la Void Linux que Gnome 3.12 était disponible. Etant donné que le dépot [gnome-unstable] d’Archlinux met beaucoup de temps à se remplir, j’ai eu envie de voir Gnome 3.12 en utilisant la Void Linux.

La dernière fois que j’avais parlé de la Void, c’était lors de la sortie d’e18, en décembre dernier.

J’ai donc récupéré la dernière ISO d’installation en date, et je me suis lancé dans l’installation de la Void Linux avec Gnome 3.12. J’avoue que j’en ai bavé un peu, et je tiens à remercier le papa de la distribution pour m’avoir aidé via le canal IRC à me sortir des ornières dans lesquelles je m’étais mis.

J’ai donc utilisé VirtualBox, et en duo avec l’ISO de la Void Linux, j’ai utilisé gParted pour configurer les partitions sans me faire exploser les neurones avec parted.

J’ai donc pris le partitionnement habituel :

  • /dev/sda1 ; /boot ; 512 Mo ; ext2
  • /dev/sda2 ; swap de 4 Go
  • /dev/sda3 ; / ; 20 Go ; ext4
  • /dev/sda4 ; /home ; le reste du disque de 128 Go ; ext4

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Archlinux et Unity : où en est-on ? Le retour ;)

La dernière fois que je parlais du port de l’environnement développé par Canonical pour sa distribution Ubuntu, c’était en février 2013.

J’ai donc voulu voir les progrès effectué par le port qui est essentiellement le travail de Xiao-Long Chen.

Apparemment, seul le port pour Archlinux est maintenu. Le port entamé pour Fedora Linux semble être un brin mort. La dernière modification remontant au… 4 mai 2013 ! Des infos sur ce port pour Fedora Linux ?

Je concluais le précédent article ainsi :

Que dire pour conclure ce rapide article : que l’environnement est vraiment très avancé dans l’utilisation qu’on peut en faire quotidiennement. Mis à part Mozilla Firefox qui m’a fait un gros caca nerveux, et modulo les lenteurs liés à la carte graphique peu véloce, Unity sur Archlinux est très proche d’être utilisable sans soucis.

Je suis donc parti d’une Archlinux avec Gnome, LibreOffice, Mozilla Firefox, Mozilla Thunderbird. Ensuite, j’ai simplement suivi le wiki proposé par Archlinux.

En clair ? J’ai commencé par ajouter les dépots suivants à mon /etc/pacman.conf


[Unity-for-Arch]
SigLevel = Optional TrustAll
Server = http://dl.dropbox.com/u/486665/Repos/Unity-for-Arch/$arch


[Unity-for-Arch-Extra]
SigLevel = Optional TrustAll
Server = http://dl.dropbox.com/u/486665/Repos/Unity-for-Arch-Extra/$arch

Ensuite, j’ai rentré les lignes de commandes magiques pour installer unity et ses extras.


yaourt -Syu
yaourt -S $(pacman -Slq unity)
yaourt -S unity-extra

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Paldo GNU/Linux… Le retour :)

Ah, la Paldo GNU/Linux. La dernière fois que j’en avais parlé, cela remonte à novembre 2012. Cette distribution qui se rapproche des idéaux d’Archlinux, à savoir en publication continue, avec le minimum de « rustines » appliquée, et surtout avec son gestionnaire de paquet en mono, j’ai nommé upkg. Apparement, elle aurait comme base une Linux From Scratch, surtout quand on lit :

« We have virtually no local changes, means every patch is one which will go upstream anyway (e.g. compile fixes) or one needed by the LFS build system to enable us to boostrap correctly. »

Ce qu’on peut traduire par :

« Nous avons pratiquement pas de modifications en local, signifie que chaque patch est celui qui va être appliquer en amont de toute façon (par exemple, des correctifs de compilations) ou un utilisé par les compilations de la LFS et nous pemettre de démarrer correctement. »

D’ailleurs, au moment où j’écris cet article, le 15 mars 2014, on peut voir que la fraicheur des paquets est assez intéressante. La distribution propose systemd dans sa version 210… Pour mémoire, systemd 211 est sorti le 11 mars 2014

J’avais envie de voir ce que devenait cette petite distribution atypique. Il n’y a en effet que 1022 paquets supportés officiellement. Avec un seul environnement de bureau supporté, ça limite le nombre de paquets à gérer.

