Mandriva 2011 : Retour aux racines de la distribution ?

Souvenez-vous…

Nous sommes en 1998. La distribution RedHat Linux en version 5.1 propose alors un noyau linux 2.0.34. Cependant, elle a un défaut aux yeux de certains utilisateurs… Ne pas proposer KDE 1.0. il est vrai que KDE 1.0 sort en juillet 1998 et que la RedHat 5.1 est sortie quelque mois plus tôt. Pour éviter d’attendre, des personnes prennent la RedHat et lui rajoute KDE 1.0… Mandrake Linux 5.1 est née !

13 ans sont passés, et après bien des péripéties, voici donc arrivée la version 2011 de la Mandriva. Après avoir récupéré l’image ISO, et pour éviter des problèmes d’affichage avec KDE, j’ai installé le tout dans une machine virtuelle VirtualBox.

Et coté retour aux racines, c’est clair : KDE ou aucun autre environnement. Gnome, Xfce et compagnie sont dépréciés. Autant dire qu’il faut aimer KDE pour utiliser la distribution. Au moins, cela a le mérite d’être clair.

Sur les premières impressions : on sent que pas mal de boulot a été effectué sur la distribution : c’est rapide au démarrage (merci systemd), le nettoyage a été profond et les outils semblent avoir été revu dans un sens d’utilisation simplifié.

Dès l’écran de connexion, on se retrouve en face d’un écran qui fait penser à ce qu’on trouve partout ailleurs : une image de connexion avec une boite de saisie pour le mot de passe. Et un gros morceau a été rajouté, aimablement inspiré par la vue Applications de Gnome 3 ou encore ce qui est disponible dans l’outil de Canonical, Unity. Un panneau d’application un peu fourre tout mais bien pensé, qui remplace le menu « K » qu’on trouve habituellement. Une vidéo sera plus parlante pour montrer un peu la Mandriva 2011 en action.

Pour faire un rapide bilan de la distribution, ce que l’on peut dire…

En positif :

  • Rapide, rapide, ai-je dit rapide ?
  • Les outils sont allégés
  • Le menu « SimpleWelcome » permet de trouver facilement ses petits
  • Les menus systèmes bien rangés.

En négatif :

  • Un seul environnement de bureau
  • Parfois des outils systèmes redondants
  • Arrivée un peu tardive

Maintenant, à vous de tester et de voir si cette distribution vous parle ou pas !

0 Linux : une distribution gnu/linux francophone loin d’être nulle… :)

0 linux, c’est une distribution francophone. Sortie en version beta 3 le 21 juin dernier, j’ai eu envie de la tester. La meilleure présentation qu’on peut faire, c’est citer son auteur :

0 est un système GNU/Linux francophone complet pour systèmes x86 64 bits uniquement, construit depuis rien et pleinement compatible 32 bits (ou « multilib »).

0 tente d’être un système francisé autodidactique : de nombreux fichiers de configuration sont traduits en français et contiennent des commentaires sur leur utilisation ; l’installateur quant à lui demande d’utiliser plusieurs consoles pour renseigner le système, le tout en ligne de commande uniquement, mais de façon assistée.
[…]
Historiquement, ce projet n’était à la base qu’une traduction intégrale en français de la distribution Slackware, qui s’est avérée délicate sans toucher profondément à l’intégrité du système. J’ai alors créé mon propre système puis, après avoir touché à la compilation croisée, mon système est passé multilib. J’ai alors décidé que tout ce temps à travailler seul devait être dépensé pour un projet qui soit public et libre.

Voulant en savoir plus, j’ai donc fait chauffé mon wget et j’ai récupéré l’ISO de la béta 3.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-beta3-DVD.iso
–2011-08-09 07:55:00– http://ftp.igh.cnrs.fr/pub/os/linux/0linux/iso_dvd/0linux-beta3-DVD.iso
Résolution de ftp.igh.cnrs.fr… 193.50.6.138
Connexion vers ftp.igh.cnrs.fr|193.50.6.138|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 1634652160 (1,5G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «0linux-beta3-DVD.iso»

100%[====================================>] 1 634 652 160 2,41M/s ds 14m 32s

2011-08-09 08:09:33 (1,79 MB/s) – «0linux-beta3-DVD.iso» sauvegardé [1634652160/1634652160]

Ensuite, j’ai créé la machine virtuelle habituelle sous Qemu (32 Go de disque, 2 Go de mémoire vive), et j’ai lancé l’ensemble 😉


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom 0linux-beta3-DVD.iso -boot cd &

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Et la version 1.5pre2 de la Frugalware, alors ? ;)

Frugalware Linux, ma petite distribution chouchoute avec Archlinux. J’avais parlé de la version 1.5pre1 dans cet article.

