Finalement, j’ai choisi FluxBox

Pour ma petite machine. Après avoir acheté une carte ethernet – histoire de pouvoir brancher la machine à l’internet sans prise de tête – et avoir bataillé un tout petit peu pour faire reconnaitre le circuit graphique i810, j’ai choisi fluxbox, plus léger que Xfce au final. Il ne me reste plus qu’à fignoler l’ensemble.

Une petite capture d’écran pour la route ?

Fluxbox sur une archlinux et un Celeron 600 équipé de 512 Mo !

Y a pas à dire, le matériel IBM, c’est du solide !

Désirant me monter un PC de « sécurité », j’ai récupéré un vieil IBM Aptiva de l’an 2000 (Celeron 600, 512 Mo, 10 Go de disque, graveur de CD) et un de mes vieux PC (acheté dans un hypermarché C*), en l’an 2003.

Croyant que le plus jeune des PCs serait celui qui serait la base, j’ai été surpris de constater le contraire. Mis à part que le disque dur de l’IBM soit mort, j’ai récupéré le disque de 80 Go et la greffe a pris sans problème, la totalité du disque étant reconnu. J’ai aussi récupérer un graveur DVD, acheté il y a environ un an.

Je me tate pour savoir quelle distribution installer, étant donné que je n’ai pas encore de carte réseau ethernet sur ce PC.

Il ne manque sur cette machine :

  • une carte pour des ports USB 2.0
  • une carte pour une connexion ethernet
  • une carte ieee 1394, si c’est possible, histoire de brancher un camescope numérique dont on m’a fait « cadeau » récemment.

Evidemment, ce n’est pas un foudre de guerre, mais c’est déjà pratique pour avoir une machine au cas où ma machine principale serait en rade !

Des nouvelles du front firefoxien ;)

Alors que la béta 3 pointera le bout de son nez d’ici une grosse quinzaine de jours, Sinklar de BeFox a parlé de l’augmentation de l’intégration dans l’interface de Windows et des infos sur le nouveau gestionnaire de thème et d’extensions. Pour compléter son excellent article, je complète avec des améliorations au niveau des bookmarks :

Si on clique sur l’étoile de la barre d’adresses, on a une minuscule interface bien pratique :

ajout d'un bookmark dans firefox 3

Sans oublier que l’intégration graphique continue, et devient de plus en plus intéressante, surtout si on jette un oeil au panneau de préférences :

panneau des préférences de firefox 3

Living on the bleeding edge ;)

Désolé pour le titre en anglais, mais j’ai décidé de franchir l’étape supérieure : utiliser la version « testing » (en gros, développement, l’équivalent de Debian Sid) pour mon ArchLinux.

Ayant fait quelques tests, je me suis aperçu que les paquets de Perl dans le dépot testing semblait mettre à mal les outils systèmes de Gnome, hors, il m’arrive de les utiliser assez souvent. J’ai modifié le fichier /etc/pacman.conf en décommentant les lignes liées à testing

Donc, en jetant un oeil sur la liste des paquets lié à perl proposée par la première mise à jour, et je les ai intégrés dans une ligne IgnorePkg insérée dans mon fichier /etc/pacman.conf :

IgnorePkg = perl cairo-perl glib-perl gtk2-perl perl-locale-gettext perl-text-iconv perl-xml-twig perl-xml-simple perlxml

Après la mise à jour – j’ai du forcé (ouille !) l’installation du paquet lié au pilote Nvidia – qui s’est déroulée sans problèmes, j’ai été obligé de réinstaller VMWare (résintallation très simple, en utilisant le fichier vmware-any-any-update115a.tgz comme conseillé sur la page du paquet AUR de vmware-workstation-modules.

Cependant, j’ai été obligé de lutter pour que Miro fonctionne avec le nouveau xulrunner sur lequel il se base.

En mode root, il m’a suffit de modifier le chemin d’accès contenue dans le fichier /usr/bin/miro, « /opt/mozilla/lib/xulrunner » devenant « /usr/lib/xulrunner ».

La suite ? Au prochain numéro !

Installer simplement iptables sous Archlinux.

Voulant avoir une série de règles simples et puissantes pour iptables, je suis tombé sur cet article du Brakablog.

Même si le tutoriel est à l’origine pour Ubuntu, je l’adapte, pour ArchLinux. Je précise qu’est pour le cas le plus simple, une machine seule connectée à une « box » ou un modem en connexion directe à l’internet.