J’ai donc récupéré la dernière ISO stable en 64 bits, celle du 10 mars avec mon ami wget. Bon point, les ISO sont désormais hybrides et peuvent être utilisée aussi bien sur un CD que sur une clé USB.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://www.paldo.org/paldo-live-cd-x86_64-stable.iso
–2014-03-15 13:08:51– http://www.paldo.org/paldo-live-cd-x86_64-stable.iso
Résolution de www.paldo.org (www.paldo.org)… 176.9.46.218
Connexion à www.paldo.org (www.paldo.org)|176.9.46.218|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 770703360 (735M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « paldo-live-cd-x86_64-stable.iso »

100%[======================================>] 770 703 360 2,62MB/s ds 6m 40s

2014-03-15 13:15:31 (1,84 MB/s) — « paldo-live-cd-x86_64-stable.iso » sauvegardé [770703360/770703360]

Ensuite, j’ai utilisé Qemu dans sa configuration habituelle pour voir la distribution en action.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom paldo-live-cd-x86_64-stable.iso -boot order=cd &

Après le démarrage, nous nous retrouvons avec un environnement Gnome 3.10. On trouve l’installateur quand on affiche l’ensemble des logiciels disponibles. Par défaut, il est configuré pour les utilisateurs Suisse. Les réglages au premier écran permettent de choisir les réglages qui conviennent aux principaux pays. La première chose à faire étant de définir un clavier francophone, sinon, on va galérer pour la suite. Les réglages pour le clavier se trouvant dans « Regions & Languages » des paramètres de Gnome.

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Debian GNU/Linux Jessie : un premier aperçu, dix mois après la sortie de la Debian GNU/Linux Wheezy.

Il y a un peu plus de 10 mois, la Debian GNU/Linux Wheezy sortait officiellement. Le cycle de développement est maintenant plus simple : 18 mois d’évolution de la prochaine version stable en tant que testing, puis un gel technique et une durée d’environ 9 à 10 mois de stabilisation.

En effet, sur les trois dernières versions, à savoir Lenny, Squeeze et Wheezy, la période de gel a été respectivement de 6 mois et 23 jours (203 jours), 6 mois et 4 jours (184 jours), et 10 mois et 4 jours (308 jours).

J’ai donc voulu avoir un premier aperçu de la Debian GNU/Linux Jessie, l’actuelle version en testing. Et surtout voir la facilité de migration de son système d’initilisation à la sysVinit vers systemd, annonce fracassante ayant eu lieu il y a environ un mois.

Tout en se souvenant que la version finale de Jessie ne sortira pas avant le premier voire le second trimestre 2015, le gel arrivant début novembre 2014.

J’ai eu l’idée de reprendre le tutoriel publié par Cep sur le blog de Cyrille Borne. Mais au lieu d’aller directement sur la version « unstable » alias sid de Debian, je me suis contenté de testing.

Après avoir récupéré l’énorme image ISO minimale (une vingtaine de Mo !), et avoir vérifié qu’elle était correcte, j’ai lancé une machine virtuelle qemu avec l’équipement habituel : 128 Go de disque virtuel, et 2 Go de mémoire vive.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom mini.iso -boot order=cd &

Apparemment, par défaut, et on peut le voir en allant dans les options avancées, l’ISO minimale propose l’installation de Xfce, au lieu de Gnome. Mais comme je voulais avoir un Gnome, j’ai choisi l’installation de Gnome en mode texte. Le mode graphique d’installation ne semblant pas disponible avec les ISO minimales. C’est moins convivial, mais c’est aussi plus « rapide » à l’utilisation 🙂

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Mate Desktop 1.8 : Papy fait de la résistance ?

