Et si l’année 2024, c’était finalement l’année du bureau linuxien ?

Il y a un sketch récurrent, c’est de dire qu’une année donnée est celle où le bureau linuxien prendrait enfin son envol. Et au fil des années, c’est devenu un meme internet parmi d’autres.

J’ai moi-même parlé de cette non-année fin 2023 avec le problème de la dispersion des efforts dans le domaine du Linux bureautique.

En juin, je revenais sur la progression fulgurante en terme de part de marché. Et en ce mois d’août, on approche peu à peu d' »>

Il reste toujours l’espoir de voir cette part de marché prendre du poil de la bête avec l’arrivée de la mise à mort de MS-Windows 10, même si 90% migrera vers MS-Windows 11, 9% vers du MacOS et le restant sur Linux.

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La Funtoo Linux qui meurt, un début de rationalisation…

…dans le petit monde des distributions GNU/Linux ? J’ai déjà appelé plusieurs fois sur mon humble blog à une rationalisation du nombre de distributions GNU/Linux disponibles. Au 27 juillet 2024, l’index de Distrowatch qui permet d’avoir un aperçu du monde des distributions GNU/Linux affiche ceci, regroupant plus de 23 ans de compilations de statistiques :

  • Nombre de distributions dans la base de données : 962
  • Nombre de distribution actives dans la base de données : 271
  • Nombre de distributions dormantes : 49
  • Nombre de distributions abandonnées : 642
  • Nombre de distributions sur la liste d’attente : 158
  • Nombre de distributions attendant une évaluation : 50

Outre le fait qu’il n’y a plus que 28,17% des distributions indexées par Distrowatch encore en vie, on peut voir que c’est un monde cruel. C’est sans compter sur les projets jamais indexés et qui sont morts dans la plus totale indifférence.

Daniel Robbins, fondateur et dictateur bienveillant à vie du projet Funtoo Linux vient de lancer un pavé dans la mare en annonçant la mort du projet pour fin août 2024. Voici ce que donne l’actualité disponible sur la page officielle du site traduite en français :

Toutes les bonnes choses ont une fin. J’ai décidé de mettre fin au projet Funtoo Linux. Funtoo a commencé comme une philosophie pour créer une communauté amusante de contributeurs construisant quelque chose de grand ensemble. Pour moi, ce n’est plus pour moi, ce n’est plus le cas et j’ai besoin de passer à autre chose.

Il n’y a pas de BDFL pour me succéder pour Funtoo et je n’ai pas envie d’essayer d’en trouver un, ni de confier le projet à quelqu’un d’autre.

Vous pouvez vous attendre à ce que le projet se termine jusqu’au mois d’août. Si vous avez un conteneur Funtoo, il continuera à être en ligne jusqu’à la fin du mois d’août afin que vous ayez le temps de trouver une autre solution d’hébergement si vous en avez besoin.

Deux possibilités vont s’ouvrir. Soit – et comme le permet les canons du libre – des développeurs du projet vont effectuer un fork pour continuer de faire vivre le projet, soit on va se retrouver avec un sacré paquets de tutoriaux écrits ou vidéos pour migrer – si cela est possible – d’une Funtoo Linux vers un Gentoo Linux.

Je penche personnellement pour la première hypothèse et tant pis pour la rationalisation qui aurait permis de concentrer plus d’énergie sur des projets parfois en manque de bras.

Mais c’est la vie dans le monde du logiciel libre, après tout ! Et mon humble blog n’a pas assez de force de frappe médiatique pour influencer quoi que ce soit ici. Je garde le ministère de la parole, et c’est déjà mieux que rien !

L’outil run0 de systemd, un pataquès à venir pour pas grand-chose au final ?

À chaque nouvelle version majeure ou presque de systemd, sa polémique. Cette fois-ci, avec l’arrivée de Systemd 256, un clone de sudo a été développé sous le nom de run0. C’est une volonté d’écrire une alternative à sudo en se basant sur systemd-run. Ma source ? Cet article de programmez.com.

