« Memories » de Grimlake, le retour gagnant du post-rock français.

Il y a une quinzaine de jours – au moment où je rédige ce billet, le 9 juin 2019 – que j’ai reçu la version physique du deuxième album de Mathieu Legros alias Grimlake. Bien que l’album soit sorti fin avril 2019, je ne l’ai acheté que courant mai.

Après son premier album, le très bon « Atlas Hands » dont j’ai parlé en décembre 2015, j’ai appris avec plaisir qu’un deuxième opus était sorti.

Constitué de 7 pistes et durant à peine moins de 35 minutes, on se retrouve avec du post-rock concentré tel un expresso dans un bar.

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Ah, les pactes de non-agression, vaste blague !

J’avais écrit dans la soirée du 7 juin 2019 un rapide article dans lequel j’exprimais – sous le coup de la colère – tout mon dégoût des manoeuvres qui polluent le monde linuxien francophone, spécialement dans sa partie youtubesque.

J’avais joint la capture d’écran suivante où un troll notoire – qui crache tel un lama sur un projet dont j’ai fait parti des fondateurs – avoir une explosion séminale précoce à l’annonce d’un « piratage » du site du projet Tux’n’Vape.

Ensuite, un troll qui doit avoir encore du lait qui sort des narines quand on lui presse les narines en rajoute sa dose. Bref, même si je ne peux pas m’avancer, la non-remontée de bretelles en textuel dans la zone de bavardage des deux personnes me fait dire qu’il y a une forme de complicité de la part du vidéaste en question.

Ce vidéaste connu pour ses changements d’avis comme de chemises – j’espère qu’il a un bon lave-linge – joue la politique la plus idiote qui existe : celle du pacte de non-agression.

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« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !

Il faut savoir tourner la page : mon départ de la partie technique de Tux’n’Vape.

Il y a une citation de Georges Clemenceau qui me plait particulièrement – une parmi d’autres – et la voici : « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. »

Le doux monde du logiciel libre en est la parfaite confirmation. Dans la vidéo ci-après, j’explique pourquoi au bout de deux ans je quitte le partie technique du projet que j’ai aidé à fonder.

Outre le fait que le projet était devenu la cible préférée des fouteurs de merdes de la youtubosphère linuxienne francophone – et mon départ vers Peertube n’avait rien changé au déferlement de haine, d’insultes et de menaces sur mon intégrité physique de la part de courageux anonymes – on arrive à un moment où il faut savoir tourner la page et laisser les projets techniques qu’on a lancé dans les mains de personnes que l’on considèrent être fiables.

Ma vie réelle étant plutôt occupée par des trucs complètement basiques, je n’ai pas le temps en ce moment d’évaluer des distributions en dehors de celle que j’utilise au quotidien. D’ici une grosse semaine, le temps libre redeviendra une réalité palpable.

Je n’ai pas grand chose à rajouter à ce que j’ai dit en vidéo, je vous conseille donc de la visionner en entier avant toute chose 🙂

Sur ce, bonne journée !

Guide d’installation d’Archlinux, version de juin 2019.

Voici la soixantième-septième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de mai 2019.

Note : des versions plus dynamiques sont disponibles sur mes espaces github et framagit.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso. Au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er juin vers 8 h 35 du matin, l’ISO de juin 2019 n’est pas encore disponible.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.32.2, Plasma 5.15.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.22.1 en gtk3, Cinnamon 4.0.10 et Deepin 15.10.1

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

  • La version odt
  • La version pdf
  • La version ePub
  • La version mobi (pour Kindle)

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !