Critique du livre « Internet et les réseaux sociaux : que dit la loi ? »

Étant un vieux blogueur dont l’influence serait tout sauf négligeable selon certaines personnes – tiens, des rires de baleine dans la salle ? – je suis souvent contacté, aussi bien par des promoteurs d’articles sponsorisés ou apparentés qui peuvent aller voir si on peut attraper des coups de soleil sur Pluton – que par certains éditeurs pour me parler de leur produits (livre, logiciels), voire même certains groupes ou artistes.

Depuis plus d’un an et demi, je suis contacté régulièrement par le service de presse de l’éditeur Eyrolles, qui me présente rapidement des livres qui doivent sortir, avec la même question à la fin : « Souhaitez-vous découvrir le livre ? »

Presque à chaque fois, je réponds par la négative, le sujet ne me parlant pas. Je n’ai répondu que par 3 fois de manière positive. la première, c’était pour un livre sur le Raspberry Pi premier du nom en février 2014, la deuxième, c’était pour un livre concernant la création d’une boutique en ligne, sujet auquel je m’intéressais à l’époque – et qui me parle toujours – en mars 2015.

Et la troisième ? C’est plus récemment, quand un bouquin intitulé « Internet et les réseaux sociaux : que dit la loi ? ». Je tiens à remercier Marion Marin Dubuard pour m’avoir envoyé gratuitement un exemplaire. Il est disponible sur le site de l’éditeur et vaut la modique somme de 12,90€, en dehors des frais de ports.

Au moins avec cette longue introduction a le mérite de mettre les points sur les « i », je ne violerai pas l’article 20 de la LCEN (Loi pour la Confiance de l’Économie Numérique) du 21 juin 2004. Mais revenons-en au livre publié par les éditions Eyrolles.

Écrit par Fabrice Mattatia (Docteur en droit et expert en confiance numérique), ce petit ouvragee au format poche d’un peu moins de 250 pages, apparaît à première vue un peu court pour aborder un aussi vaste sujet que l’application du droit sur internet. En tout cas, il dépasse largement le simple cadre des réseaux sociaux : Facebook, Google Plus, Twitter, Diaspora*, Instagram, etc.

Il se base sur un principe juridique simple : « nemo censetur ignorare legem », qu’on peut traduire par « nul n’est censé ignorer la loi ».

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En vrac’ rapide dominical

Pour ce dernier dimanche de juin 2015, un petit en vrac’ 🙂

Comme d’habitude, commençons par le panier de crabes logiciel libre.

Passons maintenant à la culture .

C’est tout pour ce dimanche.

Collapse : encore un exemple qu’on a des bons groupes de post-rock en France. Et c’est tant mieux !

S’il y a un genre musical que j’apprécie, en dehors du rock progressif, du metal progressif, du metal symphonique, de la folk, de la musique classique (et oui !) ou encore du heavy metal classique, c’est bien le post-rock.

Même si c’est un mouvement musical assez répandu sur la planète, j’avoue que les créations françaises me plaisent particulièrement. Une liste rapide : Have The Moskovik, The Beauty The World Makes Us Hope For, Corbeaux, ou encore une découverte plus que récente et sujet de cet article, Collapse.

J’ai découvert ce groupe via un commentaire sur mon article sur « Ossonor ». Je tiens à remercier Yanil pour le tuyau. Collapse, groupe originaire de Grenoble, propose un post-rock instrumental avec des influences qui me parle, dont un certain… Porcupine Tree. Pour le fan de Steven Wilson qui sommeille en moi, c’est un gage de qualité de plus.

C’est donc sur les conseils de Yanil, que je remercie encore une fois au passage, que j’ai lancé l’écoute du deuxième LP « The Fall » sorti en 2013. Même si la première piste commence par une intro avec des paroles, le reste de l’album est un grand voyage musical de plus de 50 minutes, réparties sur 9 pistes. Les pistes s’enchainent les unes après les autres avec une facilité déconcertante !

Il ne m’est pas souvent très facile de décrire un album surtout quand comme celui-ci, les pistes forment un tout. Un monde en lui-même. Impossible de sortir une piste pour la mettre en avant, car on sent que le groupe maitrise ses instruments sur le bout des doigts. Dire qu’on se prend une claque est la meilleure image que je puisse donner. Mais le genre de claque qu’on aime à recevoir 🙂

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En vrac’ rapide de fin de semaine.

Pour finir la dernière semaine du printemps 2015, un en vrac’ rapide et plutôt varié.

Commençons par le panier de crabes informatique, j’ai nommé le logiciel libre 🙂

Sur le plan culturel ?

Bon week-end !

En France, on a peut-être pas de pétrole, mais des bons groupes de métal symphonique !

En fouillant les catégories de bandcamp, ma mine d’or pour trouver des albums et des groupes qui n’ont pas l’opportunité de passer à la radio et à la télévision, je suis tombé sur le premier EP d’un groupe grenoblois, du nom d’Ossonor.

Avec les lillois d’Alwaid et les parisiens de Unseelie (plus orienté gothique, d’accord !), voici que je tombe sur une troisième pépite orientée métal symphonique avec chant féminin, mon péché mignon.

L’album commence avec une introduction tout ce qu’il y a de plus classique dans ce domaine. Une mise en bouche avant « A Momentary Lapse in Hell » qui reprend tous les canons du genre avec un duo chant clair féminin et chant guttural masculin.

Ça envoie vraiment et ça donne la patate 🙂

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