On commence par installer iptables :

yaourt -S iptables

Ensuite, en mode root, on rentre les règles suivantes, merci à Brakbabord pour les infos :


##On remet le firewall à Zéro ##
iptables -F
iptables -t nat -F
iptables -P INPUT DROP
iptables -P FORWARD ACCEPT
iptables -P OUTPUT ACCEPT

Le loopback (boucle locale) est indispensable pour des logiciels qui refusent de démarrer sinon, comme Miro


## On accepte loopback ##
iptables -A INPUT -i lo -j ACCEPT

Et le reste des règles :

## On accepte uniquement les connexion désirées ##
iptables -A INPUT -m state --state RELATED,ESTABLISHED -j ACCEPT

## On refuse le reste ##
iptables -A INPUT -j drop

Si l’on a pas besoin de l’IP forwarding, dans le fichier /etc/conf.d/iptables, il faut dans la ligne IPTABLES_FORWARD mettre la valeur 0 qui désactive le Forwarding d’IP

Enfin, on sauve les règles, puis on lance le service du pare-feu, soit en root, soit via sudo :


/etc/rc.d/iptables save
/etc/rc.d/iptables start

Et pour lancer iptables au démarrage, il faut rajouter iptables à la ligne DAEMONS du fichier /etc/rc.conf, bien entendu après le daemon qui lance la connexion réseau.

De quoi avoir une protection « parfaite » sur les sites de tests de pare-feux 😉

Bilan du premier mois avec ArchLinux 64 bits.

Il y a un mois, je passais d’Ubuntu à Archlinux. Il est temps de faire un premier bilan de cette migration.

Depuis son installation, et bien que je la torture, mon Archlinux tient le choc d’une manière magnifique. La communauté – bien que plus petite que celle d’Ubuntu-fr – est d’aussi bonne qualité.

Les logiciels sont souvent plus récent, mais pas moins testé. Je n’ai quasiment rencontré aucun bogue qui me fasse regretter ma migration. De plus, le coté modulaire d’ArchLinux est plaisant, et des outils comme yaourt permette de faire de nombreuses choses facilement.

La seule grosse difficulté a été l’installation d’un VMWare.

Sur le plan de la taille prise sur le disque dur ?

Au moment de l’installation, j’ai suivi les conseils de l’outil de partitionnement, sauf que j’ai augmenté – un peu trop ? – la taille de la partition /boot et que j’ai choisi d’avoir 4 Go de swap.

Occupation du disque dur avec ArchLinux

Dans les 17 Go de données de mon /home, il y a environ 11 Go de musique (au format ogg, merci Jamendo !) et une machine virtuelle contenant une Archlinux avec le dépot testing activé (3,4 Go).

Donc, si l’on regarde la taille prise par le système, sur les 7,6 Go des partitions /boot et /, le total monte aux alentours de 3,4 Go, soit la moitié. Ce qui me laisse encore de la marge.

Il faut dire que sur / j’ai : Gimp, Gnome 2.20.3, OpenOffice.org, Liferea, Deluge-Torrent, Compiz-Fusion, Miro, VLC, Mplayer, GScan2pdf, Filezilla, Xchat, Brasero, swfdec, pidgin, vmware en plus de l’installation de base et de Xorg.

Comparons avec une Ubuntu Gutsy Gibbon, avec une partition boot de 256 Mo, une partition / de 7500 Mo, le reste pour /home. J’utiliserais un disque virtuel de 32 Go.

Et pour être honnête, j’utiliserais une version 64 bits de la distribution. Et j’installerais aussi les paquets de développements, car les fichiers de développement sont installés avec les paquets des principaux logiciels sous Archlinux.

Occupation du disque dur avec  Ubuntu Linux

Et résultat des courses ? A peu de chose près, la même taille, avec des logiciels souvent plus vieux, et parfois en version obsolète. Je ne jette pas à la pierre à Ubuntu, loin de là. C’est une excellente distribution Linux, mais le principe d’avoir une distribution toujours à jour comme c’est le cas avec ArchLinux me séduit plus 😉

Arch Linux utilise un système de « release tournante » qui focntionne comme suit : Il y’a 2 version des paquet de base à tout moment : Courant (Current) et Release. Le répertoire Courant contient toujours les dernières versions des paquets. Dès qu’un paquet est mis à jour il devient membre de répertoire courant, c’est celui que vous récupèrerez pour rester à jour. Le répertoire Release suit les « snapshots » réguliers des distributions et ne se mets à jour qu’a la sortie d’un nouveau snapshot / d’une nouvelle iso. C’est intéressant si vous vouez mettre à jour votre distributions que lors d’une sortie officielle.

Mais comme dans le monde du logiciel libre, on respecte le choix des autres – même s’ils ont des goûts de toilettes publiques – les deux distributions pourront continuer à exister en toute tranquillité.

Comment avoir toutes les langues dans l’OCR Tesseract.

Dans un précédent article, j’avais parlé de l’excellentissime Tesseract et d’une interface qui est bien pratique, gscan2pdf.

