À propos, j’utilise Archlinux :)

Il y a dans le monde linuxien anglophone un meme qui veut se moquer gentiment des personnes utilisant Archlinux, avec une phrase répétitive « By the way, I use Arch! » (qui est la traduction mot à mot du titre de l’article).

J’ai dit durant des années – et je le maintiens – que proposer à des personnes complètement novices une Archlinux entre les mains, c’est casse gueule à la première opération à coeur ouvert nécessaire, comme cela arrive une à deux fois par an.

J’utilise Archlinux depuis environ 11 ans, et je suis toujours aussi bien dans cette famille de distributions GNU/Linux qui correspond à ce que je cherche. Mon pc fixe tourne depuis plus de deux ans et demi avec une Archlinux pure et dure (installée avec Anarchy à l’époque, car j’étais effrayé par l’UEFI et ses subtilités).

Sur mon PC portable, un vieux Toshiba Satellite L300-2CZ (qui va sur ses 12 ans !), c’est une Manjaro Tux’n’Vape (merdre, j’ai dit le nom qu’il faut taire) Mate passée sous Gnome récemment. L’installation doit avoir dans les deux ans et fonctionne toujours comme au premier jour.

Ce qui me fait rire, c’est de voir des personnes qui n’ont même pas un an de Linux dans les jambes qui osent déclarer avoir trouvé le Saint Graal dans une distribution donnée. Que cela manque de modestie… Des personnes qui ont des distributions prêtes à l’emploi et qui aurait été incapable d’installer le moindre GNU/Linux il y a encore cinq ans.

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Les natifs du numérique sont-ils aussi les illettrés du numérique ?

Je sais déjà que le titre va faire bondir nombre de personnes de la génération Y (milieu des années 1980 jusqu’au milieu des années 1990) qui auront envie de me sortir un « OK boomer » mal placé, étant donné que je suis né pile dans la génération X, qui a succédé aux baby boomers.

Il est vrai que la génération qui n’a connu qu’un environnement numérique, elle est née avec le nouveau millénaire et qu’elle est agée au pire que d’une vingtaine d’années. Je parle des adolescents actuels, celles et ceux qui préparent leur examens de fin de secondaire ou ont été fraîchement diplomés depuis 2017-2018.

Ce qui me fait rire, c’est l’expression « natifs du numérique » comme si leur date de naissance leur donnait une connaissance infuse de tout ce qui est environnement numérique : réseaux (a)sociaux divers, écrans tactiles, ordinateurs classiques (même si on annonce leurs morts avec une régularité de pendule helvète). Comme si les personnes nées depuis l’an 2000 dès qu’elles sont en âge d’aller à l’école savent utiliser parfaitement les dits outils sans le moindre apprentissage. Ce qui est marrant… Et complètement déconnecté de la réalité.

En quoi poster des photos ou de courtes vidéos sur le dernier réseau (a)social à la mode fait de vous un expert ? Quid de la maitrise des informations qu’on laisse fuiter par accident ? Savoir se débrouiller avec un écran tactile ne fait pas de vous une personne experte en numérique, loin de là.

Est-ce qu’un gamin ou une gamine de 10 ans est capable de comprendre les implications liées à telle ou telle inscription ? Est-ce que le même gamin sera capable d’écrire un courrier électronique sans aucun apprentissage avec une main attachée dans le dos et un oeil caché ? Je ne le pense pas !

C’est pour cela que je parle d’illettrisme numérique, cette fausse impression de maitriser l’outil car on sait cliquouiller avec un doigt boudiné sur un écran au moment qui va bien à l’endroit qui va bien.

Sans oublier la simplification constante des interfaces graphiques sous prétexte de démocratisation. Oui, le point vieux con va sortir.

J’ai commencé l’informatique personnelle à la grande époque des ordinateurs 8 bits qui a connu des produits mythiques comme les ordinateurs TO et MO de Thomson, les Commodore VIC20/C64/C128, les Amstrads CPC. On avait juste une interface en mode texte – même si dès 1984-1985 avec Apple, Atari et Amiga le mode graphique apparait – où il faut se débrouiller pour lancer des programmes en utilisant des commandes cryptiques.

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Y en a marre de la pseudo-bienveillance…

Permettez-moi de pousser un petit coup de gueule, car il faut le dire, ça soulage. J’en ai ma claque des personnes qui balancent des « il ne faut pas critiquer l’orthographe des autres. Il ne faut pas critiquer la grammaire des autres ».

Je ne suis pas parfait dans ce domaine, mais je fais tout pour limiter la casse. Faire des efforts, comme c’est étrange 😉

C’est surtout quand on se retrouve avec des terminaisons de verbes au présent de l’indicatif avec « s » au lieu d’un « ent » plus correct. Ou encore des « Sa va » au lieu de « Ça va ». Des utilisations de l’auxiliaire être au lieu d’avoir dans les phrases, du genre : « j’est été à la plage cet été ».

