Le concours a pris fin il y a quelques heures, et donc, ce matin, j’ai enregistré deux vidéos, l’une contenant les réponses en images, l’autre étant celle du tirage au sort.
Désolé pour le coté un peu moche des vidéos, la webcam de l’ordinateur portable que j’utilise n’est pas extraordinaire, surtout vu la qualité de la luminosité aujourd’hui.
Et le tirage au sort, je me suis fait mal au coude à secouer le sac contenant les noms des gagnants.
Voila, et encore merci aux personnes qui ont participées !
Et finalement, pour remercier le financement qui a dépassé ses attentes, Josh Woodward a offert 2 CDs à chaque demande de support physique. Et comme ses autres créations, le CD est sous licence Creative Commons CC-BY.
L’album commence en fanfare avec « I Will Not Let You Let Me Down », très rythmé, très entraînant. L’album propose plusieurs ballades acoustique comme « Hollow Grove », « Lafayette », mais aussi des titres plus rock, comme « Invisible light » par exemple. Il y a des morceaux qui font penser à des contes chantés, comme « Crazy Glue » ou encore « Little Tomcat ».
C’est un très bon album, à l’image de « The Simple Life ». Très varié, il va des morceaux assez pop-rock à des morceaux plus folk dans leur composition.
Donc, il me reste un CD sous cellophane. Comment l’offrir au mieux ? Un concours m’est donc venu à l’esprit.
Il est ouvert pour une semaine. Voici les questions auxquelles répondre. Il suffit de cliquer sur « Concours Josh Woodward ». Toute réponse postée dans les commentaires sera effacée et considérée comme non avenue 😉
Comment s’appelle le premier album de Josh Woodward ?
Il y a un artiste d’origine espagnole et compositeur de musique électronique dont je suis fan. Quel est son nom ?
Ce groupe néerlandais est spécialiste de morceau de folk intimiste. Est-ce « The Black Atlantic » ou « The Black Pacific » ?
« Breathe » est un des titres les plus connus de ce groupe formé sur internet. Mais comment s’appelle ce groupe ?
Strange Zero et Zéro Project sont originaire du même pays. Lequel ?
Voila. Je tirerais au sort parmi les bonnes réponses la personne qui gagnera l’album. Et je contacterais la personne gagnante directement par courrier électronique.
Modification au 28 août : le concours est terminé.
Ce matin, après avoir acheté un album conseillé par Toine du site @diffuser.net, j’ai voulu voir sur les 199 artistes / groupes de ma musicothèque la proportion d’artistes produisant des albums sous licences Art Libre et Creatives Commons.
Voici donc la liste alphabétique que j’ai pu tracer. J’ai essayé de mettre un lien pour chaque ligne. Et de nombreux genres sont représentés. La liste est assez longue, et j’espère ne pas en avoir trop oublié… 🙂
La Manjaro Linux, distribution dérivée d’Archlinux propose une version de test en béta interne, avec des versions Gnome 3/Cinnamon, KDE et Xfce, 32 et 64 bits. Et je peux vous dire après quelques tests préliminaires que c’est de la bonne 🙂
Mandriva, chronique d’un fiasco annoncé ? En tout cas la feuille de route prévisionnelle pour sortir leur version communautaire (en déféquant à la face de Mageïa, la vraie Mandriva communautaire) semble avoir du plomb dans l’aile… Aucune des deux premières versions alpha, promises pour les 27 juillet et 10 août n’est sortie…
Joyeux anniversaire, Debian GNU/Linux. Et, oui, déjà 19 ans ! Comme le temps passe vite 😉
Enfin reçu, je l’ai enfin reçu ! Depuis l’annonce l’année dernière de la sortie d’un nouvel opus studio, 16 ans après le très bon et influencé world music « Spirit Chaser », Dead Can Dance avec Anastasis revient à ses amours d’avant Spiritchaser.
Avec « Children of the sun », Brendan Perry nous offre un titre profond, chaud avec l’utilisation de cuivre – étrange pour le groupe. Lisa Gerrard nous la joue encore spirituel avec le très bon et très doux « Anabasis », sans tomber dans les excès de ses albums solos qui sont parfois un peu « lourd ».
« Agape » est le troisième titre de l’album. Ici, les influences orientales sont prononcées. Et sur certains plans, on pourrait se demander si ce titre n’aurait pas pu être présent sur l’album « Toward The Within ». Et encore une fois, Lisa Gerrard met sa voix au profit d’une piste excellente.
« Amnesia », le premier titre extrait pour la diffusion en radio est plus abordable, avec des sons plus « écoutables » par le grand public. L’intro en corde piquée est accompagné par un Brendan Perry plus « léger » que d’habitude. C’est une très belle balade.
« Kiko » est l’un des titre auxquel j’accroche le moins. Lisa Gerrard est toujours aussi puissante dans son interprétation, mais cela me fait un peu penser à une réorchestration en plus lent d’une partie du très bon « The Lotus Eaters », et il se perd un peu en longueur 🙁
« Opium » est une ballade de Brendan Perry, assez rythmé (sans pour autant tomber dans l’excès). « Return of the She-King » commence par une ambiance assez écossaise (on a l’impression d’entendre des cornemuses). Lisa Gerrard nous montre encore ses prouesses vocales en glossolalie, avec un titre plaisant, se perdant moins en longueur que son titre « Kiko ». Et sur cette piste, le duo se reforme sur le plan chant, on se demandait quand le duo serait ensemble sur un titre 🙂
Et que dire de la ballade de fin, « All in good time » où Brendan Perry nous enchante.