J’ai pris un peu de retard dans cet article pour des raisons diverses et (a)variées. Quoiqu’il en soit, depuis la sortie d’un article sur la publication de Mate Desktop 1.8 sur La Vache Libre, j’avais envie d’écrire l’article qui suit.

Comme l’a souligné Laurent, le code n’a pas entièrement migré vers gtk3. Mais quand on voit le nombre d’outils à transposer, on peut se dire qu’un cycle de développement supplémentaire, ce ne sera pas de trop. Et il ne faut pas oublier que Mate Desktop 1.6 n’est sorti qu’en avril 2013, après tout !

Dans les notes de publications
, outre les habituelles corrections de bugs, on trouve entre autres :

  • La possibilité d’afficher les fenêtres en mosaïque
  • L’ajout d’un guide utilisateur
  • Des améliorations au niveau des appliquettes
  • L’utilisation de Blueman pour gérer les périphériques bluetooth
  • de la simplification de code et l’abandon de paquets par des technologies plus modernes
  • Un compte à rebours sous forme de barre de progression dans le menu de déconnexion.

J’ai donc décidé de voir ce que propose Mate Desktop 1.8 dans une Archlinux virtualisée. Etant donné que désormais, Mate Desktop est supporté par les développeurs d’Archlinux, l’installation est franchement simplifiée.

Elle se limite à un simple sudo pacman -S mate mate-extra ou yaourt -S mate mate-extra… Difficile de faire plus simple, non ? Je vous passe les détails techniques bien sales, vous les trouverez dans l’onglet documentations du blog, et j’ai donc installé une Archlinux avec Mate Desktop 1.8.0 dessus.

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Le mieux est l’ennemi du bien… Pourquoi ne pas s’en souvenir ?

Dans le domaine de l’informatique libre, on ferait bien par moment de se souvenir de ce proverbe. Depuis quelques jours, dans plusieurs billets, dont un qui à fait couler beaucoup d’encre électronique, où je parlais de certains défauts dérivant des qualités de la distribution à l’origine de plusieurs dizaines d’autres, la Debian GNU/Linux.

Que ce soit Ubuntu (et sa floppée de dérivées officielles et non-officielles) ou encore des projets comme l’excellent HandyLinux, on voit que Debian GNU/Linux, c’est de la qualité.

Outre un billet très bien écrit par Cep sur le blog de Cyrille Borne qui expliquait certaines arcanes de la gestion des paquets sur une Debian GNU/Linux, qui exigent parfois certaines contorsions techniques, les commentaires sur un autre billet sur le financement participatif du logiciel de retouche vidéo Pitivi ont mis en lumière certaines limites liées à la volonté d’avoir une distribution aussi solide que du granite.

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SalixOS 14.1 : le retour de la « Ubuntu » pour Slackware Linux.

J’ai toujours eu un léger faible pour la rustique Slackware Linux. Ce fut d’ailleurs avec elle que j’ai tâté pour la première fois du logiciel libre, il y a bientôt… 17 ans 😉

L’équipe de la SalixOS vient de sortir la nouvelle génération de son « ubuntu » pour Slackware. J’emploie le terme ubuntu dans le sens suivant :

Distribution GNU/Linux simplificatrice d’une distribution plus austère en terme de convivialité pour l’utilisateur qui n’a pas envie de passer du temps dans un terminal.

Grace au site que la communauté libriste mondiale aime à détester, j’ai pu apprendre l’arrivée de la nouvelle mouture de la SalixOS. Et que je peux en parler dans cet article.

Au menu des nouveautés de cette version ?

