Ah, les noms de code des diverses versions d’Ubuntu… Merci à Lucy in the Sky with Diamonds ? :)

Alors que la 22ième publication d’Ubuntu est encore toute fraîche, et que le grand manitou de Canonical, j’ai nommé Mark Shuttleworth a annoncé le nom de code de la 6ième LTS de l’histoire de la distribution, j’ai eu envie de revenir sur les noms de code qui sont les plus… bizarroïdes jamais proposés.

Le nom de code la Ubuntu 16.04 LTS étant hors concours, bien qu’il est assez tiré par les cheveux, car il faut y penser à Xenial Xerus. Dixit Mark Shuttleworth, Xenial signifierait amical ou hospitalier. Le Xerus fait un peu penser aux suricates dans l’apparence générale, bien qu’ils soient affiliés aux écureuils. Bizarre, non ?

Mais il y a d’autres noms de code depuis la sortie de la première Ubuntu en octobre 2004 qui valent leur pesant de « Mais comment ils ont pu trouver ça ? ». Voici donc mon top 5, rangé par ordre chronologique.

À tout seigneur, tout honneur. Commençons par la Ubuntu 4.10, sortie en octobre 2004. Inaugurant le principe d’une Debian GNU/Linux « simplifiée », la première Ubuntu avait pour nom de code… Warty Warthog, ce qu’on peut traduire par « phacochère verruqueux ». Non, je n’ose même pas m’imaginer la tête d’un phacochère souffrant de verrues. Pauvre bête !

À l’époque la seule interface disponible était Gnome 2.8 avec Mozilla 0.9 (mise à jour par la suite en version 1.0.x), et OpenOffice.org 1.1…

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LuninuX OS 15.00 béta 1 : tiens, elle est encore en vie ? :)

Il y a des distributions GNU/Linux qui ont une actualité trépidante, d’autres pas. Il y a des distributions GNU/Linux qu’on donnent pour mortes, étant donnée qu’aucune version n’a été publié depuis des mois, voire des années, mais qui reprennent du poil de la bête comme par magie.

Dans cette deuxième catégorie, je demande la LuninuX OS, dont la dernière version remonte à la fin 2012, vous savez le moment où la fin du monde devait arriver. Le 17 décembre 2012, dans un billet en vrac, j’écrivais ceci :

Vous cherchez une dérivée d’Ubuntu au nom limite imprononçable sans bafouiller ? Essayez donc la LuninuX. Elle est basée sur Ubuntu et Gnome-Shell. Sa version 12.10 est disponible sur le site officiel.

Depuis, un silence étourdissant. Faisant ma visite quotidienne sur Distrowatch, j’ai pu lire ceci dans les dernières publications : « 09/06 LuninuX • 15.00-beta1 »

Piqué par la curiosité, j’ai été voir sur le site officiel, et voici ce qu’on peut lire sur le blog :

15.00 Victory Viper

The anticipated latest stable release of LuninuxOS is set for December 12th 2015, this is a tentative time line, it could be release earlier if time permits. There will be much improvement in speed, usability and aesthetics for the new update.

Une traduction rapide ?

15.00 Victory Viper

La prochaine publication stable de LuninuxOS est prévue pour le 12 décembre 2015, qui est une date estimée, qui pourrait être avancée si le temps le permet. Il y aura beaucoup d’amélioration en terme de vitesse, d’utilisabilité et d’esthétique dans cette nouvelle mise à jour.

Si on jette un oeil sur la page de téléchargement, on s’aperçoit que nombre d’étapes n’ont pas pu être suivi, la vraie vie de l’auteur y étant responsable. Mais ne soyons pas trop méchant. J’ai donc fait chauffer mon wget et j’ai récupéré l’ISO en 64 bits. Étant donné que c’est une version béta, je peux m’attendre à un sacré lot de bugs divers et (a)variés.

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Vous prendrez bien un peu de thé à la menthe, subtilement parfumé à la canelle ?

Derrière ce titre gustatif se cache un jeu de mots dont j’ai honte. Comme vous vous en doutez, cet article va être consacré à la plus célèbre fille d’Ubuntu, j’ai nommé la LinuxMint en déclinaison Cinnamon. Cela faisait une petite éternité que je n’avais plus consacré d’article à la LinuxMint « principale ». Le dernier article remontait à mai 2013.

La version 17.2, troisième version basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, est sortie le 30 juin 2015.

Du nom de code de Rafaela, elle propose Cinnamon 2.6 (à la naissance agitée, j’y reviendrais plus tard), des réglages affinés dans tous les domaines, un meilleur support pour l’usine à gaz qu’est l’UEFI, un noyau Linux 3.16 (comme celui qui propulse Debian GNU/Linux Jessie et la Linux Mint Debian Edition), ainsi qu’une logithèque mise au goût du jour.

J’ai donc fait chauffer Transmission pour récupérer l’ISO d’installation. Ensuite, j’ai créé une machine virtuelle VirtualBox avec 2 Go de mémoire, 2 CPUs virtuel, 128 Go de disque, et j’ai aussi activé le support EFI. Soyons fous 🙂

Cinnamon 2.6.11 en anglais nous accueille. Quand on lance l’installateur, on se retrouve avec celui d’Ubuntu. Donc, inutile de s’apesantir dessus. Je préfère cependant l’installateur de la LMDE, mais il faut vérifier sa compatibilité avec l’UEFI. J’ai un doute sur ce point précis.

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Avec elementary OS Freya, le design joue-t-il le rôle d’un « cache misère » bien pratique ?

Il y a une semaine, le 13 avril 2015, j’écrivais un article acide sur mon opinion concernant l’elementary OS Freya et sa méthode maladroite pour récolter les fonds nécessaires à l’accélération de son développement.

Après avoir récupéré les 893 Mo de l’ISO d’installation en 64 bits depuis le site officiel, j’ai créé une machine virtuelle Ubuntu, que j’ai quand même bien gonflé : 2 Go de mémoire vive, support de deux CPUs. Je n’ai pas activé l’acceleration 3D à l’installation pour éviter un crash lié au circuit graphique émulé par VirtualBox. Je ne l’ai activé que lors de l’enregistrement de la vidéo.

J’ai choisi l’option d’installer directement la elementaryOS 0.3, histoire de gagner un peu de temps.

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Osons exprimer un point de vue critique sur ElementaryOS.

S’il y a bien une distribution GNU/Linux qui sait profiter du bruit médiatique à la sortie d’une version intermédiaire ou finale, c’est ElementaryOS. Sa version 0.3 alias Freya est sortie le 11 avril, presque un an et demi après sa version 0.2, Luna en août 2013.

Sortie près d’un an après la Ubuntu 14.04 LTS qui lui sert de base technique – qu’elle modernise partiellement (spécialement au niveau du noyau employé) – c’est une distribution qu’on pourrait résumer par le principe « L’apparence est reine ».

Peu importe si pour cela, on se retrouve avec des logiciels non finis, comme le client courrier Geary, le gestionnaire de fenêtre Pantheon (écrit en vala et en GTK3) ou encore le logiciel de gestion de photos, qui est un fork de Shotwell. Que dire du logiciel Musique ?

La seule fois où j’ai parlé de la elementaryOS Freya, c’est à l’époque de sa béta 1 en août 2014. J’écrivais à l’époque
:

[…]On sent que l’ambition derrière ElementaryOS dépasse vraiment les possibilités de l’équipe de développement. La volonté de réinventer la roue et de proposer des logiciels respectant à la lettre les fondements graphiques d’ElementaryOS montre que c’est un chantier énorme, pour ne pas dire gargantuesque.

A trop vouloir bien faire, on finit par mal faire. Musique en est l’exemple flagrant. C’est un logiciel encore beaucoup trop jeune pour être proposé à une utilisation grand public, vu les manques flagrants qu’il a : pas de surveillance de la bibliothèque musicale, pistes rangées par ordre presque aléatoire.[…]

Je suppose que Musique a du faire des progrès entre temps, mais pour tout dire, je n’ai pas envie de tester cette version finale de la elementaryOS.

Pourquoi ? Pour une raison qui me fera passer pour un linuxien ayant un caractère plus que porcin : la politique pour financer la distribution. Car sans argent, difficile de payer des développeurs à plein temps sur une distribution. La page de téléchargement est suffisamment parlante pour expliquer mon point de vue.

Je ne suis pas contre l’idée de donner pour aider une distribution. Mais je ne veux pas avoir l’impression de me faire tordre le bras. Car la page comporte trois erreurs.