Cet album est vraiment une renaissance, même s’il aurait pu sortir entre le mythique « Into The Labyrinth » et « Spiritchaser. »
Sur Bandcamp, où l’on trouve le meilleur comme le pire sur le plan musical, à vue de nez 90% c’est du « Tous droits réservés » classique. Cependant, voici quelques artistes / groupes proposant une partie ou la totalité de leurs créations sous license Creative Commons.
Liste non-exhaustive, bien entendu. J’ai juste ouvert mes marques-pages signets et jeté un oeil sur les droits de publication. Il y en a pour tous les goûts côté genre musicaux, je liste juste, à vous de choisir et de découvrir !
Et n’oubliez pas, il n’y a pas que le boeuf bourguignon avarié (réhabilitons la daube !) cuisiné à longueur d’années par les maisons de galettes plastifiée.
Un jour sur google+, vous savez le réseau qui est une ville fantome, que JB Sauvage, alias Chatinux me parle d’un duo d’électro-pop à tendance « gitane » (difficile de traduire le terme « Gypsy » autrement) et mâtiné de trip-hop.
J’avais d’abord découvert l’album « Glo » (publié sous licence CC-BY-NC-SA) – et qui orne ma CD-thèque désormais, et j’ai eu le coup de coeur pour cette musique électronique aux rythmes d’Europe Orientale.
Et puis, j’ai voulu écouter – au grand malheure de ma carte bleue – le dernier opus en date, « Pulse of the Earth« . Et dès la fin de la première piste, j’achetais le coffret en version digipack.
NB : désolé pour la qualité pourrie de certaines photos, la luminosité n’est pas extraordinaire en ce moment 🙁
L’album est du pur sucre, spécialement les morceaux « Pulse of the Earth », « Balloon Girl », « Hill » ou encore « Simone ». Et cerise sur le gâteau, c’est publié sous licence CC-BY-SA…
En 1992, Ron Fricke sort un documentaire de 96 minutes, intitulé « Baraka ». Documentaire sans le moindre commentaire, il nous permet de faire un tour de la planète de manière étrange.
Des beautés de la nature (les chutes d’Ignaçu à l’Ayers Rock, mont sacré des Aborigènes, en passant par les volcans hawaïens), des plus majestueux édifices créés par l’humain (Angkor Vat, la pyramide de Khéops entre autre) aux plus macabres (le camp d’Auschwitz au musée de Tuol Sleng sur le génocide cambodgien sous le régime de Pol Pot), du silence pesant des lieux de triste mémoire au silence rempli de sens des édifices religieux.
On passe aussi des populations les plus « primitives » à nos sociétés modernes. Un passage qui m’a vraiment marqué, c’est l’entralecement d’images de la vie de la fourmilière humaine qu’est Tokyo avec celle d’une usine d’élèvage de poulets en batterie. Parallèle frappant…
Un des morceaux les plus marquant est celui qui est sonorisé par « Host of the Seraphim » de Dead Can Dance.
Et dire que ce film documentaire est sorti il y a 20 ans… Qui a dit que le monde change ?
Il me vient à l’esprit une citation attribué à la sagesse populaire amérindienne : « Lorsque le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors tu découvriras que l’argent ne se mange pas »
J’ai découvert il y a quelques mois le duo folk britannique Josienne Clarke et Ben Walker. Le 21 juillet dernier est sorti leur dernier EP, « Homemade Heartache EP« . Il est disponible à 4 £ (5,11 €) en version numérique et 5 £ (6,38 €) en version physique.
Je l’avais précommandé en version physique, et je l’ai reçu ce matin dans ma boite aux lettres. Le premier titre « Just travelling » a de fortes influences « country » américaine, qui démarre l’EP en force.
La deuxième piste « Forever and More » est plus classique, plus ballade folk. Un petit fond de violon berce l’oreille, et permet une respiration.
La troisième piste, éponyme, nous plonge dans une atmosphère plus triste, plus mélancolique, cotonneuse, planante.
L’ultime titre « Every Tear Means Change » conclue l’album en beauté. Pour la petite note « geek », l’album est sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND.
Ce groupe mélange le rock progressif de King Crimson, de Yes, Jethro Tull et – appréciation personnelle – d’Emerson, Lake and Palmer de l’époque de Tarkus.
Le troisième « Disciplining the Reserve Army » reprend les influences du groupe. Le titre de près de 8 minutes est très acoustique, mais ne cache pas des influences du rock progressif du début des années 1970, avec des changements de rythme, des arrangements imprévus qui s’intègre très bien au titre.
Le titre suivant « Reggae » a une ambiance plus froide, plus dure, limite militaire avec une batterie rythmée comme une marche au pas. Titre instrumental un peu étrange.
L’album se termine par deux reprise du titre « Fire », la première faisant penser à « No Quarter » des Led Zeppelin. La seconde cependant m’a laissé sur ma faim. J’avoue que j’avais été intrigué par le premier titre qui avait accroché mon oreille, et j’avoue que la troisième piste a emporté ma décision de me procurer l’album. Très bon soit dit en passant !