Après la sortie de la version pre2 il y a une quinzaine de jours, j’ai eu le temps (et le courage !) cet après-midi de l’installer comme pour la pre1, en partant d’une image ISO d’installation réseau en 64 bits. Les détails d’installation sont les mêmes. J’ai donc récupéré l’ISO et utiliser ma machine virtuelle habituelle.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom frugalware-1.4-x86_64-net.iso -boot cd &

J’ai suivi le même protocole que pour le billet précédent. Une des différences, c’est que la version de Xorg fourni semble maintenant être 100% fonctionnelle avec Qemu. Plus besoin de trifouiller dans les options de Xorg pour avoir un affichage correct.

En suivant le wiki post-installation, j’ai passé le système en UTF-8, installé LibreOffice, Mozilla Firefox, Midori et Xfce 4.8.

Cependant, pour gérer le réseau, j’ai préféré installer Wicd. Le seul hic, c’est sa prise en charge par systemd au démarrage. Il suffit dans une console root de taper :

systemctl enable wicd.service

Et Wicd est pris en compte au démarrage suivant.

Que dire ? Que l’ensemble est rapide, souple, Xfce répond au doigt et à l’oeil. Les logiciels sont très frais, Mozilla Firefox 5.0, LibreOffice 3.4.1, noyau Linux 2.6.39.

Systemd m’étonne toujours par sa vitesse de chargement. On se croirait devant un ordinateur dopé comme un coureur de la Festina au tour de France 1998. Oups, peut-être pas la meilleure référence à prendre… Quoiqu’avec le départ du Tour de France cycliste, c’est permis, non ? 😉

Autant dire qu’à la mi-août, Frugalware 1.5 sera une distribution sur laquelle il faudra compter 🙂

ConnochaetOS : un délice pour les machines de génération Pentium/PentiumII :)

Souvenez-vous, du moins pour les personnes ayant connu cette époque lointaine. Nous sommes en 1993, et Intel qui est concurrencé par AMD et Cyrix sort un circuit révolutionnaire, le Pentium. D’abord cadencé aux vitesses folles de 60 et 66 Mhz, il finira sa carrière à 200 Mhz, avec un petit rajout, les instructions MMX. On en est en gros à la 5ième génération de ce genre d’instructions supplémentaires de nos jours, avec le SSE4, qui a été précédé par les SSE3, SSE2 et SSE (alias MMX2).

Bref, au dela de cet aparté technique, depuis 18 ans (déjà !), les processeurs sont devenus des monstres de calculs. Cependant, il arrive parfois de tomber sur d’honorables ancêtres de cette époque encore fonctionnel. Les Microsoft Windows de l’époque ne sont plus maintenus. Et si on une machine bien équipée (64 Mo de mémoire vive voire plus), on peut utiliser des distributions GNU/Linux légère comme ConnochaetOS, basé sur ArchLinux, et donc les paquets sont recompilés pour l’architecture i586.

La première RC de la ConnochaetOS 0.9 étant disponible, j’ai récupéré l’image ISO (400 Mo environ), et j’ai lancé ensuite une machine virtuelle 32 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting ‘disk.img’, fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm32 -hda disk.img -cdrom connos-0.9.0rc1.iso -boot cd &

Au démarrage, on nous propose de démarrer sur l’installateur. C’est celui de la ArchLinux en simplifié.

Démarrage de ConnochaetOS

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Assiste-t-on à un murissement du marché des distributions GNU/Linux ?

Quand j’ai commencé à ce blog, il y a 5 ans et 9 mois environ, le nombre de distributions GNU/Linux vraiment différentes étaient intéressantes ; En septembre 2005, j’avais des distributions à base de paquets .deb (avant l’offensive *buntu), d’autres à bases de rpms, des distributions avec des formats de paquets exotiques, comme la feu nasgaïa, des distributions en meta-sources, d’autres copiant la hiérarchie windowsienne (GoboLinux), etc…

Cependant, depuis quelques mois, pour ne pas dire une grosse année, le choix s’est appauvri. On ne compte plus le nombre de ubuntu-like qui souvent n’ont changé qu’un ou deux logiciels / thèmes, les dérivées de la Fedora qui souvent rajoute des logiciels non libre par défaut.

Si on prend le top 10 actuel de distrowatch en cette fin juin 2010 :

  1. Ubuntu
  2. Linux Mint (ubuntu like)
  3. Fedora
  4. Debian, la mère d’Ubuntu sur certains plans
  5. OpenSuSE
  6. ArchLinux
  7. PCLinuxOS (mélange de Mandriva, Fedora et OpenSuSE)
  8. Puppy (basée sur Ubuntu, et largement dégraissée)
  9. CentOS (version libre de la RedHat Linux Entreprise)
  10. Sabayon (une gentoo pour humain)

Donc, 50% basé sur des paquets deb, 30% sur des paquets rpm, et les deux dernières sur des paquets tiers ou meta source.