Mis à part le doas d’OpenBSD – qui est disponible aussi sur Archlinux via AUR entre autre ou encore sur la Debian 12 – qui n’a pas eu droit à des grands cris d’orfraie à sa sortie, il n’y a pas grand-chose côté outils permettant une élévation temporaire des privilèges.

En passant, bien que certains outils de Systemd existe comme le ntpd connu sous le nom de systemd-timesyncd ou encore l’outil de connexion réseau systemd-networkd n’a pas éradiqué Network Manager, on peut aisément penser que run0 ne tuera pas sudo.

D’ailleurs, si on entre run0 tout seul, c’est comme si on utilise la commande su. On est connecté au compte root. Si on entre une commande après le run0, l’outil se comporte comme sudo.

Mais le mieux est de montrer quelques fonctionnalités basique de run0, le tout dans une machine virtuelle avec une Archlinux proposant KDE. J’ai dû utiliser les dépôts de test – car au 7 juin 2024, moment où je rédige l’article – pour avoir accès une version quasi-finale de systemd 256, sa quatrième release candidate.

Vous avez pu le voir, il n’y a rien de maléfique dans cet outil. Comme pour systemd-timesyncd ou systemd-networkd, il n’y a aucune obligation à l’utiliser. Je vais rester fidèle à ce bon vieux sudo. Sûrement de vieilles habitudes que j’ai du mal à me séparer.

Plafond de verre du linux bureautique ? Comment le franchir ?

Depuis quelques mois, la part de marché du linux bureautique a atteint son sommet vers les 4%, bien qu’étant descendu à 3,77% pour avril 2024. capture d’écran à l’appui.

Durant longtemps, ce plafond était dans les 2%. Et il n’est pas besoin de faire une dissertation en vidéo de plusieurs dizaines de minutes pour deviner pourquoi le plafond était aussi bas. C’est un mélange de :

  1. une production de distributions redondantes à destination bureautique se mangeant mutuellement les parts de marchés. Mais rien ne prouve que les créateurs derrière de tels projets seraient capables d’apporter quelque chose en terme d’amélioration de l’applicatif existant.
  2. L’applicatif bureautique qui même s’il monte en qualité sera toujours techniquement inférieur sur certains plans aux applicatifs bureautiques non libres.
  3. Les communautés qui parfois se volent dans les plumes.
  4. Une déduplication des efforts qui fait qu’on se retrouve avec des logiciels qui manquent de finitions sur le plan ergonomique. Même si le moteur est au top, l’interface est aux fraises, ce qui est franchement con.

J’ai dû sûrement oublier des facteurs, mais pour moi, ce sont les principaux. Même si les DGLFI recommencent à se multiplier récemment, elles ont trop peu de force de frappe pour influer réellement sur la lente montée en puissance du linux bureautique.

Il y a trop de distributions GNU/Linux à destination bureautique. Je l’ai déjà dit et je continuerai à le dire. Sans une rationalisation de ce genre de produits, le logiciel libre bureautique restera un marché de niche plus que nichesque.

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Même si ce n’est pas un projet officiel, Tiny11 risque de faire très mal aux distributions GNU/Linux bureautique.

Tiny11, c’est un projet pour dégraisser profondément MS-Windows 11 qui a tendance à prendre du poids. Le but est de fournir un MS-Windows 11 allégé, et le projet y réussit très bien.

Au lieu des 64 Go d’espace disque recommandé, un Tiny11 peut descendre à une grosse vingtaine de Go installés.

Ce qui en fait un grand danger pour le Linux bureautique dont les chamailleries entre communautés et choix techniques poussés malgré tout – Coucou les snaps ! – ne font que pourrir l’ambiance. Comme disait Sun Tzu dans son « art de la guerre » :

Connais-toi, connais ton adversaire, et cent batailles ne te mettront pas en danger. Si tu ne connais pas ton adversaire et que tu te connais, pour chaque victoire, une défaite. Si tu ne connais ni ton adversaire ni toi-même, à chaque bataille tu seras vaincu.