  1. Elle laisse penser qu’il faut payer pour récupérer l’ISO de la distribution
  2. Le bouton par défaut est celui de 25$
  3. Le bouton « autre » n’est pas pas parlant. Un « Donnez ce que vous voulez » serait plus parlant

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La beauté, c’est vraiment relatif… Spécialement en informatique libre :)

La beauté est une notion toute relative, spécialement en informatique libre avec le thème d’icone aplatie en cette année 2015. Mais je ne vais pas revenir sur des icones qui ressemblent à des dessins de maternelle mal finis. Non, je vais parler dans cet article d’une énième dérivée de la Xubuntu LTS, j’ai nommé BellaOS.

Addition toute fraiche à la liste des distributions indexées sur Distrowatch (elle fait donc partie des 290 distributions encore vivantes), la BellaOS est pour schématiser une Xubuntu à laquelle on aurait rajouté Plank (le dock du projet ElementaryOS), avec le menu Whisker, Banshee, un fond d’écran à la MacOS-X.

La version 2.2 du projet a été annoncé récemment sur la page d’accueil de Distrowatch. Elle ne semble exister qu’en 64 bits. Je l’ai donc récupéré depuis l’espace sourceforge. Apparemment, c’est aussi la première version disponible en téléchargement.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
–2015-04-11 14:34:08– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1649410048 (1,5G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Bella-OS-2.2-64bit.iso »

Bella-OS-2.2-64bit. 100%[=====================>] 1,54G 2,52MB/s ds 10m 52s

2015-04-11 14:45:00 (2,41 MB/s) — « Bella-OS-2.2-64bit.iso » sauvegardé [1649410048/1649410048]

J’ai ensuite lancé VirtualBox pour voir cette énième dérivée de Xubuntu LTS en action.

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Makulu Linux 8 Unity : ou comment rendre l’environnement phare d’Ubuntu inutilisable ?

C’est de notoriété courante, je ne suis pas un grand fan d’Unity. Je n’aime pas son ergonomie, et j’apprécie encore moins qu’il utilise compiz pour son affichage. J’ai toujours trouvé compiz lourd, et les effets de transparence, de fenêtres molles et autre cube 3D, on finit par s’en lasser.

Je croyais qu’on ne pouvait pas rendre l’ensemble encore plus lourd et encore moins supportable. J’oubliais que dans le pire, même si on pense avoir atteint le fond, on peut encore et toujours creuser. L’exemple ? La Makulu Linux 8 en version Unity.

Pour faire simple, c’est une distribution d’origine sud-africaine. Outre le nom qui sonne ridicule en français, ce sont souvent des distributions qui sont peu ergonomique, lourdes, avec un goût du vintage qui le dispute presque au ridicule.

Pour cette version, l’auteur de la Makulu Linux est partie d’une Ubuntu 14.04.2 LTS, et l’a personnalisé au point qu’on se demande si un trou noir supermassif ne ferait pas une indigestion devant la liste des modifications et des ajouts : 8 thèmes inclus avec 52 fonds d’écran, Wine et PlayOnLinux, la suite WPS Office qui n’apporte rien au schmilblick, un antivirus (très utile sur les postes clients linux, c’est connu), jusqu’à 12 bureaux virtuels… Pitié, n’en jetez plus !!!

J’ai donc récupéré l’ISO et j’ai lancé la Makulu Linux. Dès le départ, le très beau fond d’écran rend l’ensemble indéchiffrable. Mais s’il n’y avait que cela…

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Uumate, ou l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire ?

Dans un article récent, je parlais de la version presque béta 1 d’Ubuntu Mate 15.04. En décembre 2014, j’apprenais l’existence de la Uumate (rien à voir avec une marque de colle bien connue pour le début du nom), UUMate étant le nom résumé de la Updated Ubuntu Mate OS.

Après des tests préliminaires, j’avais été tellement dégoûté par le résultat que j’avais décidé, par pure charité, de ne pas faire d’article. Dans un post de mon fil google+, le 20 décembre 2014, je n’y allais pas avec le dos de la cuillère à pot, pour exprimer mon ras-le-bol du grand n’importe quoi qui règne par moment dans le logiciel libre :

Ayant atteint mon quota annuel d’articles #méchantfred , je vous laisse découvrir cette excrément canin informatique.

Guillaume Lamé s’y était collé, se récoltant une volée de bois vert de l’auteur de la distribution en question.

