Ah les étranges options de compilation de DrOrca…

J’ai déjà parlé de cette version « geckoïsée » de la surcouche de navigation « Avant Browser »

Or comme tout logiciel basé sur Gecko, il est possible de savoir quelles sont les options qui ont été utilisée pour compiler le code source pour obtenir le produit fini. Il suffit pour cela d’entrer dans la barre d’adresse « about:buildconfig » (sans les guillemets).

La liste des options de compilations de DrOrca est franchement impressionnante et contient quelques entrées qui sont un brin inutile…

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Avant Browser + Gecko = DrOrca ;)

Le créateur d’Avant Browser vient de commencer un nouveau logiciel en se basant sur le coeur de Firefox, du nom de DrOrca.

J’ai pu trouver cette information via ce fil sur fr.comp.infosystemes.www.navigateurs . J’ai donc installé un Qemu sur mon MacOS-X, installé un Windows98, puis j’ai récupéré DrOrca.

En résulte un petit topo RAPIDE, sous la forme d’un document Adobe Acrobat, téléchargeable et pesant à peine 280 Ko.

Bonne lecture 😉

Nettoyage d’automne pour Bugzilla.

Bugzilla, c’est le logiciel qui permet de gérer la liste des bugs trouvés dans les produits de la Fondation Mozilla, ou en relation avec les produits de la Fondation Mozilla, c’est-à-dire Firefox, Thunderbird, Bugzilla lui-même, la suite Mozilla, Camino, etc…

Or, un des problèmes de ce logiciel, c’est le nombre de bugs ouverts, non-confirmés, et laissé à l’abandon par les personnes qui les ont signalés. On parle des « UNCOs », qui surpeuplent la liste ouverte, au milieu de bugs reproduits, du bug qui plante le logiciel jusqu’au plus minime défaut d’affichage de l’interface.

Il y a 3 semaines environ, le 27 septembre dernier, Gervase Markham, responsable de Bugzilla a lancé une procédure de « nettoyage » des bugs laissés à l’abandon.

C’est ainsi que 12342 bugs ont été signalés aux personnes qui les avaient signalés, leur demandant si le bug qu’il avait rapporté était toujours d’actualités, en précisant qu’au bout de 2 semaines de délai, le bug serait marqué comme « EXPIRED », ce qu’on peut traduire par expiré.

Résultat des courses ? 9722 bugs ont connus ce sort, soit 78,8% du total. Ce qui est quand même énorme.

Donc on peut en déduire plusieurs options :

  1. Soit nombre de personnes rapportent des bugs comme on va aux toilettes pour aller uriner
  2. Soit l’évolution du code des produits de la Fondation Mozilla est très rapide pour certains bugs.

En tout cas, cela fait un sacré coup de balai.

Source : MozillaZine.

Abiword 2.4.0, un brin immature ?!

Dans une précédente note, je faisais part de l’arrivée de la version 2.4.0 d’Abiword.

J’ai voulu travailler sur des documents Abiword créé avec la version béta 2.3.99, en utilisant la version finale 2.4.0, mais ceux-ci ont été transformé en une espèce de bouillie indigeste 🙁

Donc, j’ai récupéré la version – francisée – m130 d’OpenOffice.org 2.0 pour MacOS-X, je l’ai installé (elle pèse environ 420 Mo pour le traitement de texte, le tableur, la base de données, le module de présentation, le module de dessin vectoriel et la base de donnée !), et j’ai récupéré tant bien que mal mes documents, les enregistrant au format OpenDocument, et gagnant ainsi jusqu’à 75% de taille sur les versions précédentes, au format d’Abiword.

Dommage qu’Abiword soit aussi peu abouti sur certains plans 🙁

Sortie de Firefox 1.5b2

La version 1.5 béta 2 de Firefox vient de sortir.

La liste des principaux changements depuis la version 1.5 béta 1 (en anglais) est disponible ici.

Même si ce n’est pas une version conseillée pour les utilisateurs « basiques », les progrès effectués sont interessants, et la première version Release Candidate sortira d’ici la fin du mois d’octobre, début novembre dans le pire des cas.

Des versions francisées de Firefox 1.5 béta 2 seront surement disponible dans les jours qui viennent. Souvenez-vous que ce sont des versions de tests, et que des bugs étranges peuvent arriver !

