« Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », mon deuxième roman auto-édité disponible en version papier… Et bientôt en électronique.

Il y a 6 mois, je parlais de la publication en auto-édition de mon premier roman, « Arkaïa ». Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre, et en parallèle à mes publications en libre accès.

L’histoire pouvait être considérée comme terminée à la fin du roman déjà publié, et il n’était pas nécessaire de savoir que j’avais rédigé une suite. Avec les retours positifs, bien que peu nombreux, sur mon premier gros texte, j’ai pris mon courage à deux mains, et après 4 mois de relectures entrecoupées de pause (c’est long et laxatif de relire un texte), scrupuleusement vérifié l’orthographe et la grammaire, voici donc le tome 2 de mon récit de science-fiction dystopique.

La version électronique devrait être disponible d’ici début novembre 2014, avec le même principe : non aux DRMs. Je rajouterais les liens vers les versions électroniques dès sa disponibilité.

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Un petit peu d’auto-promotion : « Complètement Geeks ».

« Complètement Geeks » est un livre que j’ai rédigé à la demande et en collaboration avec l’éditeur français Larousse. Après avoir été contacté par leurs services – j’ignore toujours comment, et je ne le saurais sûrement jamais, pour un projet à la fois « geek » et vintage.

Derrière le terme geek, on peut mettre un peu de tout, mais le cadre était précis : les enfants des années 1970 à 1990, avec ce qui a marqué leurs enfances, aussi bien dans le cadre de l’informatique (domaine geek par excellence), mais aussi les vieux jeux (vidéos ou de société), et plein d’autres choses.

J’ai pris un certain plaisir à retrouver certains objets qui ont bercé mes jeunes années, et sûrement celle des enfants des années 1970 et 1980. L’ensemble fait un peu plus de 150 pages.

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L’industrie de l'(in)culture cinématographique, musicale et écrite est-elle « mentalement » bloquée en 1993 ?

Dans un article du webzine NextInpact, on peut lire les pleurnicheries des « ayant tous les droits », voulant la mise en place d’un système de radars automatiques contre les méchants internautes qui ne passe pas par la tristement comique offre légale.

Le morceau de choix est la phrase suivante sur la soi-disant offre légale (qui est risible au mieux) :

Conclusion : « l’argument de l’absence d’œuvre, leur diffusion à un rythme qui ne convient pas, c’est faux ! C’est de la démagogie. Il faut arriver à sanctionner le piratage qui est du vol ! (…) On n’arrivera pas à vendre des séries si on ne le combat pas. »

Outre le fait qu’une copie illicite n’est pas du vol, du moins au sens entendu par le Code Pénal – à moins que la copie d’un fichier qui le multiplie soit la même chose qu’une soustraction (faut-il redéfinir les mathématiques ?) – que dire de l’offre légale actuelle pour les oeuvres cinématographiques ?

Elle souffre d’une incongruité, la chronologie des médias, héritage des années avant l’arrivée du réseau des réseaux. Pour mémoire, la chronologie des médias, définie légalement depuis 1982 et adaptée pour les nouveaux moyens de diffusion en France, est la suivante pour un film.

  • Jour J + 4 mois : uniquement en salle, vous savez l’endroit qui empeste le beurre chaud et où le soda est roté bouche ouverte
  • Jour J + 4 mois et 1 jour : location et achat de DVD, Bluray et VOD sans abonnement
  • Jour J + 10 mois : passage sur les chaines cryptées partenaires du cinéma
  • Jour J + 1 an : passage sur les chaines payantes
  • Jour J + 22 mois : passage sur les chaines payantes ayant aidé à la coproduction du film
  • Jour J + 2 ans et demi : passage sur les chaines payantes
  • Jour J + 3 ans : passage sur les plateformes de VOD avec abonnements (Netflix et compagnie)
  • Jour J + 4 ans : passage sur les chaines non cryptées

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Mon premier roman en auto-édition : bilan rapide au bout de 6 mois.

Il y a 6 mois, je publiais en auto-édition via Atramenta mon premier roman, que ce soit au format papier ou électronique.

Au bout de 6 semaines, je faisais un premier bilan, histoire de voir comment mon roman qui n’avait eu aucune publicité mise à part le bouche à oreilles, un petit passage sur twitter et sur mon fil google+.

Ne pas avoir de compte chez le fesseur de caprin, ni ne faire aucune publicité dans la presse régionale n’a pas vraiment aidé.

Au bout de 6 mois, et alors que mon prochain roman écrit entre avril et août 2013, sur mon temps libre le soir, va sortir à la fin du mois d’octobre 2014, j’ai voulu faire un bilan de cette première expérience en auto-édition. Voici donc le total des ventes, auxquelles il faut rajouter 5 volumes au format papier achetés pour des personnes ne voulant pas payer sur internet.

atramenta-6mois28 ventes « officialisées » plus 5 en parallèle, soit 33 ventes sur 6 mois, sans aucune publicité tapageuse. C’est pas si mal que cela, non ?