J’ai donc décidé de prendre le taureau par les cornes et récupéré l’ISO la plus récente disponible pour voir si les défauts trouvés Guillaume Lamé étaient toujours présent.

Une fois l’image ISO de 1,9 Go récupérée (soit plus du double de la Ubuntu Mate 14.10 officielle qui pèse 991 Mo), je l’ai lancé dans une machine VirtualBox.

Dès le démarrage, on est agressé par une boite de dialogue concernant l’intégration de dropbox dans Caja. Ensuite, on a droit à une présentation à la LinuxMint (en gros, on clone l’ergonomie générale de MS-Windows au lieu de respecter celle d’origine de Mate Desktop) et les icones Faenza. On échappe aux icones à la mode, c’est toujours ça de pris 😉

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Ubuntu Mate 15.04 (presque) béta 1 : à quoi ressemble la nouvelle mouture de cette déclinaison d’Ubuntu ?

En août 2014, je parlais pour la première fois d’une déclinaison supportable avec Mate Desktop de la distribution GNU/Linux, Ubuntu.

Loin de l’horreur surchargée qu’est (ou était ?) l’Australis LTS, les développeurs de cette déclinaison (en cours d’officialisation), C’était une bonne version. D’ailleurs, à l’époque du billet sur la Ubuntu 14.10 béta 1, l’équipe avait postulé pour que leur dérivée soit reconnue comme déclinaison officielle par Canonical.

Sur ce plan précis, c’est bien parti. En effet, grâce à un post trouvé sur Google+ de Vincent Jobard, quelque chose me dit que c’est sur le point d’être le cas…

Quoiqu’il en soit, j’ai décidé de faire un point, et de récupérer l’ISO en utilisant mon ami wget. L’adresse de récupération ? http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/

Juste sur le site qui sert d’interface aux serveurs de téléchargements des déclinaisons officiellement supportées d’Ubuntu et d’Ubuntu elle-même.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/vivid-desktop-amd64.iso
–2015-02-25 10:11:00– http://cdimage.ubuntu.com/ubuntu-mate/daily-live/current/vivid-desktop-amd64.iso
Résolution de cdimage.ubuntu.com (cdimage.ubuntu.com)… 2001:67c:1360:8c01::20, 2001:67c:1360:8c01::1f, 2001:67c:1360:8c01::21, …
Connexion à cdimage.ubuntu.com (cdimage.ubuntu.com)|2001:67c:1360:8c01::20|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1198522368 (1,1G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « vivid-desktop-amd64.iso »

vivid-desktop-amd64 100%[=====================>] 1,12G 2,31MB/s ds 8m 4s s

2015-02-25 10:19:05 (2,36 MB/s) — « vivid-desktop-amd64.iso » sauvegardé [1198522368/1198522368]

Quand au terme (presque) béta 1 du titre ? La béta 1 sort(ira) le 26 février 2015, dixit la feuille de route officielle de la Vivid Vervet, et comme j’écris ce billet le 25 février 2015…

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Bodhi Linux 3.0 : que vaut la version de la renaissance de cette distribution ?

Il y a environ six mois, en septembre 2014, Jeff Hoogland annonçait qu’il se mettait en retrait du projet Bodhi Linux. Revenu entre temps, il vient de publier la version 3.0 de la distribution basée sur Ubuntu avec enlightenment 0.19, disponible en version 32, 64 bits et pour les chromebooks.

Je n’avais pas été vraiment emballé par la Bodhi Linux à l’époque de sa version 2.2.0, sorti fin décembre 2012.

J’ai donc voulu voir ce qu’a dans le ventre la nouvelle version tout juste sortie. Basée sur le coeur de la ubuntu 14.04 LTS, elle apporte cependant un noyau plus récent, le 3.16, du moins si on en croit l’annonce de publication. J’ai donc récupéré l’ISO en 64 bits, et je l’ai lancé dans une machine VirtualBox.

Après le démarrage, ce qu’on note au premier coup d’oeil, c’est que cette distribution est victime de la mode. Inutile de préciser l’inspiration du thème d’icone employé. Ce qui est étonnant, c’est qu’il doit déclarer comme étant le thème par défaut d’enlightenment. Par acquis de conscience, j’ai installé en parallèle une Archlinux avec e19 pour comparer les deux thèmes graphiques.

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