Une bouteille à la mer ?!

J’ai souvent dit que ce blog est indépendant. J’ai toujours refusé de faire le moindre article sponsorisé. Depuis septembre 2005, j’ai eu de nombreuses propositions pour poster un article écrit pour moi, contre quelques piécettes virtuelles.

Je n’ai jamais rien demandé en retour des articles et du reste du contenu proposé sur le blog. Cependant, avec la migration du blog sur un serveur dédié pour gagner en indépendance comme je l’ai déjà dit dans un article de fin avril 2021. Avec une petite note qui tombe mensuellement. C’est le prix de l’indépendance.

J’ai longtemps hésité avant d’écrire cet article, car je ne veux pas passer pour un mendiant ou un influen(su)ceur sur Youtube qui font la promo d’un VPN au nom géographique.
J’ai ouvert il y a quelques semaines de cela un compte sur LiberaPay, cependant, je n’ai pas encore activé – au moment où je rédige cet article – l’option qui permet de virer les fonds récoltés.

Cet article est donc une façon de récolter les réactions des personnes qui me suivent régulièrement. Le peu que je pourrai récolter, même si cela se résume à l’euro symbolique m’aidera à financer l’infrastructure, pas pour me payer un appartement dans le XVIe arrondissement de Paris 🙂

C’est bien la première fois que je demande quoique ce soit sur le plan monétaire.

Vos retours seront les bienvenus, qu’ils soient en faveur ou en défaveur de l’utilisation d’un compte sur LiberaPay.

Les apprentis sorciers peuvent partir, pamac est enfin compatible avec pacman 6.x.

Dans un article du 4 juin 2021, je parlais des apprentis sorciers qui étaient de retour sur Archlinux – qui n’avait rien demandé la pauvre bête – par rapport à la non compatibilité de pamac avec pacman 6.x.

La solution a été affichée pièce par pièce sur le rapport de bug que j’avais ouvert. Il y a eu la création d’une libpamac – qui contient la tuyauterie nécessaire au fonctionnement du logiciel – séparé de l’interface pour alléger le code.

J’ai donc profité de l’occasion pour empaqueter libpamac en version « allégée » et en version « complète » (avec le support de snap et de flatpak).

L’installation est assez simple, du moins pour les paquets que je maintiens, à savoir pamac-aur-git, pamac-all ou pamac-all-git.

Il y a un paquet en commun, archlinux-appstream-data-pamac. Ensuite, pour pamac-aur-git :

  1. libpamac
  2. pamac-aur-git

Et pour pamac-all-git, pamac-all :

  1. snapd
  2. snapd-glib
  3. libpamac-full
  4. pamac-all ou pamac-all-git

J’ai enregistré la vidéo ci-dessous pour les personnes préférant du visuel à de l’écrit.

On dit souvent que « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » pour citer la moralité de la fable du Lion et du rat de La Fontaine.

On en a une nouvelle preuve ici.

Vieux Geek, épisode 277 : la S3 Virge, ma première carte accélératrice en 3D…

1996 et 1997 ont été des années phares dans le domaine ludique avec l’arrivée des premières cartes accélératrices pour la 3D, même si l’envol ne se fera véritablement qu’à partir de l’arrivée de la première Voodoo de 3Dfx, fin 1996 début 1997.

Il y avait plusieurs circuits qui se disputaient le marché de l’accélération 3D : le circuit Rendition V1000, le premier circuit Nvidia du nom de NV1, la PowerVR de Nec, les ATI Rage de l’époque, et la S3 Virge. Ce fut la carte que j’achetais. De mémoire, c’était la Diamond Stealth 3D 2000.

Vous pouvez voir à quoi elle ressemblait sur le site VGA Legacy Mark 3. Sortie en mars 1997, j’ai dû l’acheter quelques semaines plus tard, avant de pouvoir me payer une vraie carte accélératrice 3D, une Voodoo 1 équipée de 4 mo de mémoire vive.

Les CD-Roms « offerts » avec les magazines de l’époque débordaient de rustines pour faire prendre en compte l’accélération avec la carte A pour le jeu B.

Le seul jeu dont j’ai pu apprécier l’accélération 3D avec ma carte S3 Virge, ce fut Terminal Velocity dont j’ai déjà parlé en abordant l’histoire de son petit frère Microsoft Fury3 en février 2016.

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En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce début de mois de juin plutôt chaud.

Côté informatique :

Côté culture :

Pour finir l’article, une petite vidéo de la série des distributions GNU/Linux (in)justement oubliées dédiée à la VeltOS.

Bonne fin de semaine 🙂

Vieux Geek, épisode 276 : H.U.R.L ou comment rater complètement un FPS pour enfants.

S’il y a un domaine qui a connu de sévères étrons logiciels – en dehors des distributions GNU/Linux bien entendu – c’est celui des FPS.

En mai 2017, je parlais de l’infâme « Depth Dwellers ». En juin 2020, c’était au tour de l’infâme « Terminator Rampage ». Bien que le genre FPS fut à destination d’un public d’adolescents ou de jeunes adultes au minimum, cela n’empêcha pas l’arrivée de l’excellent « Chex Quest » en 1996 dont j’ai parlé en juillet 2016.

Un an plus tôt, un autre titre plus inspiré Wolf3D dans l’apparence générale sortait de la part d’un studio qui ne fit plus parler de lui par la suite, « Deep River Publishing ». Le nom de l’étron en question ? H.U.R.L.

Dans ce jeu, le but est simple : nettoyer les niveaux après que Bob the Slob ait laissé traîner des ordures partout. Le jeu est simple. On récupère les ordures qui nous donne de l’argent, puis on échange cette argent contre des bombes à eau, savons et autres déodorants que l’on balance sur les ennemis pour les immobiliser.

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