Les occasions manquées des distributions GNU/Linux.

Cyrille Borne, grand consommateur d’Orangina rouge à l’orange sanguine ou de Nutella (??), a déposé dans un commentaire sur un billet posté par Cep une vision assez sombre pour les distributions GNU/Linux. Voici la partie du commentaire en question qui parle justement de cet avenir.

Compte tenu du public qui va s’orienter dessus, je pense que les distributions grand public sont condamnées, on aura debian pour les gens comme moi, Arch pour les gens comme toi qui remplace Gentoo il y a quelques années, peut être une distribution grand public comme Ubuntu et encore. Moralité, Manjaro, trop petit, finira par crever. Les distributions en rolling release ça continuera à faire marrer les gens qui ont du temps à consacrer au paramétrage fin de la machine, jubiler d’avoir la dernière bibliothèque.

J’adore la pique sur les rolling releases, mais passons. Et je pense que Manjaro Linux a les reins plus solides que Cyrille ne l’estime.

Cependant, cela m’a fait penser à plusieurs occasions manquées plus ou moins récente dans le domaine des distributions GNU/Linux. Et précisément trois d’entre elles. Plus ou moins chronologiquement, Gobolinux, Frugalware Linux et la Linux Mint Debian Edition.

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Slackware Linux 14.1 beta : le retour de la vénérable ancêtre ? :)

Lisant distrowatch, j’ai eu le plaisir de tomber sur l’annonce de l’arrivée de la version béta de la Slackware Linux 14.1 beta. Comme quoi, distrowatch est utile par moment 😉

Parmi les morceaux de choix : noyau linux 3.10.12, lilo et grub2 en embuscade (dommage, j’aurais bien aimé grub2 par défaut), Mozilla Firefox et Mozilla Thunderbird 24, et la glibc 2.17.

J’ai donc récupéré une image ISO de développement pour tester cette distribution GNU/Linux qui existe depuis… 1993. Donc une des trois plus vieille avec Debian GNU/Linux (née en 1993) et Red Hat (née en 1994). Autant dire les vétérantes dans ce domaine hautement agité 😉

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://taper.alienbase.nl/mirrors/slackware/slackware64-current-iso/slackware64-current-install-dvd.iso
–2013-09-18 15:24:09– http://taper.alienbase.nl/mirrors/slackware/slackware64-current-iso/slackware64-current-install-dvd.iso
Résolution de taper.alienbase.nl (taper.alienbase.nl)… 98.158.153.254
Connexion vers taper.alienbase.nl (taper.alienbase.nl)|98.158.153.254|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 2443948032 (2,3G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : «slackware64-current-install-dvd.iso»

100%[====================================>] 2 443 948 032 1,75MB/s ds 24m 51s

2013-09-18 15:49:01 (1,56 MB/s) – «slackware64-current-install-dvd.iso» sauvegardé [2443948032/2443948032]

J’ai ensuite créé une machine virtuelle Qemu pour tester la Slackware Linux 14.1 beta.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom slackware64-current-install-dvd.iso -no-frame --boot order=cd &

Inutile de présenter ce bon vieux installateur texte qui existe à peu près depuis la première Slackware Linux, qui est teinté années 1980, mais qui est fonctionnel. C’est le principal, non ? 🙂

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Faut se méfier des annonces dithyrambiques… Spécialement dans le monde du logiciel libre.

J’ai toujours tendance à me méfier des annonces dithyrambiques, ce qui se définit comme, dixit la Neuvième édition du dictionnaire de l’Académie Française comme : « Qui marque de l’exagération, de l’excès dans l’éloge, dans l’enthousiasme. »

Et l’exemple parfait est l’annonce de sortie de la OS/4 OpenLinux 14… C’est du grand art, même Aragon qui encensait Staline n’aurait pas fait mieux.

Today we are announcing the new release of OS/4 OpenLinux 14. With this release we bring many new enhancements to the OS/4 line. OS/4 OpenLinux 14 is the result of a years worth of beta testing, kernel enhancements and has easily outnumbered the teams current record of 57 beta builds with 135 beta builds that we delivered to our beta testers. The results have been astounding.