Cela a le mérite d’être clair. J’ai même enregistré une petite vidéo de Tiny11 en action.

Même si l’OS est assez réduit côté fonctionnalités, sa légèreté fait penser un peu à celle de MS-Windows 7. Maintenant, Tiny11 reste un projet de niche, mais qui sait, peut-être que Microsoft s’en inspirera et proposera quelque chose d’officiel. Ce qui serait alors le dernier clou dans le cercueil du Linux bureautique.

Ajout au 14 mai 18 h 00 : J’ai testé avec un Windows 11 complet, et le « debloatage » n’est pas si visible que cela, du moins en terme d’espace disque. La désactivation de pas mal de services permettent de gagner en souplesse.

C’est comme si l’équipe de Tiny11 ne pouvait pas enlever réellement tout le « bloat » qui caractérise une installation classique, mais simplement le désactiver.

J’atteinds une consommation d’espace équivalente, à savoir 25,4Go pour un MS-Windows 11. Donc deux petits gigas de moins.

Ajout au 15 mai, 9 h 00 : L’image ISO a été générée à partir du github du projet pour être directement en français.

Suis-je trop formaté pour envisager à long terme un changement de distribution ?

Je suis sur PC depuis 1995 et j’ai connu plusieurs grandes périodes, mis à part un an avec le premier Mac Mini entre 2004 et 2005.

  1. La période MS-Windows entre 1995 et 2006 : MS-Windows 3.1, 95, 98 et 98SE, 2000 et XP. Oui, j’ai échappé à Millenium 🙂
  2. Une période Ubuntu de mi 2006 à mi 2009
  3. Une période Archlinux depuis 2009 sans quasiment aucune interruption, mis à part un court passage sur la regrettée Frugalware Linux

Il y a 6 mois – au moment où je rédige cet article, le 9 mai 2024 – je rédigeais un court billet sur mon choix en cas de décès d’Archlinux. Sans grande surprise, c’est la Fedora Linux classique qui a emporté mon choix.

Moins d’une semaine plus tard, je faisais un billet où je parlais de mes expérimentations avec la Fedora Linux 39 à l’époque.

Rien n’a bien changé depuis, modulo la version stable de la Fedora Linux. Cependant, je me demande presque si au décès d’Archlinux, je ne serai pas en pleine saturation linuxienne, quitte à quitter le doux – hum ! – monde du libre pour le monde Microsoftien, en ayant ma dose de linux avec WSL.

Mais vu la vivacité d’Archlinux, son AUR toujours plus rempli et dans lequel il devient difficile de s’y retrouver sans perdre cinq bonnes minutes pour certains logiciels, la question risque de ne pas se poser avant longtemps.

Je peux dire en ce mois du quinzième anniversaire en tant qu’Archlinuxien, « BTW, I use Arch! » 🙂

On en est où des installateurs pour Archlinux ?

S’il est bien un sujet duquel je me suis éloigné, c’est celui des installateurs pour Archlinux. Mon installation ayant déjà 6 ans et bientôt 3 mois au compteur, ce n’est pas un sujet sur lequel je fais une veille permanente.

Je vais rester sur les principaux projets, du moins ceux que j’ai eu l’occasion de tester en machine virtuelle pour voir la qualité de l’installation proposée. Les journées ne faisant que 24 heures, je ne peux pas tout essayer… C’est pas faute d’avoir essayé 🙂

Outre l’excellent ArchInstall proposé par l’équipe d’Archlinux, il y a d’autres projets. Tout-en-un comme EndeavourOS ou le projet aux 150 images ISO, j’ai nommé ArcoLinux ou encore la Garuda Linux et ses images ISO ultra-personnalisées.

