« Le dragon et la princesse » : c’est officiellement sorti :)

J’avais déjà rapidement parlé de ce livre il y a quelques mois alors que j’avais une version finale à 99%, environ.

J’ai donc profité d’un peu de temps libre et de l’arrivée du nouveau confinement pour finir la préparation du livre en vue de sa publication au format papier et électronique. Je tiens à remercier Odysseus libre pour la couverture inspirée BD.

Je sais déjà que certaines personnes vont me faire des leçons de morale car je suis passé par Amazon pour m’auto-éditer. Mais il faut être honnête, c’est un des principaux acteurs de l’auto-édition et il permet d’avoir de l’impression à la demande sans avoir à sortir le moindre centime.

J’ai parlé rapidement du livre dans la vidéo ci-dessous.

Si vous voulez une version au format électronique sans aucun DRM : https://www.amazon.fr/dragon-princesse-Frederic-Bezies-ebook/dp/B08MKVCH65/

Si vous préférez une version papier, voici le lien à suivre : https://www.amazon.fr/dp/B08M8GVZFQ

Il n’y a aucune obligation, mais si vous avez des enfants, ce serait toujours un petit cadeau de Noël à faire.

Allez, bonne lecture !

Comment s’occuper l’esprit durant ce deuxième confinement ?

Je n’ai pas été surpris d’apprendre l’arrivée de ce deuxième confinement, et pour tout dire je m’attendais à le voir arriver avant les vacances de la Toussaint. Je ne m’exprimerai pas sur sa durée, mais si c’est comme pour le premier confinement, qui a duré près de 2 mois, du 17 mars au 11 mai, on peut dire adieu aux vacances de fin d’année. J’espère sincèrement me tromper.

Mais pour le moment, nous n’en savons rien. Restons optimistes en espérant que le 1er décembre, la vie reprendra un chemin un peu plus joyeux. Le tout est de savoir comment s’occuper l’esprit si l’on a aucune activité professionnelle – en distanciel ou en présentiel – ou que l’activité est au point mort car non essentielle.

J’avais pensé m’inscrire au nanowrimo de cette année, mais en sachant qu’il faut écrit environ 50 000 mots en un mois, dixit wikipedia. Pour info, je compte publier courant novembre (idéalement avant le 11) un roman que j’ai écrit sur l’espace d’un an qui cumule péniblement un peu moins de 42 300 mots (en comptant la table des matières) pour environ 260 pages au format A5 et dont j’ai parlé en juillet dernier.

Autant dire qu’écrire plus de 1500 mots par jour, c’est un exercice qui est difficile. Surtout avec ma vie qui est en ce moment assez agitée, mais cela ne regarde que moi. Je ne m’étalerai pas plus que nécessaire ici.

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« Le dragon et la princesse », un projet qui vient de loin !

C’est même un projet qui n’aurait jamais vu le jour sans une distribution bien pourrie qui s’appellait Micro-R OS. En effet, sans cette distribution datant de 2014 ou 2015, je n’aurai jamais fait la connaissance de Baba Orhum, ni de sa petite famille.

Sans cette distribution, je n’aurai jamais fait la connaissance de mes neveux de coeur, qui sont devenus mes filleuls en juillet 2018.

Surtout, je n’aurais jamais eu l’occasion d’écrire pour mes filleuls le recueil de contes dont j’ai parlé dans cette vidéo :

Dans la trentaine de contes que j’ai rédigé, un trio me plaisait beaucoup au point de me dire : « Pourquoi ne pas en faire une version longue ? »

Il m’a fallu près d’un an pour tout rédiger. Le texte en police de 12 points, intervalle d’une ligne et demie, le tout en A4 fait… 186 pages ! Le titre n’est pas encore gravé dans le marbre, cependant.

Je ne l’ai pas encore converti au format amazon, mais je pense qu’on aura un bouquin d’environ 250 à 300 pages. Il ne me reste plus qu’à lui passer plusieurs couches de relecture (la première est en cours), de peaufinage, et avec un peu de chance, tout sortira d’ici le mois de novembre ou de décembre. Vu le nombre de chapitres (une soixantaine), j’en aurai bien pour une journée entière de migration du texte vers le modèle d’Amazon.

