Un retour vers Gnome, après presque 5 ans d’absence ?

J’ai toujours été un utilisateur de Gnome, bien que l’ayant abandonné en mars 2015 au profit de Xfce, puis au profit de Mate-Desktop, en novembre 2015. Cependant, même si j’avais critiqué sa tablettisation croissante, dans mon coeur, j’avais toujours une place pour cet environnement que j’avais connu au début de mon aventure ubuntu en juin 2006 avec la mythique Ubuntu 6.06 LTS.

Au fil des années, j’ai fini par m’apercevoir que certaines fonctionnalités de Gnome me faisait de plus en plus de l’oeil. Ne serait-ce que la possibilité d’avoir une gestion fine de mon agenda, le support croissant de Wayland – même s’il y a toujours de trous au niveau logithèque – comme les enregistreurs d’écran pour faire des vidéos.

J’ai réussi à contourner ce problème avec l’extension EasyScreenCast le temps que d’autres outils arrivent.

Quand j’ai personnalisé l’environnement pour le rendre un peu plus agréable au quotidien, j’ai limité l’ajout d’extensions tierces presque au strict minimum. À savoir :

  1. L’outil OpenWeather pour avoir la météo directement sous la souris sans avoir besoin de cliquer sur la date pour l’afficher.
  2. L’extension « Dash-to-dock » pour toujours avoir sous la souris mes lanceurs d’applications.
  3. L’extension incluse dans Pamac pour avoir un accès rapide à l’outil et m’informer des mises à jour quand elles arrivent.

Bien entendu, il y a aussi l’extension EasyScreenCast que j’active quand je veux faire un enregistrement de vidéo. Autant dire que j’ai tout fait pour limiter la casse.

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En vrac’ de fin de semaine.

Profitons d’un samedi matin de début juin pas trop chaud pour vrac’er 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

Allez, au revoir, diaspora* et merci pour tout.

C’est la deuxième (??) fois que je quitte l’alternative la plus célèbre au fesseur de caprins. La première fois, c’était en 2012. Puis, j’avais attendu que Framasoft ouvre son pod pour retenter ma chance.

J’y suis retourné en octobre 2014, espérant que l’expérience serait meilleure. La mise à mort de Google Plus en avril 2019 avait amené un peu d’air frais, mais c’était retombé comme un soufflé trop cuit.

Je dois dire que je n’allais plus vraiment sur le pod framasphere* qu’une fois de temps à autre, pour y poster un lien, mais cela faisait des mois que je n’avais plus eu la moindre information un tant soi peu intéressante à mettre sous la souris.

Comme je l’avais écrit en 2014 :

J’ignore combien de temps j’aurais ce compte sur le pod de framasoft. Peut-être que l’aventure s’arrêtera dans une semaine ou dans trois ans. Pour tout dire, je m’en contrefous complètement.

J’ai donc franchi le pas cet après-midi. Il faut dire que l’article d’Arpinux m’a aidé à prendre conscience ce que je refusais d’admettre : on s’emmerde ferme sur diaspora*.

Bien pensé, le coup du chaton, mais mon compte est désormais fermé. Ce n’est pas pour autant que le fesseur de caprin me reverra en fanfare.

Si je dois y retourner, ce sera pour me tenir informé de ce qui n’est pas visible ailleurs. Dommage que le monde du libre qui aurait pu se démarquer sur les services – en dehors de l’excellent peertube – tombe dans les mêmes travers que les services classiques, en rajoutant une dose de « bienveillance » qui est une manière déguisée d’aseptiser les propos au final.

Adieu framapiaf, hello mamot ?

Je pensais que Mastodon, le twitter du libre, ne souffrait pas des mêmes maux. À savoir l’entre-soi, les propos acerbes et compagnie.

J’ai appris à mes dépends que c’était malheureusement le cas. J’ai dû – suite à une remarque peu appréciée alors que je n’avais rien dit de franchement méchant – migrer mon compte mastodon vers une autre instance, posant mes guêtres chez Mamot.

Le problème est que les réseaux sociaux dit alternatifs ont de plus en plus tendance à être « noyauté » – j’ai du mal à trouver un autre mot – par des mouvements qui se veulent progressistes, pétris de bons sentiments et qui finissent par mal tourner en enfermant les personnes qui en font partie.

C’est pour cela que j’ai toujours refusé de m’encarter politiquement. Avant que mon compte ne soit détruit automatiquement sur framapiaf, j’ai récupéré les données les plus importantes, à savoir mes abonnements, les comptes que j’ai bloqué et ceux que j’ai masqués. Puis j’ai détruit l’ancien compte qui avait pas loin de trois ans d’âge.

Tant pis pour les pouets. Nombre d’instances sont déjà mortes emportant avec elles les pouets qu’elles hébergeaient.

Il faudra juste que je fasse modifier la section de fin de mes vidéos, l’adresse mastodon n’étant plus valide.

Désormais – et pour ce que cela durera – voici ma nouvelle adresse mastodon : https://mamot.fr/@fredericbezies