Dans les projets plus proches des bases minimales, autant citer ArchCraftsman – qui dans mes tests ne semble pas aimer l’ipv6 – ou encore Archfi/Archdi mais qui semble être en fin de vie, dixit le github du créateur. Je cite :

What about archfi/archdi?
I think they are reaching the end but I will complete this topic later.

Ce qui donne traduit :

Qu’en est-il de archfi/archdi ?
Je pense qu’ils arrivent à leur fin mais je complèterai ce sujet plus tard.

Je pourrais aussi parler de RebornOS, de Calam-Arch-Installer, de Archman (mais je ne parle pas le turc !)

Je suis prêt à parier que j’ai dû en oublier une bonne demi-douzaine, mais comme je l’ai dit en introduction, ce n’est pas le sujet de ma veille technologique actuelle.

C’est bien connu, les rolling release, ça se pète la gueule sur le moyen ou long terme.

C’est une idée reçue qui traîne depuis des années dans le petit monde doucereux des distributions GNU/Linux. Celle que sur le moyen terme (plus de 5 ans), on ne peut pas se fier à une rolling release. Je vais parler d’Archlinux, car je la pratique depuis 2009. J’aurai pu aussi parler d’OpenSuSE Tumbleweed, mais entre la distribution au caméléon et moi, ce n’est pas le grand amour. Pour rester sociable et poli.

J’accumule ce qu’il ne faudrait pas faire, dixit les personnes qui promeuvent cette idée, à savoir :

  1. Utiliser les dépôts de tests
  2. Multiplier les paquets en provenance du Archlinux User Repository
  3. Utiliser des enrobeurs de pacman comme yay qui peuvent entrainer des problèmes

Et pourtant… Mon installation actuelle d’Archlinux – à l’origine sur un disque dur mécanique de 2 To – maintenant sur un duo nvme et SSD date de… Février 2018. Oui, près de 6 ans et 3 mois. Source ? Tout simplement le fichier /var/log/pacman.log qui enregistre les activités d’installation et de suppression de paquets. À savoir en ligne de commande, un petit head /var/log/pacman.log.

[2018-02-27 17:39] [PACMAN] Running 'pacman -r /mnt -Sy --force --cachedir=/mnt/var/cache/pacman/pkg --noconfirm bash bzip2 coreutils cryptsetup device-mapper dhcpcd diffutils e2fsprogs file filesystem findutils gawk gcc-libs gettext glibc grep gzip inetutils iproute2 iputils jfsutils less licenses linux logrotate lvm2 man-db man-pages mdadm nano netctl pacman pciutils pcmciautils perl procps-ng psmisc reiserfsprogs s-nail sed shadow sysfsutils systemd-sysvcompat tar texinfo usbutils util-linux vi which xfsprogs alsa-utils base-devel cpupower cups cups-pdf dialog efibootmgr ffmpegthumbnailer git grml-zsh-config grub gst-libav gst-plugins-bad gst-plugins-base gst-plugins-good gst-plugins-ugly gtk3-print-backends gtk-engine-murrine gvfs gvfs-mtp gvfs-smb libreoffice-fresh libreoffice-fresh-fr lightdm lightdm-gtk-greeter lightdm-gtk-greeter-settings linux-headers mate mate-extra mesa-libgl networkmanager network-manager-applet ntfs-3g pamac-aur pavucontrol pulseaudio pulseaudio-alsa screenfetch ttf-dejavu unzip vim wget wireless_tools wpa_actiond wpa_supplicant xdg-user-dirs xf86-video-ati xorg-apps xorg-server xorg-xinit xterm zsh zsh-completions zsh-syntax-highlighting'
[2018-02-27 17:39] [PACMAN] synchronizing package lists
[2018-02-27 17:44] [ALPM] transaction started
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed linux-api-headers (4.14.8-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed tzdata (2018c-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed iana-etc (20180221-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed filesystem (2017.10-2)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed glibc (2.26-11)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed gcc-libs (7.3.0-1)
[2018-02-27 17:44] [ALPM] installed ncurses (6.1-3)

