KDE SC 4.10 : ça donne quoi au final ?

KDE SC 4.10 est sorti en ce 6 février, l’ensemble est disponible sur le dépot testing de la distribution ArchLinux. J’ai donc voulu voir à quoi ressemblait la première version finale de KDE SC 4.10.

J’ai récupéré la dernière ISO d’installation en date, et j’ai lancé une machine virtuelle qemu.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archlinux-2013.02.01-dual.iso -no-frame -boot order=cd &

Après avoir activé le dépot testing, et avoir installé Xorg, j’ai rajouté KDE SC. Il m’a suffit de faire en root (ou pour les paranoïaques personnes prudentes en rajoutant sudo)


pacman -S kde

Oui, seulement 2,1 Go, ce qui n’est pas excessif. Pour avoir la traduction, il m’a fallu rajouter le paquet kde-l10n-fr.

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En vrac rapide et libre.

Je n’ai pas beaucoup le temps en ce moment de m’occuper du libre, donc un petit en vrac’ pour compenser.

Voila, c’est tout pour cet article. Enfin presque, n’oubliez pas que vous avez jusqu’au 4 février 2013, 23 h 59 si vous voulez participer à mon petit concours.

e17 avec Archlinux ? Ca donne quoi ?

Après la déception de la BodhiLinux, j’ai voulu voir ce que donnais une version aussi proche de l’originale d’e17, en clair en utilisant Archlinux qui est connue pour ne pas rustiné outre mesure les logiciels.

J’ai donc installé dans une machine virtuelle Virtualbox – la version git de qemu ayant un bug au niveau de la gestion des connexions au réseau en ce moment – une archlinux avec ce qu’il faut pour pouvoir lancer Xorg.

Le rajout d’e17 se fait avec un simple : sudo pacman -S enlightenment17

On peut remplacer le sudo pacman par yaourt, bien entendu.

J’aurais voulu utiliser lxdm pour la gestion de la connexion ou l’outil entrance (encore en plein développement), mais j’ai du utiliser gdm, sinon, e17 ne se chargeait pas 🙁

Idem pour le gestionnaire de connexion, j’aurais pu utiliser l’outil connman, mais je suis resté avec NetworkManager, car je préfère et connais mieux ce dernier.

Coté logiciels, j’ai rajouté LibreOffice, Mozilla Firefox 18 en français. La musique ? QuodLibet. Et la gestion des archives ? FileRoller. Sans oublier VLC. Et terminator pour la ligne de commande.

J’aurais pu utiliser nombre d’outils « officiels » listés sur cette page, mais la plupart doivent être recompilés…

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En vrac’ rapide et libre de la Trève des Confiseurs.

Après l’orgie culinaire du 24 au soir, et avant de préparer celle du 31 au soir, profitons de la trève de Confiseurs.

C’est tout pour aujourd’hui, je vous quitte, j’ai « Reverie/Harlequin Forest » d’Opeth qui m’appelle 😀

Bridge Linux 2012.12 : Dommage, on est presque dans l’utilisable.

En mars dernier, j’avais étrillé la Bridge Linux, car elle n’était pas vraiment bien finie. La sortie d’une version en ce début décembre m’a donné envie de lui redonner une nouvelle chance, histoire de voir les évolutions accomplies en l’espace de 9 mois.

J’ai donc pris l’ISO xfce en 64 bits, car à l’origine, la Bridge Linux proposait Xfce.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom bridge-xfce-2012.12-x86_64.iso -no-frame --boot order=cd &

L’installateur est en grande partie le même, bien qu’amélioré au niveau de la gestion des traductions et des langues. Cependant, si vous utilisez une machine avec un UEFI, il faudra mettre les mains dans le cambouis pour installer le gestionnaire de démarrage, comme indiqué dans le fichier « README » disponible sur le bureau.

Très bon point, l’installateur est traduit, et il se résume à suivre les étapes les unes après les autres.

Et surtout – j’ai pu vérifier cela hier soir dans un test préliminaire – il ne faut pas créer de partition /boot séparée, la distribution ne démarrera pas, le noyau étant déclaré comme introuvable. De plus, il faut partitionner à la main, alors que la plupart des autres dérivées d’ArchLinux propose un partitionnement automatisé 🙁

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Un mûrissement du marché des distributions GNU/Linux dérivées en route ?

