Le financement publicitaire : c’est comme mettre sa tête sous le couperet de la guillotine en espérant qu’il ne tombe pas ?

Suite à un article titillant les glandes lacrymales sur les méchant(e)s « insérez votre insulte préférée ici » internautes de « insérez une autre de votre insulte préférée ici » employant les bloqueurs de publicités et sur un fil sur google+ j’ai eu envie d’écrire cet article pour mettre – encore une fois – les pieds dans le plat.

L’article en question est un chef d’oeuvre de novlangue. Premier morceau de choix :

Selon moi, AdBlock Plus et la centaines d’autres plugins/addons disponibles représentent une nuisance grandissante pour les éditeurs de sites web, dans la mesure où la publicité est le seul financement réaliste et efficace existant pour eux; et si les éditeurs sont en danger, ce sont au final les internautes qui en pâtiront.[…]

Surtout ne pas se demander pourquoi les bloqueurs de publicités ont une telle popularité, surtout pas… C’est vrai, c’est tellement mieux de ne pas se questionner…

[…]Selon les audiences des sites web, le pourcentage des publicités bloquées peut atteindre jusqu’à la moitié des impressions publicitaires : un manque à gagner considérable pour les sites qui reposent quasi intégralement sur ces revenus.[…]

Comment appelle-t-on un modèle de financement avec source unique de revenus ? Une incongruité pour rester dans le vocable respectable.

Vous voulez de la novlangue cinq étoiles ?

[…]D’autant que du côté des éditeurs, les conséquences des adblockers pourraient être très pénalisantes pour le financement, et donc l’offre de services aux internautes.[…]

Ne plus avoir de photocopieuses à communiqué de presse, quelle perte. Et le reste de l’article est à l’avenant. Sans oublier un passage qui arracherait des larmes au plus dur des coeurs de pierre :

[…]
Le financement par la publicité est aujourd’hui incontournable. Les usages du web gratuit sont tellement ancrés dans les habitudes de consommation que c’est le seul modèle efficace et réaliste. Il a par ailleurs au moins trois grandes vertus:

– premièrement, il permet de faire connaitre sans aucune friction des services et des contenus. La barrière du payant ou du « freemium » rendrait l’accès à ces services nettement moins évident;
– deuxièmement, la publicité permet une démocratisation du web dans la mesure où elle permet l’accès aux contenus gratuit;
– enfin, Internet étant global, les budgets publicité des pays développés financent aussi l’accès des utilisateurs aux contenus dans les pays en développement. Une forme de redistribution qu’on oublie trop souvent ![…]

Alors, méchant(e)s « insérez votre insulte préférée ici » internautes de « insérez une autre de votre insulte préférée ici » employant les bloqueurs de publicités, rendez-vous compte que vous tuez l’internet mais aussi la croissance des pays en voie de développement ! Quand même ?!

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Cubuntu : une distribution qui veut être calife à la place du calife mentholé ?

Par mentholé, je pense bien entendu à la plus célèbre des dérivées de la distribution de Canonical, Linux Mint. En effet, il y a une distribution qui reprend la base de la Linux Mint : Ubuntu en remplaçant Unity par Cinnamon.

Donc, en clair, reproduire ce qu’est la Linux Mint. D’ailleurs, il faut pas oublier que le projet Cinnamon est développé par les codeurs de la Linux Mint.

Avec l’approche de la nouvelle version LTS d’Ubuntu, à savoir la 14.04, les distributions GNU/Linux dérivées commencent à proposer leurs versions « alphas ». Parmi elle, la Cubuntu.

Elle se définit comme étant, je cite le site officiel :

Profitez du meilleur d’Ubuntu avec Unity en version améliorée + Cinnamon + Gnome, OpenBox & de très nombreux Extras

Avec Cubuntu vous ne serez pas perdu, c’est 100% Ubuntu dans une édition Deluxe, nous avons ajouté le meilleur sans rien retirer.

Pour info, la version 17 de la LinuxMint a été annoncée récemment par l’équipe qui propose la distribution pour une sortie prévue fin mai 2014.

Ce qui laisse poser la question : pourquoi faire une énième distribution dérivée de la Ubuntu ? Mais ne soyons pas négatif, et récupérons donc la dernière image de développement de la Cubuntu 14.04 LTS. Autant dire que je ne parlerais pas des problèmes de stabilité inhérent à une version non définitive.

Je dois dire que je n’aurais pas pensé à parler de la distribution si elle n’avait été rajouté récemment à la liste des distributions en attente d’indexation sur Distrowatch. La seule fois que j’en avais parlé, c’était sur un billet concernant les 6 mois de Cinnamon, en… juin 2012, qui pointait vers un article de Clapico.

Bref, j’ai récupéré l’ISO « 14-04-64bits-v158b.iso » apparemment produite le 20 mars dernier, si j’en crois les informations fournis par l’onglet propriétés de Nautilus.

Bref, j’ai décidé de voir l’ensemble dans une machine VirtualBox pour éviter que l’ensemble ne ralentisse pas trop. Déjà que Cinnamon n’est pas une foudre de guerre à se lancer, je n’ai pas voulu l’handicaper en passant par Qemu. Pour gagner en souplesse, j’ai décidé de lancer l’installation dès le départ.

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La publicité, c’est bien… Mais à dose homéopathique… Surtout pour la sécurité informatique !

J’ai eu envie de faire cet article à la suite du coup de gueule de Cyrille Borne parlant du meilleur antivirus du monde.

J’ai donc voulu vérifier une hypothèse, concernant toutes les saloperies en dehors des classiques virus et chevaux de troies, que sont les barres d’outils, et autres machins inutiles qui ne servent qu’à ralentir la navigation internet.

Pour une fois, j’ai utilisé ma propre voix, en espérant qu’elle soit audible. Désolé pour la faiblesse de ma voix, j’ai eu du mal à régler le micro de mon casque 🙁

Je sens que je vais me faire encore incendier, mais une mesure de prophylaxie indispensable sous Microsoft Windows, en complément d’un antivirus, pour éviter de se retrouver avec des véroles : un bloqueur de pub. Je vous renvoie au passage de la vidéo où je montre la différence entre la page « nettoyée » et la page d’origine.

Je dois dire que j’ai été aussi déçu par la politique de Sourceforge et des saloperies potentiellement récupérée si on ne fait pas attention.

Et j’en ai tiré un leçon de plus : ne pas utiliser bing mais Google ou DuckDuckGo, ne serait-ce qu’au niveau de l’inondation publicitaire 😉

Quand les utilisateurs de logiciels libres se comporteront-ils en adultes ?

Dans un article publié sur le blog de Cyrille Borne, Cep a écrit un article dans lequel je me fais tailler un costume trois pièces, même si l’article parle de plein d’autres choses.

  1. Car j’ose dire que la volonté de stabilité de Debian GNU/Linux conduit à l’obsolescence technique pour la version « stable » de la distribution à la spirale.
  2. Que je ne teste pas vraiment les distributions, car je me limite à un logiciel de virtualisation, que ce soit Qemu ou VirtualBox. C’est vrai que c’est tellement plus rapide de réinstaller entièrement une distribution qui a planté au lieu de virer le fichier du disque dur concerné et de recommencer à zéro. Il est vrai qu’une distribution basée sur Debian GNU/Linux ne ressemblent pas à la Debian GNU/linux…
  3. Sans oublier que les utilisateurs de distributions en flux continus sont finalement des béta-testeurs.

Je vous laisse lire l’article. Vous pourrez aussi y lire aussi la simplicité des versions de Mozilla Firefox sous Debian (un bijou). Mais j’avoue qu’un passage m’a fait particulièrement plaisir, et je le recopie ici, concernant l’inclusion de micrologiciels (firmware en anglais) non-libres dans le noyau linux :

Pour ce dernier point il s’agit en quelque sorte de revenir à ce qu’étaient les noyaux Debian avant l’accord avec la FSF tentant à rendre les Debian entièrement « libres ». À ce sujet ne pas oublier que Libre et simple ne fait pas toujours bon ménage en matière d’informatique. Inutile de se leurrer, le Libre est un choix qui va immanquablement de pair avec investissement personnel. Ne croyez pas ceux qui prétendent le contraire car la surcouche de facilitation à très grande échelle ne pourra pas s’obtenir sans une constante commerciale, soit payante directement, soit rémunérée de manière indirecte par de la publicité, du pistage, un accès à vos données personnelles ou autres moyens détournés. Ben oui, la monétisation a un prix. Et c’est aussi là que le travail de la Fsf ou, à moindre échelle, de l’April et d’autres organisations semblables prend tout son sens car, par une sensibilisation des décideurs, indirectement il participe de cette facilitation à grande échelle.

Je passe sur l’attaque sur la distribution de Canonical qui est tellement classique qu’elle ne mérite pas qu’on s’y attarde. Mais je reviens sur la partie que j’ai mis en emphase dans la citation. Vouloir avoir une machine 100% libre, c’est récolter 36 fois la mise en terme d’ennuis et de limitations dans la vie quotidienne sur internet.

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La blogosphère francophone : quelle indépendance a-t-elle au final ?

Dans un article Cyrille Borne parle de la « prise de conscience » du blog qui est (était ?) à mes yeux l’exemple parfait de ce que la blogosphère francophone « professionnelle » : une photocopieuse à communiqué de presse, vivant de la publicité, donc avec une indépendance se réduisant comme une peau de chagrin.

Je vous renvoie à l’article, il résume très bien l’hypocrisie de la blogosphère francophone professionnelle. S’il y a de la publicité, vous pouvez tout aussi bien tourner les talons.

Mais il faut dire les choses comme elles sont, dès que la publicité apparait, l’indépendance disparait d’elle-même. Hier soir, dans le magazine Capital, un reportage était consacré au Low Cost.

Dans le reportage consacré aux smartphones d’entrée de gamme (qui sont suffisant pour nombre d’utilisateurs qui font du téléphone, du SMS, et quelques photos), on voyait une brochette de blogueurs invités par un fabriquant anglais du nom de Kazam, et qui après leur avoir fait l’article leur faisait cadeau du dernier « haut de gamme » de la marque, le Thunder Q4.5.

Et peu après, on voyait des captures d’écrans des sites qui parlaient – à n’en pas douter – en bien du smartphone qui valait dans les 170 €.

Je ne voudrais pas me montrer suspicieux, mais cela empeste l’opération de communication à plein nez, et au passage, on s’achète pour « un plat de lentille » des pages complaisantes.

Oserais-je dire que les blogueurs invités n’ont plus d’indépendance ? Que ce sont des idiots utiles qui permettent à une marque de se faire de la publicité à vil prix ?

Mais non, ce sont juste des êtres humains avec leur faiblesse. Mais c’est bien connu, l’humain est doué de raison et sait faire la différence entre un article « commandé » et un article vraiment critique (dans tous les sens du terme).

Mais il est vrai que cela fait longtemps que je n’ai plus lu un article comme celui d’un Amstrad 100% qui, parlant du merdissime Chicago’s 30 dans son numéro 13, en page 83, déclarait :

Tiens, je viens d’éteindre mon CPC. Tiens, la K7 de Chicago’s 30 vient de se retrouver dans la poubelle. Tiens quelqu’un profitant du fait que j’ai le dos tourné vient d’y mettre le feu dans l’intérêt de la santé publique. Mais comment je vais finir mon article, moi ?! »

La note était de 20%… Qui a vu de telles notes récemment, que ce soit dans un magazine ou sur un blog ?

Fin de vie de Microsoft Windows XP : retour du syndrome 631 ?

Après une longue vie, prolongée par la fiasco de Microsoft Windows Vista, Microsoft Windows XP va s’éteindre début avril 2014. Et nous verrons revenir le syndrôme du 631, celui qui avait déjà frappé à l’époque du fiasco de Microsoft Windows Vista.