Et le nouveau roman ? Il est en cours d’ultime relecture, la cinquième ou sixième (j’ai perdu le compte). Un travail des plus rébarbatifs qui existent. Seules informations disponibles pour le moment ? Il sera aussi gros que le premier livre, soit dans les 400 pages au format papier, et donc pas loin du double en électronique.

Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont eu la confiance d’acheter mon premier livre, en espérant que le second leur plaira tout autant.

En vrac’ rapide et culturel.

Oui, culturel en un seul tenant 😉

C’est tout pour aujourd’hui ! Bon dimanche !

« Scoumoune Niçoise », le sixième tome de Rossetti & MacLane… Du grand art :)

Aux alentours de la mi-septembre 2014, j’avais parlé de la saga policière de qualité (pas le machin répétitif et ennuyeux de Camilla Läckberg) de Jérôme Drumont, « Rossetti & MacLane ».

Le 23 septembre 2014, le tome 6, « Scoumoune Niçoise » est sortie chez Amazon.

Le titre est très bien choisi, car ce n’est pas une tuile, mais tout un toit de mas provençal qui s’abat sur le crâne de Gabriel Rossetti. Revenant d’une escapade avec son collègue l’avocat Robert Martinez, ils se font arrêtés par la douane volante pour un simple contrôle de routine… Tout sauf routinier… Ce n’est que le début des ennuis pour Gabriel qui va s’apercevoir que les emmerdements, ça vole bien en escadrille… Et qu’ils ont tendance à être communicatif.

C’est un excellent tome, où les rebondissements sont intéressants, et où l’auteur a su utiliser toute la grande famille des personnages construites dans les cinq précédents tomes.

Allez, le tome 7 pour le printemps prochain ? 🙂

En vrac’ rapide et culturel

Un petit billet pour relâcher la pression après quelques billets assez tendus 🙂

Tandis que j’écoute l’album « Immortal Memory » de Patrick Cassidy et Lisa Gerrard, voici quelques annonces en vrac’ culturelle 🙂

Voila, c’est tout pour ce petit en vrac’ culturel 🙂

Vendredi culturel, première partie. « Rossetti et MacLane » : une excellente série policière qu’on la lise dans l’ordre ou pas.

Jérome Dumont nous propose avec Rossetti et MacLane une série policière vraiment truculente. Même si je n’ai pas lu les 5 premiers tomes (le sixième sortant à l’automne 2014) de la saga dans l’ordre d’écriture… 🙁

J’ai lu les tomes dans cet ordre : 4, 2, 1, 3 et 5. J’avais parlé de l’excellent « Trois balles dans le buffet » en avril 2014.

Pour vous résumer rapidement la série des livres, voici la présentation rapide et sans révélations excessive que je peux faire de la série.

Le premier tome, « Jeux Dangereux » nous fait rencontrer deux personnes qui ne sont pas fait pour se rencontrer. Gabriel Rossetti, avocat niçois, et Amandine MacLane, épouse Deschamps, directrice de Stuff4Fun, une entreprise québécoise spécialisée dans le jeu vidéo qui soupçonne son mari d’être infidèle.

Entre Nice et Montréal, on va de rebondissements en rebondissements… Mais chut 🙂

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En vrac’ rapide culturel

Un petit billet en vrac’ consacré à la culture au sens large.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui, je vous laisse, j’ai « Les enfants d’Icare » d’Arthur C.Clarke qui m’appelle 😉

« Revers de fortunes » d’Antoni Lenormand… L’argent et le bonheur, est-ce compatible ?

J’avoue que je n’accroche pas facilement aux thrillers et aux policiers. Il y a trop de productions dans le domaine, ce qui le noie sous les pires nullités jamais proposées. Cependant, un article d’Agnès sur son blog parlant rapidement du livre a évéillé ma curiosité.

Cependant, le sujet du roman, un type un peu perdu, qui d’un seul coup décroche d’une manière peu conventielle le gros lot de la loterie nationale, et qui voit les revers s’accumuler est intéressante.

Surtout quand la faucheuse abat son instrument de travail à intervalles réguliers.

Un roman que j’ai dévoré en l’espace de quatre jours, ce qui est un exploit pour moi qui ne suit pas un fan du genre.

La fin est très surprenante, largement moins convenue qu’on pourrait le penser…

Un roman qui n’oublie pas les pointes d’humour noir, le cynisme, et les réflexions du personnage principal qui mériterait quelques baffes de temps à autres…