Un peu d’auto-promotion : « Trois femmes : Marie ».

Je n’aime pas vraiment faire ce genre de billets, mais il faut parfois y passer et essayer de vendre ses propres créations.

À la mi-juin 2017, j’ai publié via Amazon (en format électronique sans DRM) et au format papier, et uniquement au format électronique sur Atramenta, la première partie d’une trilogie qui me tient à cœur depuis… le milieu des années 1990 !

Ci dessous, le quatrième de couverture, qui est sûrement le texte le plus ennuyeux à écrire…

1968. Jean-Luc, 18 ans, se prépare tranquillement à passer son baccalauréat en écoutant les Beatles et leur Sergent’s Pepper. Il ne sait pas encore que sa vie va être marquée par une rencontre qui sentira bon les lacrymogènes et les pavés. Ce tome est le premier d’une trilogie en cours d’écriture.

Voila, c’est tout pour ce billet. Bonne journée !

« Au cœur des hommes » : merci le « hasard » :)

Il arrive qu’on tombe sur des pépites dans l’auto-édition. En creusant bien, cela arrive. Je suis tombé sur une pépite sans passer par un quelconque « lobby auto-proclamé de promotion de l’auto-édition » sur un quelconque réseau social. Et ça fait énormément plaisir 🙂

Je parle du – premier ? – roman de Patrick Valverde, intitulé « Au cœur des hommes ».

Je suis tombé dessus par hasard, quand il était en promotion gratuite. J’ai mis un peu de temps à le lire, étant donné qu’il est resté au moins deux semaines avant d’être ouvert sur ma vieille Kindle d’avant le premier modèle tactile.

Continuer la lecture de « « Au cœur des hommes » : merci le « hasard » 🙂 »

Mon dernier délire scriptural : « Domination ».

Voici donc le dernier délire scriptural en provenance de mes méninges. C’est après avoir vu en partie le film, que je ne qualifierai pas pure charité, « Jacky au royaume des filles » de Riad Sattouf que j’ai eu envie de reprendre l’idée d’une société matriarcal.

Une société où la domination sexuelle est exercée par les femmes, et non comme c’est encore trop souvent le cas, par les hommes, de manière caricaturale.

Après une écriture assez rapide – pour une fois les mots se sont jetés sur le clavier – et une correction qui n’a pas été trop horrible à faire, je vous propose le récit d’une vingtaine de pages, en accès libre.

Bonne lecture et merci par avance pour vos retours sur ce délire scriptural en attendant quelque chose de plus copieux dans les mois qui viennent 🙂

En vrac’ culturel

Un tout petit en vrac’ culturel en ce mardi.

  • Model Village, dont j’avais parlé en juin 2013, annonce la sortie de leur prochain opus pour janvier prochain. Encore une précommande à faire… C’est lassant 😉
  • Si vous aimez Amanda Palmer, n’hésitez pas à acheter son dernier opus « An evening with Neil Gaiman & Amanda Palmer ». Le bonus offert avec la version numérique est un concert de 2 heures… On voudrait plus souvent de tels bonus 🙂
  • Je viens de publier sur Atramenta un nouveau récit sous licence CC-BY-NC-ND, « Souvenirs d’un homme de l’art « . Attention, ce texte est assez dur et est réservé à un public averti. Critiques, commentaires et retours bienvenus 😉

C’est tout, c’est très court. Mais il faut dire que je prépare le tirage au sort du concours pour le CD de « Selene », que je ferais vers minuit / minuit cinq le 20 novembre.

Et que j’ai un ou deux articles plus « geek » sur le feu 😉

Quelques publications non bloguesques :)

En dehors de ce blog où j’écris plus ou moins régulièrement, j’écris aussi dans d’autres cadres.  Outre un projet ambitieux qui est en cours de finition, du moins en partie (un gros tiers), j’ai écrit un petit récit rapide, inspiré de ma série de billets « Vieux Geek« .

Il s’agit de « Mémoire d’un vieux Geek« , publié chez Atramenta, en lecture libre. Ce n’est pas de la super grande littérature, mais c’était une volonté de publier un texte volontairement pas trop technique. Vos retours seront les bienvenus.

Et si vous fouillez dans les magazines de votre libraire préféré, au rayon « micro-informatique », vous verrez que j’ai participé aux magazines Linux Identity Kit n°23 et Linux Identity Duo Pack n°23.

Ce n’est pas ma meilleure prose, mais mon but était de répondre à une demande qui m’avait été faite. Comme ce n’était pas un billet sponsorisé ou autre cochonceté de ce style, j’y ai répondu avec grand plaisir.

Que dire de plus ? Bonne lecture 🙂

« Les monades urbaines » : quand Robert Silverberg nous raconte un avenir vertical…

Je ne connaissais pas trop l’auteur Robert Silverberg. « Les Monades Urbaines » (sorti en 1971) nous amène dans un 24ième siècle où pour des raisons pratiques, les humains vivent dans des tours de 1000 étages de hauteur.

On y suit les histoires croisées d’un socio-computeur, d’un jeune couple, d’un historien, d’un musicien, d’un futur administrateur et d’un technicien.

Dans ce futur, la sexualité est libérée, l’intimité inexistante, et le « croissez et multipliez » est la règle. Une sorte de dictature du plaisir et de la sensualité.

C’est un court roman qui vaut largement le détour. D’ailleurs c’est le quatrième de couverture qui m’a attiré vers ce livre. De la science fiction dystopique comme seul les années 1970 pouvait en produire.