Certains détracteurs disent qu’il y a des milliers de distributions linux… Mais combien de vraiment originale ? Pas grand monde…A noté l’absence dans le top 10 de grand noms, comme Gentoo, Mandriva, Slackware

Comme quoi le marché des distributions commence à murir, et même si un certain nombre de distributions dérivées d’Ubuntu sorte à chaque fois, rare sont celles qui arrivent à se démarquer vraiment…

Les distributions GNU/Linux doivent-elles se « dégeekiser » et devenir des « clones » de Microsoft Windows ?

Derrière ce titre un peu « violent » se cache une réflexion entamée suite à l’annonce de l’éjection de Synaptic de la future version de ce que les médias rendent synonyme de distributions GNU/Linux, j’ai nommé Ubuntu.

En effet, pour la version 11.10, Canonical a décidé de mettre de coté Synaptic au profit de son magasin d’applications.

Même s’il reste 4 mois, il sera difficile au magasin d’applications de proposer autant de puissance que l’outil synaptic, ne serait-ce qu’au niveau du choix de version, de la possibilité de revenir en arrière en cas de problème.

On sent l’envie de tenir l’utilisateur dans un rôle passif, celui d’un consommateur au lieu d’acteur de sa vie informatique.

Je sais que les distributions GNU/Linux ne représentent qu’un gros pourcent de la population des utilisateurs de machines de bureau, soit quelques dizaines de millions de personnes.

Que 99% des personnes qui utilisent l’informatique se contrefichent de l’OS qu’elles utilisent, ignorant même l’existence de cette notion, j’en ai conscience. Déjà que pour nombre de personnes, internet se résume à Google désormais, au lieu du bête e bleu sur leur écran…

Mais ce qui me fait peur, c’est de voir la tendance à trop simplifier les outils, et donc leur enlever ce qui fait leur force : être utilisable et non être de simple gadgets.

Mais à vouloir faire des outils trop simplifiés, on tombe automatiquement dans une complexité qui fragilise l’ensemble, ce qui est contraire à l’esprit des unix : un outil pour chaque tache, donc une simplification réelle de l’ensemble, même si on doit enchainer l’utilisation de trois ou quatre outils pour une action un peu complexe.

Si pour s’imposer un minimum, les distributions GNU/Linux doivent devenir des copies conformes de Microsoft Windows, alors, pourquoi utiliser une copie alors que l’original est vendu – illégalement (cf l’article L-122-1 du Code de la Consommation)  avec chaque machine ?

C’est vrai, pourquoi s’ennuyer à partitionner son disque – il faut donc aborder la notion de partition – et installer un chargeur de démarrage, alors que tout est déjà prêt à l’utilisation dès le premier branchement, sans oublier l’artillerie lourde qui mange plusieurs Go de disque…

C’est peut-être l’avis d’un c*****d de passionné d’informatique ici, mais si cette tendance se poursuit, ce sera l’effet inverse à celui escompté qui arrivera : une désertion d’utilisateurs potentiels qui continueront leurs courses à l’armement informatique pour envoyer des oiseaux percuter des cochons avec des machines dont la Nasa ne pouvait que rêver à l’époque de la conquête de la Lune.

 

Sabayon Linux 6.0 Gnome Edition : puissante, mais encore un peu lourde à l’utilisation…

La dernière fois que j’avais parlé de Sabayon, c’était en janvier dernier, lors de la sortie de la version 5.5. J’avais noté que d’énormes progrès avait été faits, ne serait-ce que pour la taille de l’installation, et surtout sa légèreté.

La sortie de la version 6.0 m’a donné envie de la tester à nouveau.

J’ai donc utilisé mon wget adoré et j’ai récupéré l’ISO de la version Gnome 64 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c ftp://ftp.nluug.nl/pub/os/Linux/distr/sabayonlinux/iso/Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso
–2011-06-23 19:44:14– ftp://ftp.nluug.nl/pub/os/Linux/distr/sabayonlinux/iso/Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso
=> «Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso»
Résolution de ftp.nluug.nl… 192.87.102.43, 192.87.102.42, 2001:610:1:80aa:192:87:102:42, …
Connexion vers ftp.nluug.nl|192.87.102.43|:21…connecté.
Ouverture de session en anonymous…Session établie!
==> SYST … complété. ==> PWD … complété.
==> TYPE I … complété. ==> CWD (1) /pub/os/Linux/distr/sabayonlinux/iso … complété.
==> SIZE Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso … 1863262208
==> PASV … complété. ==> RETR Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso … complété.
Longueur: 1863262208 (1,7G) (non certifiée)

100%[====================================>] 1 863 262 208 2,31M/s ds 12m 55s

2011-06-23 19:57:09 (2,29 MB/s) – «Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso» sauvegardé [1863262208]