Il n’est pas interdit de se faire de la publicité, non ? 🙂

Auto-édition, le retour de la vengeance :)

Dans un article de septembre 2019, je parlais d’une série de contes que j’avais mis plusieurs mois à écrire à destination de mes filleuls.

Une étape importante a été franchi il y a quelques mois, mais n’étant pas dans la course à l’argent, je n’en parle que maintenant. En effet, les contes sont disponibles sur Amazon au format électronique (et j’ai poussé sur les conseils avisés de la « Dame en noir », private joke) à 2,99€ sachant qu’une vente me rapportera à peine 0,99€.

Pour le format papier, c’est 7€ hors taxe, soit 7,38€. Et mes royalties s’élèveront à 1,78€. Autant dire que pour arriver aux symboliques 1000€, il me faudra 1010 ventes au format électronique ou seulement 561 ventes au format papier. Youpi !

Je m’en explique plus longuement dans cette vidéo :

Voila, comme on le dit souvent, on n’est jamais mieux servi que par soi-même.

Où en est l’auto-édition en ce milieu d’année 2020 ?

Oui, je sais, vous allez me dire que je publie ce billet le 11 mai 2020 et que techniquement, l’année 2020 n’est pas encore arrivée à sa moitié. Je suis d’accord, mais après 7 semaines de confinement (17 mars au 11 mai), on a l’impression que cela a duré bien deux fois plus longtemps en réalité.

Ma collègue Agnès du blog Destination Passions a profité du confinement pour faire le grand nettoyage dans son blog. Au bout de 8 ans, cela est nécessaire.

De mon côté, j’ai fini la première version du long texte que j’ai écrit pour mes filleuls et qui paraitra – si je le décide ainsi – en auto-édition. Rien n’est décidé pour le moment, et pour tout dire, depuis le billet que j’ai écrit le 13 novembre 2019 – donc il y a 6 mois – je n’ai plus lu une seule ligne d’un texte auto-édité. Je vais être plus franc, depuis le roman « Maddie si tu savais » d’Isabelle Rozen Mari, paru en juin 2019, je n’ai plus touché à un texte auto-édité.

Manque de temps ? D’envie ? Pas seulement. Pour reprendre la conclusion de mon article du mois de novembre 2019 :

[…]
Pourquoi les maisons d’édition auraient-elles peur d’un phénomène qui leur permet d’avoir un comité de lecture énorme à titre gracieux. Il suffit de laisser les lecteurs et lectrices faire le tri dans le magma de l’auto-édition pour voir ce qui fonctionne… Du moins, si cela est un minimum de qualité 🙂

[…]
Sur ce, je vous laisse, j’ai la vraie vie, celle où l’auto-édition est un infâme magma de productions vendues horriblement cher pour un contenu à la typographie ignoble, à la grammaire et l’orthographe indignes d’un enfant de CE2.

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En vrac’ de fin de semaine…

En vrac’ dominical pour commencer le mois de février 2020.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Mobius qui mélange le metal progressif, symphonique et les influences indiennes vient de sortir son nouvel album « Kala ».
  • Un ami auteur auto-édité, Xavier Delgado, m’a dit qu’il a publié à compte d’éditeur un court texte. Le voici, bien qu’avec du retard : « Vie et mort ».

Bon week-end 🙂

Y a pas que le blog ou la dogmatique informatique libre dans la vie

Alors que mon déménagement est à 99% derrière moi – il ne reste plus qu’une seule démarche administrative en cours – j’ai pu reprendre un rythme de vie moins tendu.

En presque 46 ans, je n’ai déménagé que 4 fois dans un délai de 17 années. Il faut dire qu’avoir habité jusqu’en 2002 dans la ville où j’ai été de l’école maternelle au collège, n’allant au lycée qu’à une dizaine de kilomètres, ça vous donne un caractère casanier 🙂

J’ai donc profité d’un calme relatif pour me remettre à travailler sur un long texte dont j’avais déjà parlé en octobre 2019. À l’époque, je n’avais écrit qu’un peu plus de 130 pages, pour un total d’environ 21 h 20 en cumulé.

Depuis, j’ai rajouté une quinzaine de pages, et je suis arrivé à presque 150 pages pour un total d’un peu plus de 25 heures de travail en cumulé. Si on reste dans les statistiques, cela fait trois parties de 14 à 15 chapitres assez courts, avec un épilogue intermédiaire à chaque fois. Un total de 46 sous-parties si on peut le dire ainsi.

