En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier vendredi de février 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Du spécial trouvé chez Stéphane Gallay. Prenez une dose de rock progressif à la King Crimson, une dose de metal progressif, secouez le tout et vous aurez « Heal the Unhealed » de Seventh Station.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’octobre 2022.

  • Dans la série « je me base sur Archlinux pour pondre une sombre daube », je demande la CachyOS, une base Archlinux avec KDE et 9 autres environnements de bureau.
  • Prenez une base Debian (ou Devuan ?), rajoutez-lui Lxde, secouez le tout et vous obtiendrez l’espagnole Loc-OS. Locos, ça veut dire fous en espagnol, non ?
  • Haplo a sorti fin septembre – début octobre la version de démo de Tenebra 2, suite de l’excellent Tenebra, pour les ordinateurs C64 et Plus4 sans oublier les émulateurs 🙂

Côté culture ?

Collapse, groupe grenoblois de post-rock, annonce la sortie de son 4e album, « Ἀνάγκη » pour le 4 novembre. En attendant, un premier extrait est disponible sur leur page youtube.

Ajout au 7 octobre : l’album « Ἀνάγκη » est disponible en pré-commande.

Pour finir ce billet, le longplay quasi-complet de la démo de Tenebra 2 auquel ne manque que le 9e niveau. Bon visionnage.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième samedi de juillet 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une petite gâterie, un épisode des pitreries du libre pas piqué des hannetons.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce chaud mercredi de juin 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Rien 🙁

Pour finir, une petite vidéo concernant Brain Break, avec la solution des 4 premiers niveaux. Ça monte rapidement en difficulté…

Autre vidéo, celle montrant les solutions des niveaux 26 à 28 du jeu « Tenebra Extended ».

C’est tout pour cette fois.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Après l’Amstrad CPC, au tour du Commodore 64 de profiter d’un port de « Puzzle Bobble ».

Dans un article d’octobre 2021, je disais tout le bien que je pensais des diverses scènes rétroludiques. Dans la vidéo illustrant l’article, il y avait un port de Puzzle Bobble pour l’Amstrad CPC.

Quelques mois sont passés, et c’est au tour du Commodore 64 de connaitre un port de ce jeu sorti en 1994, et qui est un de mes préférés de l’univers de « Bubble Bobble », avec « Bubble Bobble » en premier, « Puzzle Bobble » en deuxième et « Rainbow Islands » en troisième.

On peut télécharger soit une image disquette, soit une image cartouche du port du jeu. Il est de haut vol, et je dois dire que le jeu rend hommage au Commodore 64 en lui sortant les tripes par endroit.

Continuer la lecture de « Après l’Amstrad CPC, au tour du Commodore 64 de profiter d’un port de « Puzzle Bobble ». »

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en cette fin du mois de janvier 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Alwaid, groupe de metal progressif français est dans la dernière ligne pour le financement participatif de son troisième album sur Ulule. Le financement s’arrêtera le 29 janvier 2022.

Sur ce, bon dimanche !

Vieux Geek, épisode 226 : Bloodwych, un premier Dungeon Master pour ordinateurs 8 et 16 bits…

Avoir un jeu à la Dungeon Master, c’est un grand avantage pour un OS ou pour une marque d’ordinateurs précis. S’il a fallu attendre 2018 pour voir arriver l’excellent « The Shadow of Sergoth », ce n’était cependant pas la première tentative de proposer un clone de Dungeon Master sur Amstrad CPC et aussi sur C64 et même ZX Spectrum !

En 1989, Bloodwych sort. Développé par Image Works, il est disponible pour Amiga, Atari ST, MS-DOS, Amstrad CPC et C64. C’est la version CPC que j’ai connu. On peut y jouer seul ou à deux indépendamment. On dirige une équipe de 4 personnages à choisir dans les 4 couleurs du jeu de cartes : Pique pour les combattants, carreaux pour les assassins, trèfle pour les magiciens, et coeur pour les aventuriers.

L’histoire ? On est le champion de Trazere qui doit recruter trois autres champions pour s’enfoncer dans le donjon labyrinthique de Zendick pour lui régler son compte. Du grand classique donc.

Le jeu est très complet, on a droit à une trentaine de sorts pour les personnages, on peut faire dormir les personnages, jouer la diplomatie, et plein d’autres choses. Complet et complexe je dirais. J’ai donc fait un aperçu rapide de ce jeu en version Amstrad CPC et C64, trouvant cette dernière un peu plus fine graphiquement parlant.

Il y a bien entendu des défauts : on sent que le jeu a été développé pour la souris et au clavier, c’est une galère sans nom à gérer. C’est assez beau pour du 8 bits, même si je trouve les graphismes de l’Amstrad CPC un peu trop carré. L’excellent « The Shadows of Sergoth », bien que mono-joueur s’en tire mieux ici.

Je n’ai pas accroché à Bloodwych, mais il n’est pas impossible que ce soit lié au fait que je ne suis pas un super fan des jeux de rôles compliqués 🙂

Double Sided Games, un nom à suivre pour le rétro-ludique ?

Je dois l’avouer, je n’aime pas les jeux modernes, ceux qui vous en foutent plein les yeux à grand coups d’images superbes au détriment de la jouabilité et de la durée de vie. Je préfère largement des jeux plus modestes, souvent proposés par des petits studios voire des petites équipes – comme Planet X3 – ou encore les jeux qui sortent sur des plateformes abandonnées comme les Amiga, les Amstrad CPC ou encore le C64.

Pour cette machine, je dois dire que j’ai été agréablement surpris par les réalisations du studio canadien Double Sided Games. Spécialisé dans les Commodore Vic20, C64 et Amiga, ils ont sortis des petits bijoux qui parfois ne payent pas de mine.

Le port de « L’abbaye des morts » est un bijou, aussi bien sur le plan graphique que sur le plan de la durée de vie. Il est librement téléchargeable.

Mais ils ont aussi sorti un petit clone de Candy Crush Saga, « Vegetables Deluxe » qui s’il ne paye pas de mine est fortement addictif. Il est aussi librement téléchargeable. Une petite vidéo de présentation suit ci-après.

Mais le studio ne s’arrête pas là. Il y a un projet qui m’a parlé quand je l’ai vu, c’est le port de l’excellent « The Shadows of Sergoth » sur Amiga. Apparemment, il faudra 1 Mo de mémoire pour le faire tourner.

Sa sortie est prévue actuellement pour le troisième trimestre 2020. Il y a de fortes chances que je me laisse tenter par la version numérique du jeu quand il sortira. Rien que la vidéo sur la page de présentation, ça fait envie !

Si vous aimez les jeux récents sur des vieux bousins abandonnés, suivez de près ce studio !

Vieux Geek, épisode 221 : Frodo, l’honorable ancêtre de l’émulation pour Commodore 64.

Dans le monde de l’émulation pour le mythique Commodore 64, il y a un roi, c’est Vice. Il est très difficile de le détrôner, tant la qualité de son émulation est incroyable. Mais le nombre d’options est aussi un peu étouffant au départ 🙂

Cependant, à la fin des années 1990 jusqu’au début des années 2000, le roi portait un autre nom. C’était Frodo. Aucun rapport avec un personnage sorti de l’imagination de JRR Tolkien. Non, c’était bien un émulateur multiplateforme pour Commodore 64.

Se concentrant uniquement sur C64, on pouvait le trouver sous Amiga, MS-Windows, Linux, BeOS, RiscOS, MacOS (avant MacOS-X), etc… Autant dire que c’était assez répandu. L’émulation était de qualité, mais attention, il ne fallait pas redimensionner la fenêtre d’affichage sous peine de voir les performances s’écrouler.

Mais le plus simple est de le montrer en action.

Vous avez pu le voir, mis à part le fait que je me suis planté pour lancer « The Great Giana Sisters », cet émulateur avait tout pour régner en maître durant encore longtemps. Mais la réécriture en utilisant la bibliothèque SDL, la concurrence avec d’autres projets du même développeur, font que le code n’a plus bougé depuis une petite éternité… Une dizaine d’années environ au moment où je rédige cet article, en juillet 2020.

Vieux Geek, épisode 220 : The Great Giana Sisters, le clone de Super Mario Bros sur C64 !

Il y a une règle non écrite dans le monde du jeu vidéo : dès qu’un titre a du succès, il est cloné jusqu’à la nausée. La plupart du temps, c’est le fondateur d’un genre, comme Doom, Space Invaders, PacMan, Dune II puis Starcraft (pour les RTS), et je pourrais continuer la liste assez longtemps.

Certaines entreprises voient en cela un hommage, d’autres une violation de leur propriété intellectuelle, surtout quand les ressemblances sont un peu trop évidentes.

Il y a un cas célèbre que j’ai envie d’évoquer rapidement dans cet article, c’est celui du jeu « The Great Giana Sisters » sorti sur C64 et développé par Rainbow Arts, à qui l’on droit la série Turrican entre autres.

S’il y a un jeu de plateformes dont tout le monde connait le premier niveau, c’est bien Super Mario Bros sorti sur NES en 1985. C’est devenu au fil du temps une référence en terme de concepts de jeu de plate-formes. Cependant, Nintendo veillant jalousement sur ces jeux refusent un quelconque port.

Cela n’empêcha pas les allemands de Rainbow Arts de n’en faire qu’à leurs têtes, et de sortir en 1987 un clone assez poussé aussi bien sur le plan jouabilité que graphique de Super Mario Bros. Les héros sont deux frères ? On va prendre deux soeurs. À la place du champignon qui donne des pouvoirs, ce sera une balle magique. Sans oublier une publicité qui vise directement le jeu de Nintendo avec un petit « The brothers are history ».

Mais le plus simple est de vous montrer le jeu en action.

Vous l’avez vu, on est très proche du jeu d’origine. Nintendo tapa du poing sur la table et le jeu à peine sorti fut enlevé des rayonnages. Un port pour ZX Spectrum était presque prêt, il ne verra jamais la lumière du jour. Il paraîtrait qu’il existe des ports pour Amstrad CPC et Amiga entre autres, mais je ne les ai pas vus.

Le jeu est d’un bon niveau de difficulté. Je vous le conseille si vous ne le connaissez pas !