« When the broken bow : We, the Dangerous Weapons », merci Bandcamp !

Bandcamp, dois-je le répéter encore une fois ? – est une mine d’or. Surtout quand on prend le temps de fouiller un peu, et surtout d’utiliser les recommandations.

Grace à Bandcamp, j’ai fait exploser ma bibliothèque musicale. Et il y a quelques jours, je tombe sur une recommandation qui m’intrigue : « We, the Dangerous Weapons » du groupe « When The Broken Bow ». J’avoue que la pochette d’un album joue beaucoup pour me forcer à l’écouter.

Je mets le le lien de coté, et le soir même, je lance la lecture. Et boum ! La claque, dès les premières secondes.

Et arrivé à la moitié des pistes, j’avais déjà dégainé mon compte paypal pour acheter l’album. Mais parlons d’abord rapidement du groupe. C’est un trio, formé par Ali Ippolito (piano et chant), Justin Stimson (à la basse) et Quentin Whitman (percussions), originaire de Portland, Oregon.

Le trio propose un rock assez doux, très classique et très mélodique. La piste d’intro propose une musique appaissante, presque une berceuse. Cette mise en bouche permet d’introduire un rock reposant, dont le duo piano-chant d’Ali Ippolito apporte un coté « sucré ».

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antiX 12.5 alpha 2 : l’attaque des distributions GNU/Linux légères ?

Dans le domaine des distributions GNU/Linux peu gourmandes, je demande l’antiX, qui est basée sur la Debian GNU/Linux testing et des outils de la Mepis Linux.

Pour info, la seule fois où j’avais parlé de la Mepis Linux, c’était à l’époque d’une préversion de la SimplyMepis 8.5, en janvier 2010.

Très légère coté mémoire (on dépasse rarement les 200 Mo de mémoire vive à l’utilisation), elle se base sur le gestionnaire de fenêtre IceWM, mais elle propose aussi fluxbox, jwm, dwm et wmii.

La deuxième alpha de sa version 12.5 étant sortie récemment, je l’ai récupéré pour vous montrer cette distribution peu connue. Après avoir récupéré l’image ISO, j’ai lancé une machine virtuelle Qemu.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom antiX-12.5-full-alpha2-amd64.iso -boot order=cd &

L’installateur est celui de la Mepis Linux, donc, c’est assez abordable pour mettre en place l’ensemble.

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On est mardi, c’est musique ;)

Aucune rime n’était prévu dans le titre, l’honneur est sauf. Voici donc quelques coups de coeur et / ou futurs achats de musique. Et des liens en relation avec la musique 😉

Avant toute chose, je tiens à signaler qu’Agnès du blog « Destination Passions » propose un concours pour faire gagner un album neuf du compositeur Zero-Project.

J’avoue qu’en ce moment, je passe un période vraiment branché cabaret punk et apparentés. Deux albums m’ont vraiment emballés récemment, le live d’Amanda Palmer en Australie et Nouvelle Zélande, « Amanda Palmer goes down under » et le bizarroïde « Evelyn Evelyn« .

Le premier est un album live, où la part belle est faite aux compositions créée pour les concerts. A noter les très bons « Vegemite (The Black Death) » ou encore « New Zealand ». Ou encore le titre « Formidable Marinade » que je vous laisse découvrir 🙂

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HaïkuOS Alpha 4 : incroyable, ça fonctionne :)

HaïkuOS, c’est un peu un rêve fou : récréer en partant de la feuille blanche un clone libre du mythique BeOS. En développement depuis une grosse décennie, le résultat est impressionnant. Après une alpha2 dont j’avais parlé en mai 2010, et un article sur un version post-alpha3 en décembre 2011, j’ai eu envie de montrer la version alpha4 de ce projet ambitieux.

De l’installation, je ne parlerais pas, c’est la même depuis les premiers articles où j’en ai parlé. Contrairement à l’article de décembre 2011, l’ISO est complète. On a donc tous les outils fournis par défaut disponible sous la main.

L’OS en lui même est très peu gourmand en place : 2,5 Go. Oui, je sais l’OS est nu, mais rare sont les OS qui soit si peu gourmand en ressources de nos jours.

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Funtoo Linux, suite et fin.

Dans un précédent article, j’avais été bloqué au redémarrage. La faute au xfs. Donc, j’ai retenté ma chance, et je suis reparti sur les routes de la geekitude informatique linuxienne – euh, y a pas un pléonasme ? – avec une Funtoo Linux, cependant, cette fois, j’ai utilisé VirtualBox et des partitions en / et /home en ext4.