Dans le petit monde de GNU/Linux et de ses distributions, il y a toujours eu des distributions dérivées d’autre, dont la plus célèbre au niveau du grand public est aussi une dérivée. Sans la Debian GNU/Linux, Ubuntu n’irait pas très loin.

Jusqu’il y a quelques mois, il ne se passait pas une semaine sans que l’on entende parler d’une nouvelle distribution dérivée d’Ubuntu. Au point, que Distrowatch aurait pu faire une section « La distribution dérivée d’Ubuntu de la semaine » dans sa gazette Distrowatch Weekly.

J’ai remarqué la montée en puissance progressive de distributions dérivées qui prennent une autre base que Ubuntu. Si on prend sur les dernières semaines, on pourrait citer, et je suis désolé pour les oublis :

Sans oublier des distributions dérivées plus anciennes, comme la Chakra Linux (basée à l’origine sur ArchLinux), Fuduntu (basée à l’origine sur la Fedora Linux) pour ne citer que les premières qui me viennent à l’esprit.

De part leur nombre important, les distributions dérivées d’Ubuntu, la Linux Mint en première, monopolisent l’actualité. Mais cela fait plaisir de voir que d’autres bases sont proposées, car ce serait dommage de limiter le monde des distributions GNU/Linux à Ubuntu et ses innombrables versions dérivées.

Ce ne serait pas rendre service des projets comme la SalixOS, la Siduction, ou encore la Manjaro Linux, pour n’en citer que trois.

Maintenant, c’est vous qui voyez, mais il faudra me dire où se trouve l’intérêt de certaines versions dérivées d’ubuntu qui ne propose qu’un fond d’écran alternatif, des dépots tiers activés, bref des choses faisables en 3 clics sous la distribution d’origine.

Seulement le plaisir de se dire en flattant son égo : super, j’ai sorti une distribution ?

En vrac’ rapide et libre du trolldi ;)

Comme on est vendredi – trolldi en culture geek – un petit en vrac’ rapide et libre qui essayera de ne pas suivre la tradition de la journée du vendredi.

J’allais presque oublier, une excellent vidéo de Cyprien sur la mode du Geek, histoire de remettre les points sur les « i » et les barres sur les « t ».

Voila, c’est tout pour ce matin 😉

Mate, environ 18 mois après son annonce : échec et mate ?!

Mate, le fork de Gnome 2 est né de la volonté d’un utilisateur d’Archlinux de continuer à faire vivre l’ancien code de Gnome.

Environ 18 mois après, où en est-il ? La version 1.4.0 est sortie en juillet dernier, intégré dans un nombre croissant de distribution (Linux Mint, SalixOS, openSuSE, en cours pour Mageia).

J’ai donc pris une archlinux virtualisée – autant reprendre l’environnement qui a vu la naissance du fork – et installé la dernière version en date.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting ‘disk.img’, fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archlinux-2012.10-1-archboot-dual.iso -boot order=cd &

L’installation se fait en deux étapes, en partant d’une archlinux avec Xorg installé et configuré. J’ai aussi rajouté Gimp, Mozilla Firefox et LibreOffice 😉

On rajoute le dépot dédié en tête de liste dans le fichier /etc/pacman.conf


[mate]
Server = http://repo.mate-desktop.org/archlinux/$arch

Puis avec la ligne de commande :


yaourt -S mate mate-extras

Installation du groupe Mate

Installation du groupe Mate - suite

Pour le gestionnaire de session, j’ai installé LightDM, lxdm refusant de se lancer ?! Le gestionnaire de connexion MDM (utilisé par la version Mint de Mate) est indisponible sur les dépots pour archlinux. On arrive sous Mate 1.4.2 lors du chargement de l’environnement.

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En vrac’ rapide et libre pour commencer la semaine.

Un petit en vrac’ pour un lundi de novembre.

Voila, c’est tout pour ce lundi matin ! Bonne journée 😉

En vrac’ rapide plus ou moins libre.

En ce mardi frisquet de fin octobre, un petit en vrac’ plus ou moins libre.

C’est tout 🙂

Bonne journée.