J’ai ensuite lancé une machine virtuelle qemu-kvm, avec l’équipement habituel : 32 Go de disque virtuel (mais pour une fois, une image prédimensionnée), 2 Go de mémoire vive.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ dd if=/dev/zero of=disk.img bs=1G count=32
32+0 enregistrements lus
32+0 enregistrements écrits
34359738368 octets (34 GB) copiés, 308,381 s, 111 MB/s
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Sabayon_Linux_6_amd64_G.iso -boot cd &

J’ai choisi l’option d’installation graphique directement. Anaconda, l’outil d’installation de la Fedora Linux est utilisé. Pour des raisons de rapidité (et de peu de gourmandise en mémoire), l’installation graphique utilise Fluxbox.

Le seul moment où un accès est internet est demandé, c’est lors de la récupération des pages manuel en français.

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NuTyX Pakxe : j’ai presque réussi à la faire fonctionner en 64 bits ;)

En septembre 2010, j’avais été très critique envers la NuTyX, ce qui m’avait valu d’être étrillé par son auteur. C’est avec la sortie de la version Pakxe qui m’a donné l’envie de la tester à nouveau.

J’ai donc récupéré la mini-ISO en 64 bits.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://nutyx.meticul.eu/NuTyX_x86_64-pakxe.iso
–2011-06-05 14:05:02– http://nutyx.meticul.eu/NuTyX_x86_64-pakxe.iso
Résolution de nutyx.meticul.eu… 88.191.55.84
Connexion vers nutyx.meticul.eu|88.191.55.84|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 16777216 (16M) [text/plain]
Sauvegarde en : «NuTyX_x86_64-pakxe.iso»

100%[======================================>] 16 777 216 932K/s ds 27s

2011-06-05 14:05:29 (602 KB/s) – «NuTyX_x86_64-pakxe.iso» sauvegardé [16777216/16777216]

J’ai ensuite lancer la machine virtuelle habituelle :

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=0 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom NuTyX_x86_64-pakxe.iso -boot cd &

L’installation est assez didactique, il suffit de créer deux partitions – j’avoue que l’argumentaire sur la non création d’une partition /home ne semble pas des plus justifiée, mais je n’ai pas envie de me lancer dans un débat sans fin – une principale et une de swap.

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Mageia 1 : power to the people ? :D

Après avoir lu l’annonce de la publication de la première version officielle de la Mageia, j’ai eu envie de la tester.

J’ai donc récupérer le torrent de la version DVD 64 bits, puis j’ai lancé mon environnement de test habituel.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=0 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom mageia-dvd-1-x86_64.iso -boot cd &

Après un démarrage assez rapide, on a un installateur assez classique, c’est celui de la Mandriva, retouché, avec des couleurs pastels du meilleur effet. Les réglages classique sont présent (langue, clavier, partitionnement du disque dur). Par défaut, on peut choisir soit d’installer KDE, soit Gnome, soit un environnement personnalisé.

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Zenix 2.0 : une distribution Zen ;)

Fouinant sur LinuxTracker, je suis tombé sur une distribution nommée Zenix. Je me suis dit, encore une dérivée d’Ubuntu. Et finalement non 🙂

Ce n’est pas une énième dérivée de la distribution reine. Mais de la reine mère, j’ai nommé Debian GNU/Linux.

Un peu à l’image des Ubuntu Christian Edition ou autre Sabily, c’est une distribution qui est à destination des personnes bouddhistes ou proche du Bouddhisme, le tout sans tomber dans l’excès d’outils dédiés, ni du matériel dédiés à outrance.

Je n’ai pas utilisé le torrent fourni, mais ce bon vieux wget.

[fred@fredo-arch download]$ wget -c http://phillw.net/zenix-2.0-amd64.iso
–2011-05-29 12:15:33– http://phillw.net/zenix-2.0-amd64.iso
Résolution de phillw.net… 72.55.186.69
Connexion vers phillw.net|72.55.186.69|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 616562688 (588M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «zenix-2.0-amd64.iso»

100%[======================================>] 616 562 688 584K/s ds 17m 40s

2011-05-29 12:33:13 (568 KB/s) – «zenix-2.0-amd64.iso» sauvegardé [616562688/616562688]

J’ai ensuite utilisé la machine habituelle. Cependant, comme la distribution utilise OpenBox, j’ai préféré utiliser le pilote vmware fourni avec qemu, le pilote cirrus ayant tendance à avoir quelques problèmes quand il s’agit d’OpenBox 🙁


[fred@fredo-arch download]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=0 table_size=0
[fred@fredo-arch download]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom zenix-2.0-amd64.iso -vga vmware -boot cd &

J’ai demandé l’installation graphique dès le démarrage du LiveCD.

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