Ce qu’on peut traduire par :

Aujourd’hui, nous annonçons la nouvelle version de OS/4 OpenLinux 14. Avec cette version, nous apportons de nombreuses améliorations à la lignée d’OS/4. OS / 4 OpenLinux 14 est le résultat d’un années de béta-tests, des améliorations du noyau et a largement dépassé le record précédent de 57 versions bêta intermédiaires proposée avec 135 versions bêtas que nous avons livré à nos bêta-testeurs. Les résultats ont été étonnants.

Déjà quand je lis de tels propos, j’ai tendance à levé un sourcil. Voir même les deux. Car ce que l’on a, au final, c’est une version personnalisée d’une Xubuntu 12.04 LTS, avec un noyau 3.5 (celui de la génération 12.10 d’Ubuntu, sauf erreur de ma part), Chromium, Claws Mail, et quelques outils du même tonneau. Et il est simple de vérifier la base utilisée : avec une image ISO, un crash arrive au démarrage. Et si on veut des informations, la version est clairement notée.

Mais le plus marrant, c’est l’annonce pour se dédouanner de toute volonté de copier / mimer un certain Amiga OS… Entre le logo qui ressemble étrangement à celui de la balle rebondissante de la démo de l’Amiga 1000 et la présence sur l’ISO de l’émulateur pour Commodore Amiga FS-UAE, cela apparait comme étrange…

Mais ne soyons pas mauvaise langue, et allons plus loin que le premier coup d’oeil.

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La deuxième génération de distributions GNU/Linux simplificatrice pour démocratiser le logiciel libre ?

Comme chaque année depuis au moins les années 2002 – 2003, on annonce l’arrivée de l’année où les distributions GNU/Linux renverseront la table. Et chaque année, les experts qui prédisent cela repartent « la queue entre les pattes ».

Il y a eu bien entendu des occasions manquées, comme avec MS Windows NT 6.0 plus connu sous le nom de Vista qui s’est résumé ainsi : sur 100 utilisateurs déçus, 90 sont retournés vers MS Windows XP, 9 sont allés voir chez la Pomme si l’herbe était plus verte, et le dernier est allé du côté des distributions GNU/Linux.

A l’époque, et depuis fin 2004, Ubuntu a été un grand pourvoyeur de nouveaux venus. Qui sont soit restés avec Ubuntu ou ont par la suite été voir ailleurs, que ce soit chez Red Hat via la Fedora Linux, Debian GNU/Linux, ou pour les plus branchés de masturbation intellectuelle vers ArchLinux ou encore Gentoo Linux.

Cependant, ce mouvement a été limité, car il faut le dire, même si Ubuntu est une très bonne distribution pour aborder le monde merveilleux du logiciel libre, elle n’est pas entièrement fonctionnelle « out-of-the-box ».

A cause des contre-productifs brevets logiciels sources de procès sans fins – dont les seuls bénéficiaires sont les patent-trolls et les avocats spécialisés – l’utilisateur est castré dans les possibilités qui s’ouvrent à lui.

En effet, et même si cela défrise les barbus, on ne vit pas dans un monde où les formats ouverts sont la norme. Il faut – et faudra encore durant quelques années – avoir la possibilité de faire lire par les logiciels audio ou vidéo des formats aussi ouverts que l’esprit d’un intégriste religieux : mp3 ou flash par exemple.

Or, certains utilisateurs seront frustrés de ne pas pouvoir lire leurs mp3 directement, et ils vireront ce « Linux de merde incapable de faire quoi que ce soit. »

Depuis deux ou trois ans, LinuxMint a commencé à prendre le relais, et une des ses forces, c’est de pouvoir être utilisable dès le départ. Mais ce n’est pas le seul avantage.

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Semplice 5 : pour les fans de Debian GNU/Linux aimant l’austérité et la simplicité ?

Ah, l’austérité et la simplicité… Deux termes souvent unis pour le meilleur et pour le pire. En décembre 2011, j’avais rédigé un article sur la Semplice 2.0rc1.

33 mois sont passés, et la version 5.0 de la Semplice est sortie en ce début septembre 2013.

Pour cette Debian GNU/Linux Sid (qui sert aussi de base à Ubuntu, à Siduction ou encore à aptosid), on trouve aussi Openbox 3.5.0, un noyau Linux 3.10.7, le dernier Chromium (coeur libre de Google Chrome), Exaile (pour la musique), Gnome Mplayer (pour les vidéos), ainsi que le duo Abiword et Gnumeric. On apprend aussi que l’ISO supporte les machines UEFI, et que des applications « Web 2.0 » sont disponibles pour accéder directement à Fesse-bouc, twitter ou encore youtube, via un outil du doux nom de oneslip.

