Donc Ubuntu fête ses 20 ans…

Et oui, déjà 20 ans. Je me souviens d’avoir été dubitatif quand j’avais jadis testé la Ubuntu 4.10. Ce qui m’avait gêné à l’époque, c’était l’absence d’accès direct au compte root. Oui, à cet époque, j’étais loin d’avoir compris l’intérêt d’un outil à la sudo / doas (pour les OpenBSDistes). Je n’avais que « peu de bouteille » dans le domaine des distributions GNU/Linux. J’avais bien tenté vers 1998 la RedHat Linux 5.0 – nom de code Hurricane si mes souvenirs sont bons ? – mais j’étais vite revenu à MS-Windows 98.

Ce n’est qu’en 2006 que je revenais avec Ubuntu et sa première version LTS, la 6.06 alias Dapper Drake. Oui, j’ai bien dit 06, car la première LTS avait subit du retard. Par la suite, Canonical n’a plus raté aucun mois d’avril des années paires pour sortir sa nouvelle Ubuntu LTS. La palanquée de versions tierces est arrivé au fil des années, les plus anciennes étant Kubuntu et Xubuntu.

Je dois avouer que sans la Ubuntu 6.06 et toutes les versions jusqu’à la 8.10 incluse, je n’aurais jamais franchi le pas du mono-démarrage Linuxien. Depuis, j’ai migré sur Archlinux qui correspond à mes besoins plus que ne saurait le faire Ubuntu. Mes besoins ont changé, mes connaissances se sont accumulées et je ne me sens vraiment bien qu’avec les distributions GNU/Linux même si je tâte du MS-Windows 10 ou 11 sur des ordinateurs tiers.

Malgré quelques défauts comme l’imposition des paquets snaps, cela reste une distribution idéale pour se dégrossir et passer vers des distributions mères comme la Debian GNU/Linux ou pour les plus intrépides vers Archlinux ou EndeavourOS.

Pour moi, Ubuntu reste une distribution pour les débutant(e)s et non pas pour les personnes ayant déjà plus d’expérience. Après, je peux concevoir que par fainéantise des linuxien(ne)s plus expérimenté(e)s restent sur la distribution de Canonical.

Tout dépend des besoins que l’on exprime. Même si je critique la dispersion que l’on peut avoir avec plusieurs dizaines de distributions à destination bureautique, Ubuntu restera une valeur sure. Dommage que Canonical multiplie les cavaliers seuls depuis des années : Mir pour remplacer Wayland, les snaps pour remplacer les flatpaks pour ne prendre que deux exemples.

Mais cela fait partie de l’ADN d’Ubuntu, on fait avec au final !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Du bon choix de son moteur de blog.

Ce blog existe depuis un peu plus de 19 ans, et il a toujours été motorisé par WordPress, au début en version 1.5. Les années sont passées, les versions aussi et au moment où je rédige ce billet, c’est la version 6.6.2 qui est utilisée. En attendant la version 6.7 😉

Cependant, cela n’a pas été toujours un fleuve tranquille. Durant sa période sur un hébergement free, j’avais du jongler à une époque (des 3.x si mes souvenirs sont bons) pour compenser une version vieillissante de php. Et pourtant, je n’ai jamais songé à changer de moteur.

Quand j’ai lancé le blog, j’avais le choix entre deux moteurs. Soit WordPress, soit Dotclear. Je ne me souviens plus pourquoi j’ai choisi WordPress. Faut dire que de se rappeler d’un tel choix, c’est difficile. Je sortais aussi d’une période où mon blog avait eu deux incarnations. Une en HTML pur et dur, et une autre sur Blogger.

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Vieux geek, épisode 359 : Doom64 pour la Nintendo 64, une version vraiment complète :)

Dans l’épisode 355 de la série vieux geeks, je parlais du port de Wolfenstein3D pour la Super Nintendo. Port que j’avais qualifié, je cite :

En tout cas, j’avais entendu dire que la version avait été censurée, mais à ce point, c’est du grand art.

En 1997, alors que la Nintendo 64 commence sa vie commerciale, un port du jeu Doom64 est proposé par Midway Games. Ici, point de censure : il y a du sang, des tripes, et c’est vraiment un public adulte auquel s’adresse ce jeu. Ce qui est normal. Le joueur (ou la joueuse) cible de Nintendo a connu la NES étant enfant, la SNES en tant qu’adolescent. Il était normal que la Nintendo 64 soit un peu plus adulte.

Le scénario ? Il prend la suite de Doom 2. Suite à un rapport du Doom Guy, les bases démoniaques installées sur Phobos et Deimos sont bombardées. Malheureusement, malgré les efforts déployées, les forces maléfiques ont trouvé le moyen de revenir incognito. De nouveau, le Doom Guy est envoyé sur les lunes de Mars pour régler une nouvelle fois leur compte aux forces maléfiques.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois d’octobre 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Dear Pariah a annoncé la sortie de son prochain EP, « The Weeper Takes » pour le 22 octobre.

Sur ce, bon week-end