Cependant, la reconnaissance ne se faisait que pour l’anglais.

Voici donc les commandes à appliquer (en root ou avec sudo) pour avoir le choix des langues dans gscan2pdf :

mkdir /usr/share/tesseract-ocr
ln -s /usr/share/tessdata/ /usr/share/tesseract-ocr/

Et maintenant, c’est magique 😉

Adieu Gnomad2… Merci Rhythmbox 0.11.4 :)

Ce soir, lançant yaourt, j’ai eu cet affichage :

fred@fredo-arch:~$ yaourt -Suy
Mot de passe :
:: Synchronisation des bases de données de paquets…
core est à jour;
extra 305,3K 104,4K/s 00:00:03 [#####################] 100%
community est à jour;
archlinuxfr est à jour;
La base de données locale est à jour.
:: Début de la mise à jour complète du système…
Résolution des dépendances…
Recherche des conflits possibles entre paquets…

Cibles: gnome-python-desktop-2.20.0-3 libgpod-0.6.0-1 libmtp-0.2.4-1
qt-4.3.3-3 qscintilla-2.1-3 pyqt-4.3.3-1 totem-plparser-2.21.90-1
gstreamer0.10-python-0.10.9-1 rhythmbox-0.11.4-2 totem-2.20.1-3
totem-plugin-2.20.1-3

Taille totale des paquets (téléchargement): 31,20 Mo

Et j’ai lancé, en croisant les doigts, la mise à jour.

Et ouf, mon lecteur MTP Samsung est reconnu sans passer par Gnomad2. Il est vrai que c’était une amélioration de la version 0.11.4 de Rhythmbox

Autant dire que j’ai été heureux d’entrer un petit :

yaourt -R gnomad2

Et l’obligatoire capture d’écran :

Rhythmbox 0.11.4 sous Arch Linux 64 bits

J’adore les mises à jour mineures de noyaux sous Archlinux ;)

Alors que la version 2.6.24 du noyau linux commence à se faire attendre, le 2.6.23 vient d’arriver à sa 14ième révision. Après une 13ième révision qui n’avait pas fait long feu, la version 2.6.23.14 du noyau linux est disponible sur les dépots de la distribution.

Un peu angoissé, j’ai quand même lancé l’opération de mise à jour, craignant surtout un problème lié au pilote nvidia… Et bien ? Rien, si ce n’est une mise à jour sans problème.


fred@fredo-arch:~$ uname -a
Linux fredo-arch 2.6.23-ARCH #1 SMP PREEMPT Tue Jan 15 07:17:51 CET 2008 x86_64 AMD Sempron(tm) Processor 3100+ AuthenticAMD GNU/Linux
fred@fredo-arch:~$ yaourt -Si kernel26
Dépôt : core
Nom : kernel26
Version : 2.6.23.14-1
URL : --
Licences : --
Groupes : base
Fournit : --
Dépend de : coreutils module-init-tools mkinitcpio>=0.5.15
Dépendances opt. : --
Incompatible avec : --
Remplace : kernel24 kernel24-scsi kernel26-scsi alsa-driver
ieee80211 hostap-driver26 pwc nforce squashfs
unionfs ivtv zd1211 kvm-modules
A télécharger : 23522,79 K
Taille (installé) : 23522,79 K
Paqueteur : --
Architecture : --
Compilé le : --
somme MD5 : b850d8c6ce3762aac0c90254a55c7db4
Description : The Linux Kernel and modules

Plus cela va, plus j’aime cette distribution qui m’a fait quitté mon ubuntu… 😉

Gnome 2.20.3 : ultime version 2.20.x et déjà disponible pour ArchLinux !

Ce matin, je faisais un habituel et quotidien yaourt -Suy quand j’ai vu apparaître quelques 120 Mo de mises à jour disponible !!

Annonce de l'arrivée de Gnome 2.20.3 !

J’ai d’abord pensé à la sortie du noyau 2.6.24, mais non, c’est la version 2.20.3 de Gnome qui pointe le bout de son nez.

Je n’ai pas encore la liste des correctifs au moment où j’écris cet article, mais il est certains qu’un petit paquet de bogues ont du être envoyés ad patres… Et je rajouterais un article sur les nouveautés du Gnome 2.20.3 🙂

En tout cas, après avoir fermé la session, Gnome 2.20.3 m’a accueilli sans aucun problème. Ce qui est agréable, bien que j’attende avec un peu plus de stress la sortie du noyau 2.6.24 et de Gnome 2.22.0 pour la mi-mars… 🙂

Gnome 2.20.3 sous ArchLinux

D’ici quelques heures, KDE 4.0 pointera officiellement le bout de son nez… Autant dire, une période faste pour les environnements de bureau du logiciel libre 😉