J’ai donc récupéré l’ISO en 64 bits (comme d’habitude) et j’ai utilisé VirtualBox. J’espère simplement que l’installateur est moins catastrophique que pour la version 2.0.

Au premier démarrage, on peut choisir la langue à employer, avec le clavier et le fuseau horaire qui vont bien.

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Denix-OS : Une autre dérivée de la Fedora Linux… pour les fans de KDE SC.

Farfouillant la liste des distributions sur la liste d’attente de Distrowatch, j’ai décidé de voir ce que je pouvais trouver d’intéressant. Entre les distributions mortes, les sites qui répondent dans le vide, et celle qui ne sont qu’une ubuntu relookée, j’ai trouvé une distribution basée sur la Fedora Linux – et comme je suis dans ma période « distribution à base de RPMs » – j’ai décidé de vous présenter la Denix-OS.

Présentée dans la gazette n°461 Distrowatch Weekly du 18 juin 2012, elle est présentée comme une dérivée de la Fedora Linux, avec les dépots dont RPM Fusion activés, un support multimédia et une grande palette de programmes et d’applications.

Que du classique donc. Le point qui m’a interpelé, c’est que le nom de domaine « .vc » est celui de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, un archipel des Caraïbes au nord du Vénézuela, et le site est hégergé du coté de la… Lituanie 😉

Les commandes nslookup et whois sont nos amies dans ce cas 😉

Autant dire un sacré grand écart. Mais passons donc à la présentation proprement dite. C’est une Fedora Linux 19 avec KDE SC, et les logiciels tiers non libres du genre mp3 ou encore Adobe Flash. Mais lançons donc la distribution dans une machine virtuelle qemu.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom denix-19-x86_64.iso -no-frame -boot order=cd &

On ne peut choisir que l’installateur, pas de session live…

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Snowbird Linux : la LinuxMint basée sur Fedora Linux en devenir ?

Il y a un petit sport dans le domaine des distributions GNU/Linux, et spécialement de celle qui ne sont pas parties de la feuille blanche, c’est d’utiliser une base ubuntu (LTS ou pas). On peut y trouver le meilleur (Linux Mintou elementaryOS par exemple) comme le pire (du genre Australis LTS par exemple. Non, je ne ferais pas un jeu de mot phonétique même s’il me brule les doigts sur le clavier).

Donc, quand on peut mettre la souris sur une distribution dérivée qui n’utilise pas Ubuntu, on peut sabrer le champomy. Mis à part la Viperr et la Korora, c’est vraiment le désert. Et voici qu’est arrivé récemment la Snowbird Linux.

C’est une Fedora Linux avec Gnome 3 et avec une bonne logithèque dès le départ : codecs multimédia, flash préinstallé, LibreOffice 4.1, bref, une LinuxMint sauce Fedora si on peut prendre cette image.

J’ai récupéré la dernière image ISO, et j’ai utilise mon ami VirtualBox pour voir ce que la distribution a dans le ventre. Encore et toujours le thème d’icone Faenza…

Sans oublier un look à la Gnome 2 avec une barre inférieure ou encore un menu « Places », rajoutées via des extensions. On est fan ou pas. Et la présence du client TeamViewer qui se lance dès le démarrage.

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PearOS 8 beta 1 : le fruit est-il moins vert ?

Je n’ai jamais eu beaucoup de chance avec cette dérivée Ubuntu qui reprend l’ergonomie et l’interface du MacOS-X d’Apple.

La dernière fois que j’en ai parlé en détail, ce fut pour la version 6… Dont le résultat ne fut pas des plus convaincant. Pour des raisons purement technique. Cependant, 9 mois sont passés. Donc, essayons de nouveau ce clone de MacOS-X basé sur Ubuntu.

Avec l’annonce de la version 8 beta1
, on apprend l’arrivée de :

  1. My Pear 6 qui fait penser à un gnome-tweak-tool revampé.
  2. Clean My Pear 2 qui fait penser à un Ccleaner ou bleach bit revampé lui aussi
  3. Pear Cloud ?!
  4. Pear PPA Manager 3 : pour gérer les PPAs ? Houla !
  5. Pear Security : tiens donc, comme c’est étrange 😉
  6. Pear Contacts : le carnet d’adresse sauce PearOS ?
  7. My Theater : une espèce de surcouche graphique à VLC écrite en Gambas
  8. Pear System Info : ??

