Ne pas bloguer durant quelques jours, ça fait parfois du bien ;)

Avant toute chose, je tiens à m’excuser pour le silence sur les derniers jours. En effet, pour des raisons d’ordre purement personnelles, je suis en déplacement chez des amis proches.

Outre le fait que j’ai été pas mal occupé, j’en ai profité pour avancer un de mes projets scripturaux auquel je tiens particulièrement :

Je n’en dirai pas plus sur le sujet du texte, mais vous pouvez constater que j’ai pas mal écrit sur les dernières semaines, en espérant que je puisse continuer à écrire aussi facilement dans les quelques temps qui viennent.

Depuis que j’ai laissé tombé tout espoir de voir le bureau libre devenir un tant soit peu conséquent, j’ai gagné en tranquillité d’esprit. J’aide bien quelques projets libres de plus ou moins grandes envergures comme EndeavourOS.

J’ai attaqué la pente descendante de la quarantaine et en février 2020, j’aurai 46 ans. Un âge où l’on est adulte et qu’on laisse tomber les rêves naïfs de domination du logiciel libre sur l’informatique en général.

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Parfois, certains dogmes du logiciel libre se vérifient…

Le logiciel libre au fil des années est devenu un monde dogmatique, et j’ai pu en faire les frais à chaque fois que j’ai osé dire que ce monde ne tournait pas complètement rond, entre l’utilisation abusive du principe du fork, la coupure entre développeurs et utilisateurs, la ségrégation logicielle appliquée par les purs et durs qui sont parfois plus « Stallmannien que Stallman ». Je vous renvoie à ma série de billets sur le monde du libre part en couilles pour les détails plus ou moins croustillants.

Comme je m’amuse à le dire dans ma série de vidéos « Les pitreries du libre » : « Errare Humanum Est, Perserverare Libristum Est ».

Il y a cependant un « dogme » qui veut que n’importe quelle personne qui utilise du logiciel libre peut apporter des modifications pour le plus grand bonheur des autres. C’est un peu le complément d’une des quatre libertés fondamentales du logiciel libre.

Il y a un exemple que je vais rapidement abordé, lié à Mate-Desktop. Il y a quelques jours, un composant d’un logiciel – que j’utilise qui me permet de gérer mes clés SSH et GPG qui s’appelle Seahorse – est mis à jour. C’est Gnome-Keyring.

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Assez court cette semaine, l’inspiration pointant aux abonnées absentes !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui !

Bon week-end 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 9

Après le massacre du mois de septembre, quel sera le bilan des distributions dont j’ai parlé en octobre 2014 ?

Petite digression rapide. Il est vrai que l’annonce de l’arrêt de la CondresOS (une Archlinux supportée par une équipe de deux personnes sauf erreur de ma part, imposant un dépôt tiers sur les dépots officiels, avec une dizaine d’images ISO n’était pas condamnée à échouer à court terme) ne m’a pas donné envie de publier cet article en brouillon depuis plusieurs mois.

Bref, retournons au mois d’octobre 2014.

Si on prend en compte le doublon, on arrive à 5 distributions et un BSD. Sur les 5 distributions, une morte et une renommée. Donc sur les 6 produits, 5 en vie. Encore 16% de perte. Décidément, mis à part le mois de septembre, les pertes sont plutôt limitées. Que nous dira le mois de novembre ?

Quand TOR est utilisé pour pourrir la vie des blogueurs…

Je fais cet article rapidement pour montrer à quel point le réseau TOR n’est désormais plus qu’une source d’emmerdes et de lâches qui sont dans le pourrissage de vie des blogueurs.

Je vous donne juste deux exemples de commentaires monomaniaques pour une distribution GNU/Linux dont la destinée m’indiffère complètement désormais. Pour la petite information, cela fait au moins un mois que j’ai droit à cette pollution dans les commentaires. Ça finit par lasser.

À chaque fois, les adresses IP utilisées passent par le réseau TOR. On voit les personnes qui ont le courage de leurs opinions !

Le premier, avec l’adresse IP 185.4.132.135 qui est le point de sortie du doux nom de Grexit.

Le deuxième, avec l’adresse IP 109.70.100.18 qui est le point de sortie du doux nom de radieschen.

Le site Exonerator vous permet de savoir si une IP appartient à un point de sortie TOR avec un délai minimal de 48 heures. De plus, étant donné que TOR permet un anonymat total, je ne vois aucun mal à laisser des adresses IP de ce réseau et les courriers électroniques utilisés – qui sont sûrement faux – en accès libre.

Je dois dire que je commence à en avoir ma claque. Bien entendu, l‘équipe de la distribution en question n’est nullement responsable de cette pollution. Mais cela me donne une furieuse envie de fermer pour de bons les commentaires, car on finit par en avoir marre.

Il est dommage que je n’ai pas accès aux serveurs pour que les IP provenant de TOR soient bannies sans autre forme de procès. J’en suis arrivé à ce point d’écoeurement.

Sur ce, je vous laisse.