631 ? Simplement la répartition de la population des personnes utilisant Microsoft Windows XP dans les options principales de migration :

  • 6 sur 10 migreront vers une version plus récente de Microsoft Windows, soit vers la version 7 si leur machine est assez puissante, soit vers la version 8.x en achetant une nouvelle machine
  • 3 sur 10 casseront leurs tirelires et iront voir chez Apple
  • 1 sur 10 ira voir du coté des OS alternatifs

Même si depuis 8 ans, des progrès énormes ont été accomplis du côté du libre, il souffre encore d’une image tenace : celle d’un monde pour fondus d’informatique, où rien ne fonctionne aussi bien sur le plan logiciel que matériel, à la logithèque faible (c’est vrai qu’il n’y a pas 14,5 millions de « zippeurs » comme pour Microsoft Windows), et qui demande de se griller la moitié des neurones à la moindre opération.

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Retour de pause… Et mise au point.

Après cinq jours de pause plus que bienvenus, j’ouvre de nouveaux les vannes du blog. Mais avant toute chose, je voudrais éclaircir quelques points.

Si je maintiens les commentaires ouverts durant une semaine après la publication du billet, c’est à une seule condition : que le contenu du commentaire, même s’il est en désaccord avec le contenu du billet, doit rester dans les limites de la politesse.

En clair, tout commentaire contenant des propos injurieux, attaquant sous la ceinture, ou juste bête et méchant seront flingués à vue.

Vous êtes prévenus. Inutile de pleurer par la suite. J’ai été trop coulant avec certains commentaires qui ont mis le feu aux poudres.

J’avoue que j’ai récemment perdu patience. J’aurais dû rester calme, mais j’avoue que certains commentaires ont été la goutte d’eau qui a fait débordé le vase.

Je ne reviendrais plus sur la politique du fork compulsif comme je l’ai fait dans les billets qui ont précédés la pause. Apparemment, c’est un sujet ultra-sensible. Autant parler de contraception avec un extrémiste religieux, ou jongler avec de la nitroglycérine. La fin n’est pas des plus joyeuses.

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Philosophie à 0,02 € : Certains développeurs de logiciels libres oublient-ils qu’il y a des utilisateurs ?

Suite à deux articles, l’un sur la démultiplication des distributions GNU/Linux disponibles, l’autre sur les risques du fork compulsif, j’en viens à me demander – en gaspillant de precieuses ressources si j’en crois certains esprits chagrins, si on n’assiste pas au final à un combat stérile entre une partie des développeurs et les utilisateurs « finaux ».

Pour la énième fois, je vais devoir m’expliquer, car il n’y a pas pire sourd que la personne qui se masque les oreilles.

Je ne suis pas contre le fork, mais contre son application compulsive qui finit par desservir le logiciel libre.

C’est bien beau de proposer le énième gestionnaire de paquets pour la beauté du geste, mais pourquoi ne pas aider à améliorer l’existant ? Simple question, hein. Je ne suis pas développeur mais juste un utilisateur qui apprécierait de voir son gestionnaire de paquet être amélioré.

Idem pour les gestionnaires de fenêtres, les outils du genre archiveurs, lecteur audio et / ou vidéo, implémentation libre de cette immondice technologie qu’est Flash, bref des outils que l’utilisateur final emploiera régulièrement.

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Critiquer le gaspillage des ressources dans le logiciel libre, un crime de lèse-majesté ?

Dans un article au titre volontairement provocateur, j’ai osé exprimer un point de vue alternatif sur la santé du logiciel libre, à savoir que la démultiplication des distributions GNU/Linux, et que la politique du « fork comme on va pisser » est suicidaire à terme.

Cela m’a valu une volée de bois verts, dont les commentaires sont allés jusqu’à l’insulte et l’attaque ad-hominem. Je commence à avoir le cuir tanné, et l’habitude de l’abus du pseudonymat dans ce cas précis.