La base est une Ubuntu Raring Ringtail alias Ubuntu 13.04. A noter l’absence sur l’ISO béta de LibreOffice. J’ai donc récupéré l’ISO, et j’ai créé une machine virtuelle pour lancer l’ensemble.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom pearos8-beta1-64.iso -boot order=cd &

Et la première question qui me vient lors de l’installation est la suivante : pourquoi PearOS est plus gourmande en espace disque en ne proposant pas LibreOffice ? En effet, PearOS demande 5,9 Go à l’installation contre seulement 5,4 Go pour Ubuntu 13.04, preuve en image.

Pour info, le coeur de LibreOffice, libreoffice-common est un paquet assez lourd. Sur Archlinux, on est dans les 260 Mo environ :

[fred@fredo-arch ~]$ pacman -Qi libreoffice-common | grep Version
Version : 4.1.1-1
[fred@fredo-arch ~]$ pacman -Qi libreoffice-common | grep Taille
Taille installé : 259830,00 KiB

Donc, il ne serait pas étonnant d’avoir dans les 250 à 300 Mo pris par LibreOffice. Comment justifier 500 Mo de différence à l’installation sans LibreOffice ?

J’avoue que je suis curieux d’avoir la réponse. Mais passons ce détail, et laissons l’installation se terminer. Etant donné que c’est l’installateur classique proposé par Ubuntu, inutile de s’apesantir dessus.

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Xfce, maltraité pour mieux attirer les utilisateurs de Microsoft Windows ?

J’ai noté une tendance dans les distributions GNU/Linux : la maltraitance de l’apparence de base de Xfce. Par défaut, Xfce se présente ainsi : Une barre supérieure avec un menu déroulant, un espace de gestion des taches, puis le nom d’utilisateur et quelques icones du genre gestion réseau ou audio ou météo.

En bas, on trouve un lanceur avec les principales fonctionnalités : navigateur internet, courrier électronique, gestionnaire de fichiers, ou encore recherche en ligne. Bref, un schéma général qui rappelle celui de MacOS-X d’Apple.

Mais cette apparence si spécifique est des plus maltraitée si on se limite au top 10 à 6 mois des statistiques de visites ou de curiosité de Distrowatch. Pour mémoire, voici à quoi il ressemble fin août 2013.

  1. Linux Mint
  2. Ubuntu
  3. Debian GNU/Linux
  4. Mageia
  5. Fedora Linux
  6. OpenSuSE Linux
  7. PCLinuxOS
  8. Manjaro Linux
  9. ArchLinux
  10. Puppy Linux

Pour faire un bilan de cette maltraitance, j’ai pris les versions Xfce (et donc Xubuntu en lieu et place d’Ubuntu) pour voir quelles distributions respectent l’apparence générale de Xfce et lesquelles la modifie.

Dans la liste, je n’ai pas trouvé de version native avec Xfce pour PCLinuxOS. Idem pour la Puppy Linux. A moins que j’ai mal cherché ? Donc, sur les huit restantes, combien vont respecter l’interface « officielle » de Xfce ?

Mais trève de bavardages, jettons un oeil au « massacre ».

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Manjaro Linux 0.8.7 : l’Ubuntu d’Archlinux continue son bonhomme de chemin.

J’ai pu lire ce matin l’annonce de la sortie de la Manjaro Linux 0.8.7 sur le forum francophone de la Manjaro Linux. J’ai donc eu envie de récupérer l’ISO de la 0.8.7 pour faire le point sur l' »Ubuntu » de l’ArchLinux. Par « Ubuntu », je veux dire : dérivée simplificatrice et compatible avec des utilisateurs qui sont effrayés par l’installation mécano classique.

Après avoir récupéré l’ISO avec Xfce en 64 bits, j’ai utilisé Qemu pour l’ensemble.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom manjaro-xfce-0.8.7-x86_64.iso -no-frame -boot order=cd &

Au premier démarrage, un écran comme celui de la LinuxMint nous accueille. On peut lancer l’installation en mode graphique, ou en mode ligne de commande (pour des options comme le support de l’UEFI par exemple). J’ai préféré prendre l’installateur graphique, pour le tester.

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