Je me demande si une dernière partie ne viendra pas s’ajouter pour arriver à une soixantaine de chapitres au final. En partant d’une trilogie de contes écrits pour mes filleuls qui ne faisait qu’environ 3000 mots… Autant dire que c’est presque de l’hyperinflation en terme de taille 🙂

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Quand un blog consacré à l’auto-édition relance la machine à fantasmes…

Je suis un auteur auto-édité depuis l’année 2014, mais en gardant à l’esprit que pour une personne élue, il y a 100000 personnes déçues. C’est pas franchement mieux que la rentrée littéraire de septembre où chaque année il y a plusieurs centaines de titres qui sont publiés en un mois. 524 pour septembre 2019…

Passant principalement par Atramenta et en complément par Amazon, j’ai touché énormément d’argent via les canaux en question. En tout et pour tout, depuis 2014, sur Atramenta ?

Et sur Amazon ?

Un calcul rapide m’indique qu’en ayant fait juste le minimum de publicité, à savoir quelques articles de blog, quelques tweets, j’ai touché environ dans les 230€…

Quelle fortune ! Pour tout dire, et parlons d’argent, le plus que j’ai pu toucher dans le monde de l’édition, c’est quand j’ai eu la chance en 2014 de signer un contrat avec Larousse pour un livre sorti pour les fêtes de fin d’année…

Les avances versées sont remboursées par les ventes, ce qui a fait que je n’ai eu des royalties qu’en 2018 ! Il y en a pour 2000€, oui, mais c’est du brut. Il faut sortir 20% de cotisations diverses et variées. Donc, j’avais pu touché en l’espace de quelques mois six fois plus que l’auto-édition m’a rapporté en cinq ans !

Mais pourquoi ce pavé, me direz-vous ? C’est juste pour parler d’un article rapidement écrit – du moins vu son argumentation, c’est à espérer – publié sur un blog dénommé « L’instant auto-édité » qui est hébergé par WordPress via un service de réservation de nom de domaine home.blog. En clair, du gratuit 🙂

Si vous connaissez la loi de Brandolini, vous vous doutez bien que la suite va être saignante… Je ne ferai pas mon grammar nazi, car ce serait mal venu. Tout le monde peut fait des fautes d’inattention.

Pour info, voici comment on résume la dite loi : « La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des idioties est supérieure d’un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire. « 

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Auto-édition, le retour :)

Un blogueur très connu et ultra-influent – tiens, mon cynicomètre vient d’imploser ! – sur la blogosphère francophone a fait une remarque qui m’a marqué. Je le cite :

« Et puis, je me suis trouvé d’autres hobbys, comme le jardinage, le bricolage… je me suis aussi replongé dans d’anciens hobbys comme l’aquariophilie et les consoles de jeux. »

Je dois dire que l’informatique libre me gonfle pas mal, surtout à cause des personnes engoncées dans leurs dogmes et qui oublie que l »es faits sont têtus » (Lénine) et que ce n’est pas aux faits à se plier aux théories et aux opinions mais l’inverse. Une théorie qui est démentie par les faits est une théorie à abandonner. C’est aussi simple que cela.

Mais sur ce point, je n’ai pas envie de revenir, sachant que je serais constamment contredit. Mais peu importe au final.

Je vais rapidement parler d’un projet que je suis en train de terminer. Pour placer rapidement le contexte, il y a environ un an, je suis allé passer une semaine auprès de mes amis et de mes filleuls. J’avais envie de leur faire un cadeau plus intéressant que la dernière console de jeu à la mode.

J’ai donc commencé la rédaction d’un conte de trois pages. Comme ils avaient accroché, j’en ai fait d’autres. Les textes se sont accumulés, et au final, il y en a une trentaine. J’en ai terminé la rédaction en avril 2019. J’ai tout posté sur Atramenta.

Je tiens à remercier Péhä pour la couverture. J’ai décidé de m’attaquer à la relecture des textes récemment pour corriger les inévitables coquilles, qu’elles soient grammaticale, orthographique ou encore des oublis de mots. Au moment où j’écris ce billet, j’ai retouché déjà un tiers des textes sur le plan grammatical et orthographique.

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« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !