Depuis 16 ans sous Linux, j’ai du mal à utiliser MS-Windows.

Un des premier billets consacré à du mono-démarrage linuxien remonte à l’année 2006. Fin mai, où je publiais un article depuis une Ubuntu et après une expérience non concluente envers l’utilisation de l’OpenSuSE de l’époque en dur.

Bref, à un gros trimestre près au moment où je rédige cet article, cela fait 16 ans que je n’ai plus fait démarrer le moindre ordinateur type PC avec le MS-Windows correspondant. Sur le plan pratique, depuis septembre 2011, je n’ai plus toucher techniquement à un PC sous MS-Windows. Les quelques rares connaissances que j’ai sont désormais soit sous Mac, soit avec une distribution GNU/Linux installée par mes soins.

2011 ? À l’époque, MS-Windows 7 entame sa deuxième année commerciale, ignorant que sa durée de vie serait prolongée jusqu’à 2020 à cause des catastrophiques MS-Windows 8.x et leur ergonomie à la ramasse.

Quand j’ai besoin d’un MS-Windows, je prends 95% du temps un MS-Windows 7. Pas MS-Windows 10 ou 10.5 pardon, je voulais dire MS-Windows 11.

Pourquoi ? Moins lourd, moins d’options dans tous les sens. Pas de Cortana, pas de navigateur qui se résume à une surcouche maison à Chromium tout comme Brave, Opera, Vivaldi, bref, tout ce qui n’est pas Mozilla Firefox, ou des forks à la c.. comme PaleMoon ou encore Waterfox.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de janvier 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

Y a pas à dire, c’est du rapide la Final Cartridge III+ pour Commodore 64.

Depuis que j’ai reçu gracieusement un Commodore 64, je m’équipe petit à petit des composants indispensables pour le faire fonctionner. Que ce soit un bloc d’alimentation, un cable composite pour le brancher à un vieux téléviseur, une carte SD2IEC pour pouvoir lancer des jeux sur images de disquettes.

Il ne manquait plus qu’une cartouche de chargement rapide. Ayant été agréablement surpris par le sd2iec de Faszination, j’ai donc décidé de rester avec ce fournisseur et je me suis pris une version pré-montée (je suis nul à pleurer avec un fer à souder) d’un clone de la cartouche Final Cartridge III de 1987.

C’est un modèle dit « plus » qui outre le fait qu’elle propose un chargement accéléré, on peut geler les logiciels en cours d’exécution, avoir un moniteur système, et plein de bonnes choses que je découvrirai avec le temps.

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Rogue64, un excellent rogue-like pour Commodore 64.

J’ai déjà eu l’occasion d’en parler, j’adore les rogue-like, ces jeux inspirés par « Donjons et Dragons », où on doit descendre à tel sous-sol pour récupérer un trésor fabuleux.

J’avais parlé d’un rogue-like aussi bon que punitif, Shattered Pixel Dungeons, fin décembre 2021.

Il y avait un rogue-like dont j’attendais avec impatience la sortie, c’était Rogue64, la suite du minimaliste Rogue4k développé par Badger Punch.

Rogue64 est disponible au format numérique et pour les collectionneurs, il y a le format cartouche. Autant la version numérique à 4,99$ (soit 4,37€) ne me dérange pas, autant le prix de la cartouche est franchement plus douloureux. Il faut compter, hors frais de port, 35£ (soit 41,93€).

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« Tenebra », suite et fin.

Dans une billet du 14 janvier 2022, je revenais sur l’excellent casse-tête « Tenebra » sorti pour Commodore 64 et Plus/4 (sans oublier Vice).

Je m’étais lancé dans une quête assez simple dans le principe : montrer les solutions idéales pour les 25 niveaux peuplant le jeu.

Dans le précédent billet, j’avais terminé les 15 premiers niveaux. Dans le « en vrac’ de fin de semaine » du 15 janvier 2022, j’avais rajouté les niveaux 16 à 20.

Après une bonne prise de tête et un entrainement préalable à l’enregistrement, voici donc les 5 derniers niveaux, et vous verrez à quel point certains niveaux de fin sont quand même assez vicieux, spécialement le dernier avec ses deux wagonnets…

Je dois dire que j’apprécie vraiment ce genre de torture de méninges qui n’ont pas besoin de la dernière carte nVidia pour fonctionner. Ensuite, je peux très bien comprendre que certaines personnes préfèrent les bons vieux FPS.

Cela m’arrive aussi, mais quand je tombe sur un titre de cette qualité dans le monde de la rétro-informatique, je ne boude pas ma joie.