En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Commençons par le logiciel libre.

  • Toutes les distributions GNU/Linux ne se la joue pas « tape à l’oeil » ou encore « améliorée par rapport à l’existant ». Il y a aussi des distributions GNU/Linux utiles, comme la Hypra Linux, qui se définit aussi comme un « Système à Accès Universel » à destination des personnes malvoyantes ou non-voyantes. Un article plus complet à prévoir dans le courant de la première semaine de mars 2016.
  • Vous aimez les distributions GNU/Linux vraiment minuscule ? Alors la TinyCore Linux 7.0 sera pour vous. L’image ISO la plus complète pèse… 106 Mo !
  • C’est bien connu, les chats règnent sur l’internet. Alors, pourquoi ne pas évoquer la Pisi Linux 2.0 alpha 7, distribution d’origine turque, continuation de la Pardus Linux ? Pour l’info, Pisi en turc, ça veut dire… minou !

Côté musique ?

Bon week-end.

« Hanté » d’Errantia : un album concept intéressant.

Tous les genres musicaux ont leurs albums concepts. Parmi les plus connus ? « Sergent’s Pepper Lonely Hearts Club Band » des Beatles (1967), l’opéra-rock « Tommy » des Who (1969), « L’homme à tête de chou » de Serge Gainsbourg (1976), ou encore « Dark Side of The Moon » des Pink Floyd. Dans la sphere en croissance constante du metal, je citerais « Ghosts I-IV » de Nine Inch Nails (2008).

Errantia est un groupe de metal mélodique français qui a développé un concept intéressant : le métal « hanté ».

Leur premier album, intitulé « Hanté » est sorti début novembre 2015. Il reprend plusieurs tendance du metal à savoir le mélodique, le progressif, le symphonique et le gothique pour en faire sa propre variante.

L’album est assez court, ne faisant que 37 minutes environ, et 6 pistes. Soit des pistes tout de même assez longues, dans les 6 minutes de moyenne.

Après une courte piste d’introduction qui fait penser à une comptine un peu sombre, on attaque le coeur de l’album. La deuxième piste, « Sin Dias » nous offre une mise en oreille classique pour le metal. La voix de la chanteuse donne un côté fantomatique à l’album.

Sur tout l’album, les chants sont soit dans la langue de Cervantes, soit dans la langue de Molière. Ça fait un peu bizarre au début, surtout quand on a l’habitude de la langue de Shakespeare, mais c’est vraiment efficace. On s’imagine en train de se promener dans une maison abandonnée, en espérant ne pas faire de mauvaises rencontres 🙂

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En vrac’ de fin de semaine

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Commençons par le logiciel libre.

Côté musique ?

Bon week-end.

« Elusive Reflections » de Persona : quand l’Afrique du Nord se met au metal, ça fait mal :)

Dans un article en vrac’ récent (du moins quand je rédige cet article le 17 février 2016), je parlais du premier album de groupe de metal alternatif tunisien Persona.

Je disais :

Si vous aimez le métal alternatif à chant clair féminin avec des rythmes nord-africain, alors laissez traîner une oreille du côté du groupe tunisien « Persona » et de leur album « Elusive Reflections ».

J’ai donc voulu vous parler un peu plus longuement de cet album. Inutile de préciser que je suis passé à la caisse, et que j’espère que les services postaux tunisiens et français sauront faire preuve de stakhanovisme 🙂

Comme vous pouvez le voir, l’album ne joue pas sur les pistes à rallonge, mais sur des titres assez courts, le plus long frôlant seulement les 6 minutes. Même si j’aime les tendances progressives dans le rock ou le metal, j’apprécie aussi les morceaux plus courts et qui vont droit au but. Encore plus s’il y a du chant clair féminin à la clé. Au total, l’album dure un peu plus de 46 minutes. Ce qui n’est pas si mal au final.

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En vrac’ culturel et mercurien.

Comme chaque mercredi – ou presque – un billet orienté culture.

Côté livre ?

Côté musique ?

Bon mercredi !

Concours « Wolves and Horses » : Suite et fin.

Le concours lancé le 8 février 2016 est donc terminé. J’ai eu 5 participations et seulement 2 validées. Ouille ! La première question a été la principale éliminatrice.

Commençons donc par les réponses.

