L’auto-édition rend fou, mais j’me soigne :)

Derrière ce titre qui est un hommage à un livre sorti par le journaliste Bruno Masure en 1987, j’ai eu envie de rédiger un article plein d’humour sur le monde merveilleux et aussi sans pitié de l’auto-édition. Du moins dans sa version proposée sur le magasin d’Amazon.

Cette réflexion est partie d’une semaine plus que tendue du caleçon que j’ai pu passer sur le réseau social à l’oiseau bleu. Tout a commencé avec un coup de gueule un brin excessif, poussé le 16 mai 2016.

J’avoue qu’avec le recul, j’aurais rédigé le billet différemment, en étant un peu moins acide. Ensuite, il y a eu la volonté d’Agnès du blog Destinations Passions de sortir une liste d’auteur(e)s qui semblent utiliser les failles d’Amazon pour détourner le système proposé.

Certaines des personnes listées pourraient jouer « oui, je suis martyrisée » en oubliant que le martyr est historiquement soit la décapitation, soit la crucifixion, soit finir grillé comme une saucisse sur un barbecue.

Petite parenthèse en passante, je vous renvoie à cet excellent article sur le « bon » prix d’un bouquin numérique.

Mais continuons sur les dégats que peut provoquer la fréquentation du monde de l’autoédition à la sauce Kindle.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Rien cette semaine pour le logiciel libre, j’ai donné et je dois dire que je commence à saturer un brin 🙂

Côté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeable.

Côté musique ?

Bon week-end 🙂

« The Splinter of Light We Misread » : Un deuxième opus plus sombre des Defying ?

Si vous me suivez depuis plus ou moins longtemps, vous savez que j’aime les musiques sombres, celles qui vous emportent au plus profond des tréfonds de votre âme. Le metal progressif en fait partie. Avoir été initié au metal progressif par Opeth, ça aide un brin 🙂

Le deuxième album des polonais de Defying en fait partie. J’avais adoré leur premier album, « Nexus Artificial », dont j’avais parlé en avril 2015

« The Splinter of Light We Misread » est sorti le 20 mai 2016. Je l’avais précommandé, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat. Une demi-heure de musique sombre en quatre pistes, qui commence par « The Sunlight Recedes ».

Si vous n’aimez pas le chant gutural, passez votre chemin. La première piste qui dure une dizaine de minutes est constituée pour moitié d’un chant gutural, accompagné d’une ambiance lourde, imposante.

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« One Big Sky » de Celestial Teapot : Du rock progressif instrumental de haut vol.

Il m’arrive parfois d’espionner – je sais c’est mal – la page Bandcamp de Stéphane Gallay. Collègue blogueur dont j’apprécie la plume et dont je partage de temps à autres les coups de coeur musicaux, je dois dire que je m’inspire de ces découvertes pour m’en mettre plein les oreilles.

Cela a été encore récemment le cas, avec la découverte d’un groupe de rock progressif instrumental indien, « Celestial Teapot ». Oui, vous avez bien lu, et si mon anglais n’est pas trop rouillé, on peut traduire par « théière céleste ». J’avais déjà abordé l’album du groupe dans un billet en vrac’ du 14 mai 2016.

Intrigué, j’ai lancé la lecture. Après une intro toute aérienne, « Closure » nous envoie des guitares qui n’ont rien à envier au heavy metal des années 1970. Je dois dire que le début me parlait déjà bien. Mais le meilleur restait à venir.

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C’est officiel : Le logiciel libre est devenue une religion…

Au sens classique du terme. Vous allez dire, pourquoi est-ce qu’il pousse une gueulante ? Pourquoi une autre ? Parce que… c’est nécessaire. Au début je ne comptais pas rédiger de billet, mais vu le niveau atteint, il n’y a pas d’autre choix.

Tout commence avec un article sur la Parabola GNU/Linux dont je critiquais le manque d’utilisabilité pour le monde moderne. Ne serait-ce qu’avec l’utilisation du greffon LibreJS qui fait passer GNU Gnash pour une implémentation utilisable d’Adobe Flash… Oui, c’est ironique 🙂

Un commentaire d’une personne que l’on ne peut que qualifier de puriste du libre vient me faire la morale, gentiment. Puis, ça part un peu plus en cacahuètes, jusqu’au point où je déclare que cette personne est une intégriste. Au sens entendu du terme, celui de l’intégrisme religieux.

Ne voulant pas perdre plus de temps avec un dialogue de sourds, j’ai clos les commentaires.

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