« Les nouveaux contes de Tonton Fred », ma dernière publication en date

Après 6 mois de travail entrecoupés de longues périodes sans inspiration, je propose à la vente mon deuxième recueil de contes, « Les nouveaux contes de Tonton Fred ».

C’est un court recueil d’une vingtaine de contes qui prend le relai des « Contes de Tonton Fred » que j’ai publié en 2020.

Je pense qu’il doit rester une ou deux coquilles, car j’avoue qu’à force de se relire, on finit par ne plus voir les erreurs qui devraient nous sauter aux yeux.

Aussi, je tiens à préciser que je me suis fait avoir par le gabaris d’Amazon, les polices étant un peu petites – mais pas illisible – dans la version papier.

Quoiqu’il en soit, j’espère que si vous achetez – sous sa forme électronique ou papier – le recueil, vous ne serez pas déçus.

Bonne découverte 🙂

« La maison du pasteur » de Christelle Morizé : quand le fantastique le dispute encore une fois au policier.

J’ai parlé dans un billet en vrac’ récent de deux livres électronique que j’avais acheté, à savoir « E16 » de Ravenna Warress que j’ai abandonné dans il est malheureusement tombé dans le piège du remplissage de pages et du tirage de ligne malgré un sujet intéressant au départ, et la dernière grosse nouvelle ou court roman (??) de Christelle Morizé, « La maison du pasteur ».

Ce n’est pas la première oeuvre de Christelle que j’ai l’occasion de lire. J’avais déjà dévoré son « Nuit Macabres » en avril 2016.

Pour « La Maison du Pasteur », Christelle a repris le même cocktail, mélangeant le policier et le fantastique. L’action se passe dans une petite ville perdue au fin fond des États-Unis. Le sheriff Steven Carter retrouve le corps d’un homme atrocement mutilé.

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Quelques conseils pratiques pour trouver des bons ouvrages dans le vaste monde ultra-concurrenciel de l’auto-édition.

Quand on a acheté une tablette dédiée ou non à la lecture, tout dépendant de votre définition du confort visuel, on a envie de la remplir à moindre frais. On peut se tourner vers l’auto-édition et son offre plus que pléthorique. Car les prix de l’édition classique, ça fait hurler le portefeuille de douleur.

Que ce soit sur le magasin Kindle d’Amazon ou encore celui de la Kobo, on est rapidement noyé par l’offre disponible.

Environ 300 000 nouveautés sur le dernier trimestre chez Amazon… Je n’ai trouvé aucune statistique précise dans ce domaine pour la kobo, je suis preneur si vous en avez 🙂

300000Comment tomber sur des livres intéressants dans cette foule sans cesse grandissante et où tous les coups sont permis pour se débarrasser de la concurrence ?

Voici quelques critères que j’applique pour limiter la casse. Liste parfois subjective, mais qui permet de faire du tri.

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« Le Dragon blanc – Les Enfants de Prométhée, Tome 1 » de Sophie Renaudin : de la fantasy pour se réconcilier avec la fantasy ?

S’il y a un genre que j’ai du mal à aborder, c’est bien la fantasy, et ses clichés : dragon, sorcier, chevalier et autre batailles rangées. Cependant, quand je suis tombé – via twitter ? – sur le premier tome de la mini-saga de fantasy de Sophie Renaudin, je me suis dit en lisant le quatrième de couverture, pourquoi ne pas se laisser tenter par l’extrait ? Ça n’engageait à rien !

Puis celui-ci m’ayant interpellé, j’ai décidé d’acheter le livre. On se retrouve dans le classique continent monté de toutes pièces. Mais au lieu d’avoir une ambiance médiévale, l’auteure nous propose un monde assez moderne : des planeurs, des métros, des dirigeables.

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Pour vouloir lire un classique de George Orwell, j’ai du devenir, à mon grand regret, un « tipiak »

L’approche de Noël m’a donné envie de vous raconter une mésaventure récente. J’ai eu envie de lire la « Ferme des Animaux » de George Orwell. La première étape, cela a été de tenter ma chance à ma bibliothèque municipale. Premier chou blanc : seul 1984 est disponible.

Je tente alors Amazon. Voulant limiter l’attente au maximum, et ayant une Kindle d’Amazon, je tente ma chance dans les livres électronique. Deuxième chou blanc. La seule réponse est une fiche de lecture… à 4 € !

D’ailleurs, comme la plupart des liseuses ont une boutique de livres électroniques dédiée, la démarche aurait la même avec une Kobo ou une Bookeen, modulo la boutique en question.

La seule réponse positive de la Fnac ? Une version au format Adobe DRM, donc en clair, vérouillée numériquement, et en anglais. J’arrive à lire l’anglais dans le texte, mais les DRMs ? Dans la cuvette et on tire la chasse. Plusieurs fois. C’est résistant ces sales bêtes.

D’ailleurs, concernant les menottes numériques sur les livres, de l’intégriste libriste Richard M. Stallman qui risque d’avoir vu juste, le texte « Le droit de lire« .

Et Google Books douche mes derniers espoirs : aucun livre numérique officiellement disponible !

Il ne me restait plus qu’une solution : passer dans le côté obscur de l’offre. Et j’ai pu trouvé un ePub que Calibre m’a converti.  Et devoir en arriver à l’utilisation de l’offre non légale, ça m’a franchement facilité le transit intestinal. Oui, j’avoue que je n’étais plus constipé par la suite 🙁

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Kindle ? L’outil qui m’a redonné envie de lire plus régulièrement

Cela fait moins d’une journée que j’ai la Kindle chez moi, et je dois dire que c’est le coup de coeur. J’avais déjà vu l’affichage en encre électronique sur des tablettes concurrentes, mais j’avoue que j’avais toujours voulu prendre une Kindle.

N’ayant pas besoin d’une tablette en version tactile, j’ai pris le modèle « classique » à 2 Go. Et j’avoue qu’après une prise en main un peu longue (la partie la plus longue étant la mise en route de la connexion wifi), ce n’est que du bonheur.

L’affichage est agréable, reposant, on peut lire une heure à la suite sur une kindle avec la même fatigue visuelle que sur un livre papier, mais il y a une différence de taille : le regard est concentré sur une seule page, ce qui permet une lecture plus « productive », car le regard n’a pas tendance à se déporter sur la page que l’on a pas encore lu.

Coté dimension, c’est un gros livre de poche. J’ai été surpris par son silence, sa légèreté et la qualité de l’affichage. C’est comme si un livre était défait page par page, puis inséré derrière l’écran de la tablette.

Cependant, tout n’est pas rose, et les principaux points noirs sont :

  • Le prix des livres électroniques… Pourquoi des livres à 15 – 18 € en version numérique (donc sans frais d’impressions, de stockages, de reliure) alors que la version physique est à 18 – 22 € ?
  • L’absence du support du format ePub, même si j’ai pu trouver un logiciel pour convertir les livres en format lisible par la kindle.

Points positifs ?

  • La capacités de stockage : j’ai une trentaine de livres au format numérique (merci les classiques à 0 €), et il me reste encore 1,3 Go sur les 2 de la tablette.
  • La récupération instantané des livres si on passe par la connexion wifi.
  • La kindle qui se comporte comme une « bête » clé USB quand on la connecte à son ordinateur, ce qui rend la Kindle compatible avec Linux, ce qui est pas si mal que cela.

Dès que les livres numériques ne seront plus à prix exorbitants (cela sent une entente entre les éditeurs pour ne pas baisser les prix, comme l’entente des 3 grands de la téléphonie mobile française à une époque), la Kindle sera un outil des plus répandus.