On peut en déduire qu’à l’installation, le noyau Linux de l’époque était un 4.14.x. Et dire que j’utilise le noyau linux LTS 6.6.28, depuis quelques mois, suite à une couille dans le potage du noyau classique… Autant dire que l’installation a connu tout la période des noyaux Linux 5.x et est encore en vie 🙂

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Pourquoi le monde des distributions GNU/Linux me laisse de plus en plus froid…

Il y a quelques années – ça y est, le vieux con parle – je suivais avec avidité l’actualité des distributions GNU/Linux, parlant parfois d’une demi-douzaine par quinzaine. Puis en 2018, j’ai eu une révélation : c’était de moins en moins intéressant à suivre.

Mis à part pour se faire des trouzaines de vues sur des vidéos sur Youtube avec un calendrier qui n’a plus changé depuis des années, quel intérêt.

On peut résumer l’actualité linux ainsi :

  1. Chaque mois d’avril et d’octobre, c’est Canonical qui fait le plein avec Ubuntu et ses saveurs officielles
  2. C’est aussi les mêmes périodes pour la sortie des deux Fedora annuelles
  3. On décale d’un ou deux mois, c’est au tour de LinuxMint d’annoncer sa nouvelle version

On pourrait parler de distributions moins grosses, mais  c’est moins porteur. En gros, si on veut faire de la vidéo à la chaîne comme on produit des saucisses, rien ne vaut les périodes avril/mai et octobre/novembre. Le reste du temps, passez votre chemin.

Puis il y a les modes qui arrivent. Dernièrement, c’était la mode des distributions déclaratives comme la NixOS. Ensuite, mis à part les forks plus ou moins rageux comme Devuan, il n’y a plus grand chose.

Avec les rolling releases, mis à part des sorties ponctuelles pour proposer des images ISO d’installation pas trop vieilles, il n’y a pas grand chose à dire.

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Le plus chiant dans le rétroludique, c’est sur PC réel de l’époque ?

Cela fait bien maintenant trois ans que j’ai commencé à m’intéresser au rétro-ludique, les délires libristes me lassant un brin et me gonflant avec une régularité d’horloge helvétique. Je n’avais pas envie de contracter un ulcère avant d’avoir atteint mes 50 ans.

Maintenant que j’ai atteint le demi-siècle, je n’ai cependant pas trop envie de contracter un ulcère et c’est la raison pour laquelle je passe mon temps libre à écrire – quand l’inspiration veut bien se pointer – ou à rétro-geeker.

J’ai fini par acquérir certains réflexes. Si j’ai besoin d’émuler :

N’étant pas branché rétroludique 16 bits, je n’utilise quasiment jamais des jeux pour Atari ST/Falcon ou Commodore Amiga.

Il est vrai que je peux parfois me faire plaisir avec un vrai Commodore 64, en utilisant une interface SD2IEC pour charger certains jeux sur un vrai Commodore 64. Il ne me manque qu’une cartouche Kung Fu Flash pour charger tranquillement les jeux au format cartouche comme ceux de la série des « Briley Witch Chronicles » par exemple.

J’ai aussi un vieux PC qui me sert pour les jeux MS-DOS, même si j’ai un mal de chien à faire fonctionner le beeper, mais je ne désespère pas d’y arriver. C’est aussi la plateforme la plus laxative, surtout quand on doit se faire des menus spécifiques pour charger X ko de mémoire EMS ou XMS ou je ne sais plus quelle abréviation barbare.

Au moins avec mon Commodore 64, je branche l’interface SD2IEC, la cartouche de chargement rapide de disquettes et vogue la galère.

Tout n’est pas parfait dans le monde rétroludique, mais j’évite les concetés de querres intestines qui pourrisse la vie du libriste moyen.