Question 1 : « En quelle année Christian Saint-Viteux a-t-il lancé son projet « Wolves and Horses » ? »

La réponse était 2013. Et elle se trouve sur la page bandcamp du projet : « The project started at the end of 2013 » ce qui est traduisible par : « Le projet a démarré fin 2013 »

Question 2 : « Dans l’article que j’ai consacré aux deux albums du projet « Wolves and Horses », j’ai parlé du compositeur espagnol Roger Subirana. Comment s’appelle son premier album ? »

La bonne réponse est « L’indret Prohibit sorti en 2002, en bas de la page de la discographie.

Question 3 : « J’ai aussi parlé du compositeur grec Zero Project. Comment s’appelle le dernier album sorti par Zero Project ? »

C’est bien sûr « Metamorphosis » sorti en 2015.

J’ai donc procédé au tirage.

J’ai prévenu le gagnant – et le perdant – par courrier électronique. J’avoue que j’ai été surpris de voir que la première question serait à ce point « casse-gueule ». Ça arrive !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. La Saint Valentin pluvieuse me laisse un esprit chagrin. Avec un très court billet à la clé.

Pour le logiciel libre ?

Côté musique ?

Bon week-end malgré tout. Spécialement pour les célibataires qui échappe à cette fête commerciale… À leurs corps défendants ?

Concours « Wolves and Horses » : les deux albums à gagner.

Lorsque j’ai reçu le colis des albums que j’avais commandé auprès de Christian Saint-Viteux, j’ai eu la bonne surprise de recevoir un double exemplaire de chaque, avec un mot m’indiquant que le deuxième exemplaire des albums étaient destinés à un concours. Donc acte. Je m’en explique dans la vidéo ci-après.

Comme à chaque fois, le concours va se dérouler durant une semaine. La semaine du 8 au 14 février 2016, 23h59. Voici les questions auxquelles il faut répondre pour voir sa participation validée.

  1. En quelle année Christian Saint-Viteux a-t-il lancé son projet « Wolves and Horses » ?
  2. Dans l’article que j’ai consacré aux deux albums du projet « Wolves and Horses », j’ai parlé du compositeur espagnol Roger Subirana. Comment s’appelle son premier album ?
  3. J’ai aussi parlé du compositeur grec Zero Project. Comment s’appelle le dernier album sorti par Zero Project ?

Les questions sont assez faciles, mais il faut bien pour éviter trop de « casse » à l’arrivée. Pour participer, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous.

Concours terminé.

Bonne chance !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Rédigé en essayant de digérer les quelques crêpes qui restaient de la Chandeleur.

Pour le logiciel libre ?

Côté musique ?

  • Premier album hommage à David Bowie, mais attention, pas la pollution de trottoir comme le machin produit pour les 30 ans de la mort de Daniel Balavoine. C’est Amanda Palmer, Neil Gaiman et des amis qui s’y sont collés. Un hommage tout en corde. Jusqu’au 5 mars 2016, 46% des fonds récoltés iront à l’antenne de recherche contre le cancer du centre médical de Tufts.
  • Si vous aimez le post-rock bien sombre avec une ambiance « Dean Can Dancienne », alors les créations d’Anna von Hausswolf sont pour vous.
  • Si vous cherchez du plus léger, genre folk acoustique matinée de blues et un brin psychédélique, alors le premier album des Vaudeville Etiquette est pour vos. Il s’appelle « Debutantes & Dealers »

Bon week-end !

« Allegories » d’In Limbo : un LP concept et savoureux.

Quand une semaine devient musicale, il n’y a rien à faire, sinon s’en mettre plein les oreilles. In Limbo, groupe de rock progressif instrumental normand, a sorti le 3 février à prix libre son troisième LP, « Allegories », après « Interstice » en 2013 et « Somnebuleux » en 2008.

Pour ce nouveau LP, le groupe a développé le concept déjà titillé dans son précédent oups, « Impression in D », dont j’ai parlé en juin 2014.

En gros chaque piste met une note du solfège à l’honneur, avec un petit jeu de mots à la clé.

Même s’il y a une note qu’on peut qualifiée de « chouchoute » étant donné qu’elle a deux pistes qui lui sont dédiées, on retrouve ici la patte du groupe qui sent bon le rock progressif des années 1970. On ne peut pas nier le côté progressif de l’ensemble, chaque piste faisant entre 4 et 9 minutes pièce.

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