Sid, c’est l’autre nom du dépot unstable de la DebianGnu/Linux. Après avoir récupéré l’image ISO de la version testing à l’adresse http://cdimage.debian.org/cdimage/weekly-builds/, j’ai lancé l’installation dans une machine virtuelle VirtualBox.
Et aimant à utiliser les ISO 64 bits, j’ai pris l’image « debian-testing-amd64-CD-1.iso ».
L’installateur graphique est toujours aussi pratique, soit dit en passant 🙂
La sortie de la version 11.10 de la distribution reine a été accompagnée de billets aussi bien positifs que négatifs.
D’ailleurs, il est étonnant de voir qu’aujourd’hui, sur distrowatch, pour la première fois depuis longtemps, ubuntu n’est plus n°1 en terme de pages vues quotidiennement… C’est sa dérivée, Linux Mint qui a pris le dessus, d’une courte tête.
C’est franchement anecdotique, mais c’est quand même intéressant à noter pour mémoire, car cela doit faire pas mal de mois voire d’années que la première marche du podium n’avait pas été modifiée.
Pour contourner ce problème, j’ai du récupérer – en recopiant le fichier dans /var/spool/lunar/ – le fichier libcap-2.22.tar.gz depuis le miroir irlandais du site kernel.org.
Ensuite, la compilation s’est déroulée sans encombre. Arrive le moment tant redouté, le noyau. Allez, un petit lin linux-2.6 et on attend en croisant les doigts 😀
Et comme pour libcap, obligé de récupérer le patch 2.6.39.4 avec wget… Grrr !
Ensuite, les ennuis continuent… Lilo refuse de m’installer le noyau 2.6.39.4 avec un message sybillin :
Fatal: Setup length exceeds 31 maximum ; kernel setup will overwrite boot loader
Seul le noyau 2.6.35.3 est listé… Le 2.6.39.4 est invisible. Grub2 ? La compilation plante 🙁
Quant à SysLinux, c’est pas mieux.
Y a pas à dire, je suis vraiment malchanceux avec les distributions sources… Au moins, pour une fois, le noyau se sera recompilé, mais je ne saurais jamais s’il était démarrable ou pas !
Dans le cadre de ce test, j’ai récupéré l’image ISO avec wget :
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://tx-us.lunar-linux.org/lunar/lunar-1.6.5-x86_64.iso.bz2
–2011-11-02 10:28:34– http://tx-us.lunar-linux.org/lunar/lunar-1.6.5-x86_64.iso.bz2
Résolution de tx-us.lunar-linux.org… 74.54.93.106
Connexion vers tx-us.lunar-linux.org|74.54.93.106|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 385595647 (368M) [text/plain]
Sauvegarde en : «lunar-1.6.5-x86_64.iso.bz2»
J’ai donc fait chauffé mon wget pour récupérer l’ISO depuis un des miroirs français d’OpenBSD.
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.fr.openbsd.org/pub/OpenBSD/5.0/amd64/install50.iso
–2011-11-01 09:05:47– http://ftp.fr.openbsd.org/pub/OpenBSD/5.0/amd64/install50.iso
Résolution de ftp.fr.openbsd.org… 145.238.209.46
Connexion vers ftp.fr.openbsd.org|145.238.209.46|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 244299776 (233M) [text/plain]
Sauvegarde en : «install50.iso»
Après l’installation qui propose désormais (je crois me souvenirs que c’est le cas depuis la version 4.9 ou la version 4.8 ?) de créer un utilisateur dès le départ, et cette fois il demande si on veut installer des firmwares non libre au premier démarrage.
Pour pouvoir installer les logiciels complémentaires, j’ai rajouter les lignes suivante au fichier .profile de l’utilisateur root :
Après une compilation de 45 minutes environ, X est compilé. Pour utiliser consolekit (composant indispensable pour gérer finement les outils par la suite), et pour contourner un bug, j’ai du utiliser ceci :
En cette journée du 31 octobre, j’ai voulu tester dans une machine virtuelle VirtualBox la distribution Funtoo, une soeur de la Gentoo. Comme VirtualBox me propose des environnement Gentoo et Gentoo 64 bits, je me suis dit : allons-y. Même si utiliser une distribution source dans un environnement virtualisé n’est pas le meilleur choix.
J’ai donc pris un environnement Gentoo 64 bits. J’ai utilisé l’ISO System-Rescue-CD pour avoir un environnement de démarrage. Cependant, et vu que c’est une distribution source pour la plus grosse partie, j’ai pris un gros disque dur virtuel, 64 GiO au lieu de l’habituel 32 GiO.
Après avoir démarré l’ISO, j’ai demandé le démarrage le plus léger possible, en 64 bits et en console.
Après avoir récupéré l’image ISO en utilisant le protocole BitTorrent (en bon tipiak selon les industries aux modèles économiques obsolètes).
Ayant eu un problème au moment du premier démarrage après l’installation de l’OS dans la machine virtuelle (un bug de la version de développement de qemu ?), j’ai du me replier sur VirtualBox, en créant une image Debian 64 bits, avec 2 GiO de mémoire dédiée et 32 GiO de disque virtuel.
Une fois lancé et chargé, on arrive dans un environnement assez aquatique. L’installateur nous propose de s’occuper tout seul du disque.
10 ans jour pour jour, Windows XP – et son interface « playskool » sortait, remplaçant un calamiteux Windows Millenium.
10 ans déjà. Mais souvenez-vous il y a 10 ans… Le haut de gamme ? Du Pentium 4 à 1,3 ou 1,4 ghz. 256 mo de mémoire vive ? 10 Go de disque ? Et la connexion ?
Les plus chanceux avaient une connexion en ADSL à 512 kb/s. C’est d’ailleurs début 2002 que j’ai eu cette vitesse incroyable à l’époque. La plupart des personnes n’avaient qu’une connexion en RTC à 56 Kb/s en vitesse de pointe.
A l’époque, l’ADSL est assez hors de prix (l’équivalent de 45 €, uniquement pour la connexion, pas de téléphone, ni encore moins de télévision). Les abonnements sont de 50 h à 100 h mensuelles. Autant dire qu’il fallait à l’époque surveiller son temps de connexion avec attention.
Seul Free proposait un accès libre – pas gratuit. AOL, Club-Internet, Liberty Surf existait encore…
Ah, ce vieux spot de 2000 pour Liberty Surf…
MS-Windows XP est tellement connu que son interface est classique. Mais à quoi ressemblait les grands noms des interfaces graphique du monde libre en 2001 ?
Dans le petit monde des BSDs libres, il y a mon « chouchou »OpenBSD, NetBSD (le passe partout), et le BSD pour utilisateurs « normaux », j’ai nommé FreeBSD. Ce dernier est à la base de PC-BSD, et de DesktopBSD. J’allais oublier le confidentiel et volant DragonflyBSD 🙂
Pour des raisons pratiques, j’ai utilisé VirtualBox. Qemu aurait fait tout aussi bien l’affaire, mais j’ai remarqué des lenteurs incroyables au niveau de la lecture / écriture des systèmes de fichiers.
L’installateur est en mode texte, en anglais, mais si on se donne la peine de lire la documentation, on peut s’en sortir sans trop de problèmes.
A noter que lors de l’installation, le partitionnement du disque est automatisé, et il est clairement indiqué qu’une couche de support 32 bits est installé. Couche qu’on peut désactiver si on le désire.