Oui, ça me fait mal d’écrire phonétiquement, mais on peut trouver des trucs de ce style. Ma filleule qui entre en CM1 en ce mois de septembre 2020 commet ce genre d’erreurs, mais c’est pardonnable pour elle, elle est encore en pleine période d’apprentissage. C’est déjà moins pardonnable pour des personnes ayant quitté le cursus scolaire.

Vous pourrez me répondre : « oui, mais il y a des personnes dyslexiques et dysorthographiques ». Je suis d’accord, mais il n’y a pas des générations entières de personnes soit dyslexiques, soit dysorthographiques. Il ne faut pas se moquer du monde.

Si on arrive à 20% des élèves qui souffrent des deux problèmes en question, c’est le bout du monde. J’avoue que quand je vois certaines personnes écrire phonétiquement, j’ai les yeux qui saignent. Oui, je suis un grammar nazi. Loin d’être le pire de tous, rassurez-vous.

Cependant, j’essaye toujours de faire la différence entre une personne dyslexique et/ou dysorthographique, les personnes ayant mal été formées à l’origine et les personnes de mauvaise foi. Ce n’est pas évident.

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Pourquoi autant de haine envers AUR ?

Cela fait déjà 11 ans que je suis utilisateur d’Archlinux. En onze ans, je l’ai eu sur 3 machines différentes, pour une demi-douzaine d’installations successives en dur au final.

La dernière étant celle de mon PC fixe via Anarchy Linux. Installation qui a subi le passage du disque dur vers un nvme. Donc autant dire que l’installation a la peau dure.

Cependant, quand je vais sur des vidéos qui parlent d’Archlinux, que ce fussent les miennes quand j’étais encore sur Youtube, ou que ce soit sur des vidéos plus récentes, j’ai toujours la même rengaine qui veut qu’AUR soit la dernière des pourritures.

Je dois dire que ce genre de réflexion m’atomise les gonades. Oui, on en est plus bas que le niveau moléculaire. Si je prends la liste des paquets AUR de mon Archlinux, voici le résultat :


~ pacman -Qm
anydesk-bin 6.0.0-1
dosbox-x-sdl2 0.83.4-1
downgrade 8.1.0-1
flac2mp3-bash 1.0-7
gnome-shell-extension-appindicator 33-1
gnome-shell-extension-dash-to-dock 68+7+g8f1e968-1
gnome-shell-extension-easyscreencast-git 1.1.0.r6.g3252312-1
gnome-shell-extension-openweather-git r1088.7a9236a-1
imagewriter-git 20190501-1
it87-dkms-git 148.40bec4b-1
javacpc 1:2.9.8f-1
libreoffice-extension-grammalecte-fr 1.11.0-1
nerd-fonts-meslo 2.1.0-1
pamac-aur-git 9.5.7.r5.g647b30b-1
pcem-git r1575.9b737f6-1
qemu-arch-extra-git 11:5.1.0.r0.gd0ed6a69d3-1
qemu-git 11:5.1.0.r0.gd0ed6a69d3-1
ttf-ms-win10 10.0.18362.116-2
uuid 1.6.2-19
vice-svn r38378-1
xsane2tess 1.0-12
yay 10.0.3-1


~ pacman -Qm | wc -l
22
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Vive le « néo-rétro-gaming » !

Par ce néologisme, je parle de la production de titres ludiques pour des ordinateurs ou consoles techniquement obsolètes. Depuis le milieu des années 2010, j’ai constaté une multiplication de titres pour des vieux bousins digne des musées, entre autres pour les Amstrad CPC ou encore les Commodore Vic 20 et 64. Voire les vénérables ancêtres de nos PC comme la gamme XT sortie vers 1983 de mémoire.

Les titres sont variés, que ce soit des jeux de plate-formes comme « L’Abbaye des Morts », « Realms of Quest V » et « Vegetables Deluxe » chez Double Sided Games, « Red Sunset » d’ESP Soft, « The Curse of Rubinstein » de Stefan Vogt, ou encore « L’ile au trésor » pour ne citer des titres sortis que depuis 2019. J’allais oublier « Clevermind », mea culpa !

Il serait dommage que j’oublie aussi le duo « Planet-X2 » sur Commodore 64 et « Planet-X3 » sur PC pour MS-DOS dont j’ai déjà parlé sur le blog. Au point de faire un épisode « C’est trolldi, c’est permis » consacré aux pré-requis minimaux de « Planet-X3 ».

J’aurais pu aussi citer « The Shadows of Sergoth » sorti en 2018, mais vous avez un aperçu très léger de la scène du néo-rétro-computing. Le plus simple, c’est de suivre le site Indie Retro News qui est la bible dans ce domaine.