Le point qui m’a le plus ennuyé, c’est la reconnaissance du circuit son, qui m’a fait recompiler au moins 3 fois le noyau. Pour l’affichage, un petit emerge xf86-video-virtualbox. Et surtout, ne pas nettoyer le code compilé du noyau, même s’il prend près de 700 Mo. Et comme je suis un grand fou furieux, j’ai utilisé le code source le plus proche de l’original pour le noyau, le paquet vanilla-sources, me permettant d’avoir le 3.6.6. Chez Gentoo Linux, on est limité au noyau linux 3.5.7 avec le même paquet.

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Phoronix : mea culpa mais pas trop :)

Souvenez-vous, c’était en août dernier. En grande pompe, un commit inséré dans l’outil tasksel était monté en épingle pour annoncer que Debian GNU/Linux laissait tomber Gnome pour Xfce pour son image CD1.

Phoronix pondait un article sur ce changement. Cependant, rien n’était plus prématuré que cette annonce. J’avais fait un article barbant sur l’installation d’une Debian GNU/Linux après le dit commit. Et étrangement, c’était Gnome et non Xfce qui était proposé par défaut.

Bref, l’histoire aurait pu en rester là… Mais Phoronix en rajoute une couche, récemment, annonçant que finalement, le changement d’environnement n’aurait pas lieu, l’équipe de développement de Debian GNU/Linux ayant réussi à réduire Gnome pour le faire rentrer dans l’ISO en dessous des mythiques 700 Mo.

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En vrac’ plus ou moins libre

Un petit florilège de liens pour ce jeudi, à la fois dans le domaine du libre et de la vie réelle..

C’est tout pour aujourd’hui. Bonne fin de journée.

Installer une Funtoo avec Xfce : le retour, deuxième partie.

A la fin de la première partie, j’avais lancé la compilation de Xorg, avec un petit emerge x11-xorg Pour gagner du temps, j’ai rajouté la valeur VIDEO_CARDS= »vesa » dans le fichier /etc/portage/make.conf

Et j’ai profité de la compilation de Xorg pour générer les traductions nécessaire à l’utilisation de la Funtoo Linux.

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Installer une Funtoo avec Xfce : le retour.

Il y a plus d’un an de cela, j’avais voulu installer une Funtoo Linux avec Xfce à l’intérieur. Cependant, j’avais abandonné à cause d’un problème de paquets non compilable, au début de la mise en place de Xfce 4.8, à l’époque.

J’ai voulu retenter ma chance, étant obstiné, et voulant m’amuser avec la Funtoo Linux. Cette fois, j’utilise une machine qemu en lieu et place de la machine virtuelle VirtualBox utilisée précédemment. Et j’ai pris comme base la dernière ISO de SystemRescueCD en date, la version 3.1.1. Dès le démarrage, j’ai chargé l’agencement français pour le clavier. Cela m’a éviter de faire quelques gymnastiques mentales.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom systemrescuecd-x86-3.1.1.iso -boot order=cd &

Pour l’installation, j’ai utilisé le wiki de la Funtoo Linux.

Etant donné que j’utilise un disque de 128Go, j’ai pris le partitionnement ancienne génération.

Pour le partitionnement, j’ai suivi le schéma proposé par le tutoriel, faisant passer la taille de la partition racine à 20 Go, et la partition d’échange à 4 Go.

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Slitaz GNU/Linux : la distribution poids plume de qualité.

Les distributions GNU/Linux sont devenues de plus en plus gourmandes en ressources au fil des années, au point que le format CD est peu à peu abandonné. Mais il y a des exceptions qui confirment la règle, et c’est le cas de la Slitaz GNU/Linux, une distribution créée à partir d’une feuille blanche au milieu des années 2000.

Je tiens à remercier le gentil lecteur qui m’a fait me souvenir par courrier électronique de l’existence de cette distribution.

Car son fonds de commerce, c’est la légèreté avant tout, je cite la page d’accueil :

SliTaz est un système GNU/Linux fournissant un bureau ou un serveur complet dans moins de 30Mb.

Et on peut lire un peu plus loin : « Un système racine d’environ 100 Mb et des images ISO de moins de 30 Mb. »

Autant dire que c’est de l’ultra-léger. J’ai donc récupéré l’ISO stable et j’ai lancé le tout dans une machine qemu allégée. La dernière version officielle, c’est la 4.0 sortie en avril dernier.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm32 -hda disk.img -cdrom slitaz-4.0.iso -boot order=cd &

J’ai démarré en choisissant le français pour avoir l’ensemble dans la langue de Molière par la suite. On se retrouve dans un environnement lxde. L’installation et la gestion du système se fait dans un outil centralisé du nom de TazPanel.

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