En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce mercredi pluvieux d’avril 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le free jazz ? L’improvisation ? Alors l’album « Elastic Flame » d’Elastic Tribe est fait pour vous.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 45 : Le village dans les nuages.

Si on pense au duo Christophe Izard et émission pour la jeunesse, le mythique « Ile aux Enfants » (1974-1982) vient à l’esprit. Cette émission dont j’ai trop peu de souvenirs a bercé le début de mon enfance.

Mais il serait dommage de passer sous silence une émission qui lui a succédé durant 3 ans, « Le Village dans les nuages ». En parallèle avec Récré A2, cette émission a bercé la fin de mon enfance. Ici, pas de dinosaures, mais des extra-terrestres échoués suite à un incident sur un nuage magique qui héberge un village.

Entre Ding-Ding, l’ordinateur de bord, des personnages truculents, un haricot magique qui permet de monter dans le village, tout est occasion de faire des sketches. Mais ayant déjà 8 ans au début de l’émission, je me suis vite tourné vers le mythique Récré A2.

Pour finir ce court article, voici donc le générique de début de cette émission. Elle parlera sûrement plus aux enfants nés à la fin des années 1970 qu’à d’autres.

Bonne (re)découverte 😉

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 44 : Les séries à vous filer le cafard.

De mon enfance, j’ai conservé certaines séries mythiques, spécialement dans le domaine du dessin animé. Mais il y en a trois que je qualifierai de « fouteuse de cafard ». Des séries si tristes qu’on peut se réjouir d’avoir fait survivre l’espoir malgré leur visionnage.

Je vais y aller chronologiquement, et je commence avec une série arrivée en 1978 arrivée dans Récré A2, j’ai nommé Candy, « Candy Candy » en version originale. Est-il besoin de présenter ce shojo manga ? Candy est abandonné par ses parents et est recueillie en même temps que celle qu’elle considère comme sa soeur, Annie.

Ensuite, il y a eu entre autres :

  • Le départ déchirant d’Annie
  • Elle arrive dans une famille où elle est maltraitée par un frère et sa soeur
  • La mort du premier amour de Candy, Archibald dans un accident de chasse. Pour éviter de choquer les plus jeunes, la mort sera transformée en handicap à vie
  • Elle perd son deuxième amour, Terry Granchester
  • Elle prendra part au premier conflit mondial

Bref, que du très joyeux pour les 115 épisodes de la série. Allez, séquence nostalgie avec le premier générique.

Continuer la lecture de « Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 44 : Les séries à vous filer le cafard. »

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en cette veille du premier tour de l’élection présidentielle 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vous ne jurez que par Linux From Scratch ? Alors la dernière version de NuTyX en date, la 22.04.1 est pour vous.
  • Vous avez un Raspberry Pi ? La dernière version de Raspberry Pi OS, basée sur Debian Bullseyes est disponible.
  • Archlinux est votre distribution de coeur ? Dans ce cas, le projet EndeavourOS (qui propose une Archlinux assez propre) propose une mise à jour de son installateur, la version Apollo. Plus d’infos sur les notes de publication.

Côté culture ?

Le 9 avril 2022, Agnès a fêté les 10 ans de son blog, « Destination Passions ». Comme le temps passe vite.

Sur ce, bon week-end !

Dommage que ce soit du déjà entendu, épisode 1 : « From the Ashes » de Lastera.

Une nouvelle série de billets, consacré à la musique. Je n’ai quasiment plus acheté de musique depuis le début de l’année 2021, étant donné que ma collection dépasse allègrement les 30 jours d’écoute en continu. Vous pouvez imaginer que j’ai plusieurs centaines de galettes plastifiées pour arriver à une telle durée 🙂

Je vais donc parler dans cette série d’albums que j’ai pu écouté et à qui il manquait un petit quelque chose pour passer à la caisse.

On commence avec le groupe Lastera et leur premier LP, « From the Ashes » des danois de Lastera.

Sorti fin janvier 2022, cet opus qui mélange le power metal et le metal symphonique bénéficie d’une réalisation très propre. Limite un peu trop.

Côté durée, on est dans les 48 minutes pour 9 pistes. Ce qui donne une moyenne de 5 à 6 minutes par piste.

Le problème est le déjà entendu. Il n’y a aucune surprise. La batterie est excitée comme il le faut, les guitares saturées, comme il le faut aussi. Il y a la classique balade avec « Larger than Life ».

Même si j’avais eu l’intention lors de la première écoute de passer à la caisse, la deuxième écoute m’a refroidi. Mais j’ai pensé que cet album pourrait intéresser certaines personnes qui lisent mon blog.

Même si je n’acheterai pas la galette plastifiée, ce groupe mérite d’être connu et de faire un deuxième album moins classique dans sa composition.