Donc, il faut fermer sa bouche, et laisser le logiciel libre être coulé par les égos de développeurs surdimensionnés qui croient que rien n’existait avant eux ? Que des pistes abandonnées l’ont été sans raison ? Que « tout va très bien, Madame la Marquise », même si c’est le contraire qui se produit en réalité ?

Je le répèterais encore, dussè-je me faire traîter de « nul » faisant preuve d’une « incompétence technique » ou autre noms d’oiseaux de ce style.

Je vais expliquer une nouvelle (et dernière ?) fois mon point de vue. Qui se résume ainsi :

  1. Oui, il y a trop de distributions non spécialisées qui existent et qui s’annihilent.
  2. Oui, cela est un gâchis de ressources que de produire une distribution GNU/Linux qui clamsera dans les 6 mois ou un an.
  3. Oui, on pourra dire que je me limite à la critique. Mais je sais très bien que je n’ai ni le temps, ni l’envie de pondre une distribution GNU/Linux.
  4. Le logiciel libre est en train de se vider des chargeurs d’AK-47 dans le pied en n’arrivant pas à réguler l’envie de forker comme on va pisser.
  5. Oui, le fork est dans l’ADN du logiciel libre, mais trop de fork tue le fork !

Maintenant, cela vous déplaît ? Vous m’en voyez désolé. Si vous considérez que tout va bien dans le logiciel libre actuel, tant mieux pour vous. C’est tout le contraire à mon humble avis.

Oui, je suis un pauvre casse-bonbon qui n’a jamais pondu de distribution, mais qui aide les utilisateurs, en leur faisant découvrir des distributions, en proposant des trucs et astuces. En apportant mes humbles connaissances sur des forums spécialisés comme ManjaroFr ou Terre-des-Tux ou encore en maintenant des logiciels sur AUR.

Je suis loin d’être l’incompétent technique que certaines personnes planquées derrière leur pseudonymat s’amuse à décrire ! Que les personnes en question montre leurs proses ou leurs créations.

Je terminerais avec la phrase de Pierre Auguste Caron dit Beaumarchais : « Sans la liberté de blâmer, il n’est pas d’éloge flatteur »

Quand donc les créateurs de distributions GNU/Linux vont-ils arrêter de se comporter en adolescents boutonneux et sexuellement immatures ?

Désolé pour le côté excessif du titre, mais c’est l’expression de ma lassitude par rapport au comportement irresponsable d’une partie des créateurs de distributions.

Un commentaire récent auquel j’ai très gentiment répondu m’a fait comprendre que j’étais un vieux con, qui ne comprenait pas l’importance  primordiale de proposer une nouvelle distribution GNU/Linux qui aurait été produite comme une pollution nocturne après un rêve un peu trop osé.

Je cite le morceau en question, vous pourrez lire en entier le commentaire en suivant le lien :

Avoir la responsabilité du choix est la corrolaire de la liberté. Vive la liberté ! Et vive le choix !

Ainsi, parmi la multitude de raisons qui me pousseraient peut-être un jour à monter ma propre distribution, il y aura par exemple l’ego, parce que je serai fier de montrer à tous que j’ai MA distro, le divertissement, ou encore le besoin d’indépendance… Bref, tout ce qui fait que nous pouvons aujourd’hui profiter du moindre logiciel libre.

C’est ici le noeud, non je ne pensais pas à l’appellation grivoise d’une partie des organes génitaux masculins, du problème.

La responsabilité du choix… C’est beau comme Aragon qui parlait de Staline. Bref…

Mais cette vision paranoïaque pour ne pas dire extrémiste est incompatible avec les ressources du logiciel libre. J’ai de nombreuses fois critiqués cette croyance qu’on peut mieux faire que l’autre.

C’est vrai si on s’appelle Linus Torvalds, Theo de Raadt, Richard Matthew Stallman, Eric S. Raymond, Hans Reiser ou encore Patrick Volkerding. Pour ne citer que les plus célèbres.

Autant dire une minorité des développeurs.

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