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EndeavourOS n’a pas à être le seul refuge des déçus de Manjaro !

Manjaro Linux est une excellente distribution, idéale pour certains débutants qui ont des connexions stables et de qualité. En clair, si vous avez une connexion en 4G, ce n’est pas pour vous.

Elle a ses défauts, comme des mises à jour parfois un peu grosse, mais elle casse très rarement. Sauf si vous jouez au con, comme toute distribution, par ailleurs.

Cependant, certains choix techniques lui ont fait s’aliéner des utilisateurs fidèles : le premier exemple qui me vient à l’esprit, c’est le support de ces cochoncetés inutiles sur une rolling release que sont les paquets universels.

Mes souvenirs sont vagues, mais déjà avec l’arrivée controversée de FreeOffice, en 2019 (?), certaines personnes du forum de Manjaro disaient : « y en a marre, on va se barrer sur EndeavourOS ».

Mais c’est l’annonce du départ en fanfare de Jonathan, un membre de longue date de l’équipe de Manjaro que l’afflux d’utilisateurs sur le forum d’EndeavourOS a été énorme.

Bryan Poerwoatmodjo, un des fondateurs du projet EndeavourOS s’est fendu d’un billet que j’ai traduit à l’aide de Deepl.com.

Je suis d’accord avec lui sur le fait que ce qui se passe chez Manjaro doit rester chez Manjaro. Que des personnes viennent, très bien. Mais il ne faut pas qu’elles se considèrent en terrain conquis juste parce qu’elles migrent – plus ou moins proprement – de Manjaro vers EndeavourOS.

C’est une migration comparable à celle d’une Ubuntu vers une Debian. Autant dire que le niveau d’outils facilitant l’administration au quotidien est plus faible. Sans vouloir jouer les cassandres, je pense qu’un quart des arrivants retournera sur Manjaro.

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Ah, le youtube Linuxien francophone fin juin 2020…

Il faut dire les choses comme elles sont, les chaînes actives et un tant soit peu suivie dans le monde linuxien francophone (en gros un minimum de 1000 abonnés) se comptent sur les doigts de la main. Les voici :

  • Blabla Linux (chaine généraliste) : 3 200 abonnés.
  • Xavki (chaine technique orienté administration système) : 11 300 abonnés.
  • Actualia (chaine généraliste) : 16 700 abonnés.
  • Adrien Linuxtricks (chaine généraliste plus orientée technique): 18 700 abonnés.

Et c’est tout. J’espère n’avoir oublié personne. Il y a bien quelques autres chaines, mais elles sont loin d’avoir atteint les symboliques 1 000 abonnés, donc elle ne compte pour presque rien au final, par rapport aux chaines poids lourd comme celle de Xavki, d’Actualia et d’Adrien.

Je dois dire que depuis mon départ vers Peertube.fr et Tux’n’Tube, j’ai gagné en terme de tension artérielle. C’est vrai qu’il y a moins de peuple sur ce service de publication de vidéo. Au moins, je suis certain de ne pas subir les emmerdements de la part d’ayants-tous-les-droits pour un extrait sonore de 5 secondes dans une vidéo qui fait 25 minutes 🙂

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Ah, le fantasme de la récupération des macistes déçus par le monde Linux…

Un rapide jus de cerveau suite à l’officialisation du passage des machines fruitées vers une architecture ARM. NextInpact a fait un excellent résumé auquel je vous renvoie.

J’avais exprimé mes doutes sur une telle migration dans un article écrit le 21 juin 2020 dans l’après-midi. J’exprime donc ici un mea-culpa. Surtout par rapport à ce paragraphe :

Vous imaginez que des grosses boites comme Adobe vont s’amuser à porter leurs logiciels phares qui sont des gouffres à calculs sur des puces ARM ? Je n’y crois pas trop.

Apparemment, Adobe est déjà en train de migrer le code… Je n’ose pas imaginer la complexité, surtout avec des puces plus connues pour leur sobriété énergétique. Apparemment, un kit de développement est disponible avec la puce ARM maison, ce qui veut dire qu’Apple ne veut plus dépendre à terme des caprices d’Intel. Une migration qui commencerait en 2021 après le lancement de MacOS 11.0 alias Big Sur.

Mais ce ne sera pas pour autant une aubaine pour le monde linuxien. Je pense que l’on aura encore une fois le schéma du 90-9-1 qui s’était appliqué lors de la mise à mort de MS-Windows XP, puis de MS-Windows 7.

En gros, il y a 90% des macistes historiques qui feront la grimace et iront tant bien que mal vers la nouvelle architecture, en espérant que les gains annoncés soit bien au rendez-vous. 9% se diront : bon, ça me fait mal au fondement, mais je pourrais toujours utiliser mon vieux mac intel pour y mettre un MS-Windows via Bootcamp et faire tourner mes logiciels professionnels qui y existent. Le dernier pourcent ira voir dans le monde linuxien si l’herbe y est plus verte.

Surtout que d’un côté on a un pré carré où tout est taillé à la serpe pour que rien ne dépasse (Apple) et de l’autre, le bordel monstre avec 250 distributions bureautiques, une dizaine d’environnements de bureau, etc… (Linux).

Si vous entendez des personnes vous dirent que c’est une aubaine pour le monde linuxien, ignorez-les. Et en 2023, fin de la période de migration des processeurs Intel vers ARM chez Apple, on verra bien si la part de marché de Linux a explosé… Ou pas !

Bienveillance, que de crimes l’on commet en ton nom !

Cela fait longtemps que j’ai envie de pousser ce coup de gueule. Je dois dire que j’ai pris du temps à le mûrir pour l’argumenter au maximum. Je sais très bien que certaines personnes vont me vouer aux gémonies en restant gentil.

Je vais commencer ce billet en rappelant une idée simple : quelle que soit votre apparence physique, votre milieu social, votre personnalité (au sens mental et psychologique du terme), votre spiritualité, il y aura toujours des personnes qui utiliseront une des composantes en question pour vous discriminer. Car il existe une vérité intangible : on sera toujours le con ou la conne d’une autre personne.

Cette vérité intangible étant désormais énoncée, attaquons-nous au coeur du sujet. J’en ai ma claque du « il faut être bienveillant les uns envers les autres ». Si dans le principe je suis entièrement d’accord, il ne faut pas tomber dans une forme de dictature de la bienveillance qui finit par aseptiser le langage.

Que ce soit dans le domaine informatique, où l’on voit fleurir des propositions pour remplacer des termes techniques comme le duo maître/esclave (les personnes qui ont connus les périphériques en IDE savent de quoi je parle), le duo liste blanche/liste noire, voire le duo carte mère et cartes filles (comme une carte son, une carte réseau, une carte graphique), j’ai envie de dire que l’on va trop loin dans le « polissage du langage ».

Je suppose qu’il doit y avoir dans tous les domaines techniques des expressions qui vont horripiler les spécialistes du « bien parler ». Spécialistes qui sont souvent encore dans le milieu estudiantin et qui veulent réinventer le monde, voire complexifier la langue française qui est déjà assez complexe. Si vous n’en êtes pas convaincu, je vous conseille de tester votre niveau sur le site du Certificat Voltaire.

Le français a un grand manque : il n’y a pas de forme neutre, comme le « it » anglais ou le « das » allemand. Déjà que les accords du participe passé sont assez complexes sans rajouter des formes complémentaires et difficile à lire… Mais revenons-en au sujet de l’article.

Vouloir lutter contre les discriminations, c’est normal. Mais en arriver à des extrémités comme censurer des pièces de théatre, comme cela fut le cas à la Sorbonne en mars 2019, il y a des limites à ne pas franchir.

Quand la lutte contre le racisme – du moins certaines de ces composantes – arrivent à faire interdire une pièce de théâtre écrite durant l’antiquité grecque, ça fait peur.

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Allez, au revoir, diaspora* et merci pour tout.

C’est la deuxième (??) fois que je quitte l’alternative la plus célèbre au fesseur de caprins. La première fois, c’était en 2012. Puis, j’avais attendu que Framasoft ouvre son pod pour retenter ma chance.

J’y suis retourné en octobre 2014, espérant que l’expérience serait meilleure. La mise à mort de Google Plus en avril 2019 avait amené un peu d’air frais, mais c’était retombé comme un soufflé trop cuit.

Je dois dire que je n’allais plus vraiment sur le pod framasphere* qu’une fois de temps à autre, pour y poster un lien, mais cela faisait des mois que je n’avais plus eu la moindre information un tant soi peu intéressante à mettre sous la souris.

Comme je l’avais écrit en 2014 :

J’ignore combien de temps j’aurais ce compte sur le pod de framasoft. Peut-être que l’aventure s’arrêtera dans une semaine ou dans trois ans. Pour tout dire, je m’en contrefous complètement.

J’ai donc franchi le pas cet après-midi. Il faut dire que l’article d’Arpinux m’a aidé à prendre conscience ce que je refusais d’admettre : on s’emmerde ferme sur diaspora*.

Bien pensé, le coup du chaton, mais mon compte est désormais fermé. Ce n’est pas pour autant que le fesseur de caprin me reverra en fanfare.

Si je dois y retourner, ce sera pour me tenir informé de ce qui n’est pas visible ailleurs. Dommage que le monde du libre qui aurait pu se démarquer sur les services – en dehors de l’excellent peertube – tombe dans les mêmes travers que les services classiques, en rajoutant une dose de « bienveillance » qui est une manière déguisée d’aseptiser les propos au final.