  • Basée sur la Slackware Linux 14.1
  • Support des machines avec un circuit UEFI via elilo
  • Support du partitionnement au format GPT, un pré-requis pour l’UEFI
  • Ajout d’un nouvel outil pour gérer les paquets logiciels, spi qui est une surcouche de slapt-get.
  • La lente transition vers gtk3 entamé pour certains outils, comme le sulfureux Transmission.
  • Xfce 4.10 avec Midori comme navigateur par défaut, LibreOffice 4.2.0 et plein de petites améliorations.
  • L’accès au compte root est maintenant désactivé par défaut.
  • Un nouveau logo qui me fait furieusement penser à celui des ordinateurs d’Acorn Computers 🙂

Pour avoir une ISO irréprochable, j’ai utilisé le sulfureux Transmission pour récupérer l’ISO du DVD d’installation.

Puis j’ai utilisé mon ami Qemu pour pouvoir présenter la SalixOS 14.1 dans la suite de l’article.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom salix64-xfce-14.1.iso -boot order=cd &

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Quand les utilisateurs de logiciels libres se comporteront-ils en adultes ?

Dans un article publié sur le blog de Cyrille Borne, Cep a écrit un article dans lequel je me fais tailler un costume trois pièces, même si l’article parle de plein d’autres choses.

  1. Car j’ose dire que la volonté de stabilité de Debian GNU/Linux conduit à l’obsolescence technique pour la version « stable » de la distribution à la spirale.
  2. Que je ne teste pas vraiment les distributions, car je me limite à un logiciel de virtualisation, que ce soit Qemu ou VirtualBox. C’est vrai que c’est tellement plus rapide de réinstaller entièrement une distribution qui a planté au lieu de virer le fichier du disque dur concerné et de recommencer à zéro. Il est vrai qu’une distribution basée sur Debian GNU/Linux ne ressemblent pas à la Debian GNU/linux…
  3. Sans oublier que les utilisateurs de distributions en flux continus sont finalement des béta-testeurs.

Je vous laisse lire l’article. Vous pourrez aussi y lire aussi la simplicité des versions de Mozilla Firefox sous Debian (un bijou). Mais j’avoue qu’un passage m’a fait particulièrement plaisir, et je le recopie ici, concernant l’inclusion de micrologiciels (firmware en anglais) non-libres dans le noyau linux :

Pour ce dernier point il s’agit en quelque sorte de revenir à ce qu’étaient les noyaux Debian avant l’accord avec la FSF tentant à rendre les Debian entièrement « libres ». À ce sujet ne pas oublier que Libre et simple ne fait pas toujours bon ménage en matière d’informatique. Inutile de se leurrer, le Libre est un choix qui va immanquablement de pair avec investissement personnel. Ne croyez pas ceux qui prétendent le contraire car la surcouche de facilitation à très grande échelle ne pourra pas s’obtenir sans une constante commerciale, soit payante directement, soit rémunérée de manière indirecte par de la publicité, du pistage, un accès à vos données personnelles ou autres moyens détournés. Ben oui, la monétisation a un prix. Et c’est aussi là que le travail de la Fsf ou, à moindre échelle, de l’April et d’autres organisations semblables prend tout son sens car, par une sensibilisation des décideurs, indirectement il participe de cette facilitation à grande échelle.

Je passe sur l’attaque sur la distribution de Canonical qui est tellement classique qu’elle ne mérite pas qu’on s’y attarde. Mais je reviens sur la partie que j’ai mis en emphase dans la citation. Vouloir avoir une machine 100% libre, c’est récolter 36 fois la mise en terme d’ennuis et de limitations dans la vie quotidienne sur internet.

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En vrac’ rapide et libre.

Avec une actualité du monde linuxien qui ressemble à un électroencephalogramme plat en ce moment, j’ai décidé de faire un en vrac’ rapide et libre.

Désolé, mais je n’ai pas trop le temps ni d’inspiration pour un billet plus long en ce moment.