En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième mercredi d’octobre 2022. Pas grand chose à se mettre sous la souris en ce moment…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’octobre 2022.

  • Dans la série « je me base sur Archlinux pour pondre une sombre daube », je demande la CachyOS, une base Archlinux avec KDE et 9 autres environnements de bureau.
  • Prenez une base Debian (ou Devuan ?), rajoutez-lui Lxde, secouez le tout et vous obtiendrez l’espagnole Loc-OS. Locos, ça veut dire fous en espagnol, non ?
  • Haplo a sorti fin septembre – début octobre la version de démo de Tenebra 2, suite de l’excellent Tenebra, pour les ordinateurs C64 et Plus4 sans oublier les émulateurs 🙂

Côté culture ?

Collapse, groupe grenoblois de post-rock, annonce la sortie de son 4e album, « Ἀνάγκη » pour le 4 novembre. En attendant, un premier extrait est disponible sur leur page youtube.

Ajout au 7 octobre : l’album « Ἀνάγκη » est disponible en pré-commande.

Pour finir ce billet, le longplay quasi-complet de la démo de Tenebra 2 auquel ne manque que le 9e niveau. Bon visionnage.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce dernier vendredi de septembre 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Pour les linuxien(ne)s pur(e)s et dur(e)s, je demande la Crux Linux 3.7.
  • Dans la série « Je recopie encore l’interface de MacOS car c’est le summum », je demande la iBuntu.
  • La DGLFI de la semaine, une base Archlinux avec un Gnome modifié, un gestionnaire de paquets tiers et un installateur partiellement fonctionnel, j’ai nommé la Crystal Linux.

Côté culture ?

Dirk Jan Müller alias Cosmic Ground vient de sortir un nouvel album de dark ambiant, « Isolate ».

Sur ce, bon week-end !

Il vient de geler en Enfer : le tome 2 de Tubonia est sorti !

Tubonia, c’est une BD basée sur le monde de Youtube devenu le royaume de Tubonia avec une apparence un peu plus médiévale. Après le premier tome sorti en novembre 2018 (oui, près de 4 ans !), un Ulule avait été lancé.

Le titre du deuxième tome est La « Flamme d’Agorytme ». Prévu à l’origine pour janvier 2021, il aura fallu 18 mois de plus de travail acharné du duo Le Dessinator et Florianks. Le copieux quatrième de couverture nous annonce la couleur :

Le viouveur Anthox Colle-à-bois a réalisé son rêve en construisant sa propre cité, devenant ainsi tubonien !

Sir Gibsy quant à lui, malgré ses nombreuses remises en question, peine à faire évoluer la sienne et déprime en voyant celle d’Anthox être déjà plus grande que la sienne.

Afin de le réconforter, ce dernier l’inscrit au tournoi de la Flamme d’Agorytme, événement prestigieux au cours duquel des tuboniens des 4 coins du royaume s’affrontent pour tenter de remporter la Flamme d’Agorytme.

Le vainqueur pourra alors hisser cet artefact magique sur la plus haute tour de son fief. Durant une année entière, il s’embrasera et brillera tel un phare dans la nuit, visible par tous les viouvers du royaume, qui se précipiteront dans la cité du tubonien victorieux. Plus susceptible d’y devenir citoyen, ils la feront grandir. La solution idéal pour Sir Gibsy !

De son côté le mage Absol se rend dans la cité de son ami Saint Douidoui pour disputer une partie d’échecs, mais constate rapidement que les agissements étanges de ses citoyens qu’il décide de suivre…

On retrouve ici le style du Dessinator toujours aussi agréable à lire. L’histoire du tournoi me fait penser au premier arc de Saint Seiya avec le tournoi disputé par les chevaliers de bronze pour décrocher l’armure d’or du Sagittaire.

Je dois dire que je n’ai lu que les premières pages pour le moment. On est face à une BD qu’on peut qualifier de « pousse à la lecture ». Je compte bien me reserver une ou deux heures cet après-midi pour connaitre la fin du tome.

Petit aveu : je ne croyais jamais recevoir le tome 2 de Tubonia, surtout avec le retard pris.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi de septembre 2022..

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Une distribution qui a mis du temps à arriver, j’ai nommé la Ubuntu (au sens originel du terme) de la Slackware Linux, la Salix 15.0. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • Y a vraiment des jours on se demande ce que fume les développeurs du logiciel libre. Souhaitez la bienvenue à lsd (comme la drogue hallucinogène), un ls amélioré.

Côté culture ?

Gee, papa de la série GKND propose la BD SuperFlu sous forme électronique ou papier. Plus d’infos sur le site de Gee.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier vendredi de septembre 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Un sacré retour en grâce. Le projet anciennement connu sous le nom d’Ubuntu Unity Remix est désormais une saveur officielle d’Ubuntu à compter de la version 22.10. Plus d’infos sur « It’s FOSS news ».
  • Vous ne jurez que par les logiciels recompilés et Gentoo est trop facile ? Alors la version 11.2 de Linux From Scratch est pour vous.
  • La DGLFI de la semaine : Metis Linux, une base ArtixLinux avec dwm. Pour les vrais linuxiens, ceux qui ne jurent que par les interfaces minimalistes à la fvwm des années 1990.

Côté culture ?

Olivier Saraja vient de publier sa dernière création aux éditions du 38, intitulée « Séculaires ». Plus d’infos sur la page dédiée aux éditions du 38.

Sur ce, bon week-end !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 47 : la purge des sitcoms AB production (1989-1997)

Dans l’épisode 46 de la série des « mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970 », je parlais de la première sitcom française, « Maguy ».

5 ans plus tard, dans les années 1990-1991, les premières sitcom d’AB Productions – qui produisait aussi sauf erreur de ma part le Club Dorothée – arrivent. Que ce soit « Salut les Musclés » (1989-1994) ou « Premiers Baisers » (1991-1995), ou encore le cultissime « Hélène et les garçons » (1992-1994), les sitcoms AB pullulent.

Liste non exaustive ?

  • « Le miel et les abeilles » avec Désiré Bastaraud (Giant Coocoo) qui a été un acteur de films pour adultes
  • « Les (nouvelles) filles d’à côté »
  • « La croisière Foll’Amour »
  • « La philo selon Philippe »
  • « Pour être libre » avec les « 2Be3 », groupe iconique de l’époque des boys band.

Il doit en manquer pas mal, vu que les séries en question étaient produites à la chaîne. Cependant se dire que la série la plus connue n’a connue que 3 saisons, ça fait bizarre. Et soyez honnêtes… Pour les personnes ayant connu cette période, cela ne vous est jamais arrivé de tomber sur un épisode par hasard ?

J’ai bien ma petite réponse, mais je la garde par devers moi 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’août 2022..

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir le billet, le dernier épisode des tutos à la con de Tonton Fred, avec des morceaux de Gnome dedans.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 46 : Maguy, la première sitcom française.

Nous sommes en 1985. Les sitcoms sont déjà connues en France avec entre autres « Ma sorcière bien aimée » (Bewitched) ou encore « Happy Days ».

Cependant, des créateurs de série veulent produire la première sitcom française. Ce sera « Maguy », inspiré du sitcom américain « Maud ».

Au casting, on retrouve entre autres Rosy Varte (Maguy), Jean-Marc Thibaut (Georges Bossier), Henri Garcin (Pierre Bretteville) et Marthe Villalonga (Rose Le Plouhannec). La sitcom se déroule dans la ville imaginaire du Vézinet (avec un Z), et on suit les aventures de Maguy, quincagénaire mariée en troisième noce avec Georges, directeur du magasin d’életroménager « Boissier Maxi Discount ».

Continuer la lecture de « Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 46 : Maguy, la première sitcom française. »

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’août 2022..

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de metal progressif, une de post-metal, une dose de stoner, secouez le tout longuement. Vous obtiendrez le premier album « LP01 » des parisiens de Homecoming.

Sur ce, bonne fin de semaine !