Firefox 1.5 béta2 disponible en plusieurs langues ?

C’est la conclusion qu’on peut tirer quand on s’aperçoit que les nocturnes de Firefox 1.4.1 alias Firefox 1.5 béta2, sont disponibles – outre l’anglais – en français, espagnol, italien, allemand, etc…

Ce qui laisse présager une sortie multilingue de cette version de tests de Firefox 1.5, sûrement pour faire comprendre que cette versions sera dédiée à un public plus large que la précédente version béta.

Voici une capture d’écran de la dernière nocturne estampillée « fr » sous un Windows 98 émulé dans Qemu) donne :

firefox 1.5 béta 2 en français

Cependant, comme cela reste une version non finie, je ne donnerais pas d’adresse pour la récupérer.

De plus, selon la feuille de route de Firefox, et sachant que la version 1.5 béta2 est prévue pour la première quinzaine d’octobre, il suffira de patienter quelques jours de plus 😉

Sortie d’Abiword 2.40

Le petit traitement de texte libre et multiplateforme (Windows, Linux, MacOS-X) vient enfin d’arriver en version 2.40, nouvelle étape importante de de sa vie.

Depuis la série des 2.2, Abiword a gagné quelques fonctionnalités interessantes :

  • Un correcteur grammatical, limité à l’anglais pour le moment, d’autres langues pour bientôt
  • Support du format OpenDocument, il pourra donc discuter avec le futur OpenOffice.org 2.0
  • Le support de la rédaction d’équation

Sans oublier surement d’innombrables bugs écrasés. Il est disponible en français dans ses versions MacOS-X et Windows ; je n’ai pas testé sous Linux, cependant 🙁

Voici à quoi il ressemble sous un Windows 98 (émulé dans une machine virtuelle Qemu) :

Abiword 2.40

C’est un excellent traitement de texte, je l’utilise pour remplacer OpenOffice.org Writer qui est trop lourd pour mes besoins. Et en tout cas, il est largement plus abordable financièrement qu’un mastodonte comme Microsoft Word 😉

Les « mensonges » sur la gratuité de logiciels…

Derrière un titre aussi provocateur, il se cache une vérité que nombre de personnes ne peuvent – ou ne veulent – pas admettre : aucun logiciel n’est vraiment gratuit.

Pourquoi ? Pour plusieurs raisons.

  1. Le matériel nécessaire pour faire tourner les logiciels : disque dur, mémoire vivre, microprocesseur, etc…
  2. L’electricité qui donne vie à l’ensemble de composants électroniques qui constitue un ordinateur
  3. La bande passante utilisée par le logiciel ou utilisé pour récupérer le logiciel
  4. Le support de transport du logiciel : clé USB, disquette, CD-Rom, etc…
  5. Le coût d’une licence de Windows (100 euros en moyenne pour une version familiale) pour une machine neuve… Demandez un devis détaillé à un assembleur et jetez un oeil sur la ligne logiciels…

Cependant, la dernière ligne peut changer, et on peut utiliser aussi – et avec des problèmes en constante décroissance (n’en déplaise aux utilisateurs « die-hard » de Windows) – des distributions Linux, ou pour les puristes, un FreeBSD 😉

L’autre « problème » avec les gratuiciels (en anglais freeware), c’est que certains ont dérivés vers le monde du partagiciel (en anglais shareware), au grand désespoir de leurs utilisateurs.

Un exemple célèbre : JV16 Powertools (un logiciel de nettoyage de la base de registre de Windows), excellent logiciel gratuit, devenu un partagiciel à durée d’essai de 30 jours à 29,95$ ! 🙁

Je veux bien que son auteur gagne de l’argent sur son travail – toute peine méritant salaire – mais, il ne faut pas pousser et prendre ses utilisateurs pour des vaches à lait…

Pas que je rejette l’existence des gratuiciels (en anglais freeware) ou encore des partagiciels (en anglais shareware) – il y a d’excellent partagiciels sur MacOS-X – mais ce sont des évènements qui me font préférer les logiciels libres…

Il est vrai que je préfère utiliser Abiword (qui me coûte juste la bande passante, donc pas loin de quelques centimes d’euros) à un Microsoft Word pour MacOS-X qui coûte 500 euros !!!