Arkaïa : clap de fin, deuxième ! :)

Le 15 avril, j’annonçais l’arrivée de la version papier de mon troisième roman « Les enfants de la Nouvelle-Arkaïa ».

Désormais, la version numérique est disponible en epub, mobi et pdf. Voici les captures d’écran du livre dans Calibre. Cela vous donne un ordre d’idée du nombre de pages de chaque version.

Version ePub :

Version mobi :

Il coûte 5,99€, ce qui n’est pas excessif vu le nombre de pages. (Liste non exhaustive, je complèterais la liste au fur et à mesure des publications.

Sans DRMs :

Atramenta : http://www.atramenta.net/ebooks/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia/325

Librairies Dialogues : http://www.librairiedialogues.fr/livre/8293317-les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-arkaia-tome-3-frederic-bezies-atramenta

Feedbooks : http://fr.feedbooks.com/item/1202490/les-enfants-de-la-nouvelle-arka%C3%AFa

EPagine : http://www.epagine.fr/ebook/9789522736000-les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-frederic-bezies/

Librarie Immatériel : https://www.7switch.com/fr/ebook/9789522736000/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia

Avec DRMs :

Amazon : http://www.amazon.fr/enfants-Nouvelle-Arka%C3%AFa-Arka%C3%AFa-3-ebook/dp/B00W579RN2/

Kobo : https://store.kobobooks.com/fr-FR/ebook/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia

Booken : https://www.bookeenstore.com/ebook/9789522736000/les-enfants-de-la-nouvelle-arkaia-arkaia-tome-3-frederic-bezies

Fnac : http://www4.fnac.com/livre-numerique/a8281176/Frederic-Bezies-Les-enfants-de-la-Nouvelle-Arkaia

Debian GNU/Linux Jessie à moins d’une semaine de sa sortie : un aperçu rapide.

La Debian GNU/Linux Jessie alias 8.0 doit sortir le 25 avril 2015. C’est peu de dire que son histoire a été mouvementé, surtout avec le passage vers le détesté systemd qui a entrainé la naissance d’un fork, Devuan. Inutile de revenir sur les raisons du fork, elles ont été largement abordé sur la toile, et font passer la communauté linuxienne pour une cours d’école maternelle qui serait en train s’écharper pour une malversation en terme de répartition d’un sachet de sucreries.

Cet article vient en complément d’un autre écrit en octobre 2014, un mois avant que le gel de la Debian GNU/Linux Jessie ne soit effectif.

Bref, parlons donc d’une des plus vieilles distributions binaires GNU/Linux encore vivante, avec la Slackware Linux et la « Microsoft » du domaine, j’ai nommé Red Hat. J’avoue que j’ai quelques doutes pour une sortie aussi proche. En effet, au moment où je rédige cet article, le 19 avril 2015, la page qui permet de suivre le nombre de bugs bloquants restants avant la publication de la nouvelle version est assez haut : 66 !

Néanmoins, j’ai voulu voir ce à quoi ressemblait cette version qui a fait couler autant d’encre életronique. J’ai donc récupéré la dernière ISO de la version testing disponible au 19 avril, donc la future Debian GNU/Linux Jessie. Elle est datée du 13 avril 2015.

Pour des raisons pratiques, j’ai choisi la version installable via le réseau. Cela me laisse le choix de l’embarras ou l’embarras du choix pour l’environnement à installer. Sans oublier que j’aurais directement les derniers paquets disponibles !

Après quelques minutes de réflexion, j’ai décidé de garder l’environnement par défaut de la Debian GNU/Linux Jessie, à savoir Gnome. Au moins, en gardant les options par défaut, je serais certain d’avoir l’expérience comme celle définie par les développeurs de la distribution.

Mon ami VirtualBox me servira d’environnement pour la suite de l’article.

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En vrac’ rapide et plus ou moins libre.

En cette fin de semaine, un en vrac’ rapide et partiellement consacré au libre.

Dans le domaine du non-libre, quelques liens en vrac.

C’est tout pour aujourd’hui !

Arkaïa : clap de fin, première ! :)

Il y a presque un an, je publiais un premier article sur le premier tome de ma trilogie de science fiction dystopique, « Arkaïa », en duo papier et électronique.

Comme je le précisais dans l’article à l’époque :

[…]En juin 2012, sur les conseils d’une personne que je tiens à remercier, j’ai repris la rédaction de l’histoire qui était resté en plan durant une douzaine d’années. De 100 pages que je comptais rédiger à l’origine, je suis arrivé à plus de 300 en l’espace de huit long mois d’écriture, uniquement effectué sur mon temps libre.[…]

En octobre 2014, c’était au tour du tome 2 de voir la lumière du jour, sous le nom « Chroniques de la Nouvelle Arkaïa », toujours en version papier et électronique. Je dévoilais un peu la réalité du projet qu’avait représenté l’écriture de la trilogie.

[…]Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre.[…]

Un an après la sortie du premier tome, la fin de trilogie est enfin disponible. Comme pour le deuxième tome, j’ai mis environ 4 à 5 mois à l’écrire sur mon temps libre. Il est vrai que je m’astreignais à une certaine discipline. Le premier tome avait été écrit entre juin 2012 et février 2013, le tome 2 entre mars et juin 2013, le dernier tome entre juillet et octobre 2013.

C’est donc un projet lancé il y a près de trois ans qui arrive à sa fin. Avec « Les Enfants de la Nouvelle Arkaïa », je termine cette mini-saga.

Pour le moment, la version électronique est en cours, et dès qu’elle sera disponible, je la rajouterai à cet article. Voici donc le quatrième de couverture du dernier roman de ce projet que j’aurai porté durant des années avant d’avoir la maturité nécessaire pour l’écrire.

Depuis la fin de l’histoire racontée dans « Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », huit années sont passées. Sally vient de fêter ses trente ans. Comme Marc, Isabella, Lauryana, Lucas ou encore Jonas, c’est une enfant de la Nouvelle-Arkaïa.

Petit à petit, les jeunes générations prennent le pouvoir dans la Nouvelle Arkaïa, laissant la génération fondatrice finir ses jours tranquillement, ou presque.

Dans cet ultime tome de l’histoire d’Arkaïa, partez donc à la découverte de la vie des « Enfants de la Nouvelle Arkaïa ».

Le plus important dans ce projet a été pour moi, en dehors de raconter une histoire, d’arriver à produire un long texte et d’avoir la possibilité d’être lu pour d’autres textes que ma prose, parfois acide, sur ce blog. C’était aussi pour me prouver que j’étais capable de le faire.

Une suite ou une préquelle ? J’avoue que j’en sais rien. Quand on passe 18 mois avec des personnages, on finit par s’attacher à eux. Mais j’ai envie de tourner la page du projet Arkaïa qui a été une grande source de travail d’écriture, de réflexion et d’imagination.

« Lacus Somniorum » d’Alwaid : un premier LP prometteur.

S’il y a un genre musical remuant que j’apprécie vraiment, c’est le metal symphonique. Surtout quand celui-ci propose le mélange chant clair féminin avec du chant guttural masculin. Le groupe lillois Alwaid correspond à cette description. Le premier LP du groupe, « Lacus Somniorum » est sorti en 2014.

Quand je l’ai écouté pour la première fois, j’avais d’autres albums en écoute, dans d’autres styles. Et puis s’est tombé au moment où j’ai récupérer le premier lot d’échantillons de titres du festival pour le festival SXSW 2015. Ensuite, la vraie vie est intervenue pour retarder l’achat que je comptais faire ! Méchante vraie vie ! 🙂

Stéphane Gallay en a parlé sur son blog, après que je lui ai fait connaître.

L’ensemble est de très bonne facture pour qui aime les classiques dans ce domaine. La durée est plus qu’honnête, surtout quand on sait qu’il y a 10 titres.

Le premier titre est une très bonne mise en bouche. D’ailleurs, pour moi, l’album monte en puissance sur les 3 premiers titres.

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Osons exprimer un point de vue critique sur ElementaryOS.

S’il y a bien une distribution GNU/Linux qui sait profiter du bruit médiatique à la sortie d’une version intermédiaire ou finale, c’est ElementaryOS. Sa version 0.3 alias Freya est sortie le 11 avril, presque un an et demi après sa version 0.2, Luna en août 2013.

Sortie près d’un an après la Ubuntu 14.04 LTS qui lui sert de base technique – qu’elle modernise partiellement (spécialement au niveau du noyau employé) – c’est une distribution qu’on pourrait résumer par le principe « L’apparence est reine ».

Peu importe si pour cela, on se retrouve avec des logiciels non finis, comme le client courrier Geary, le gestionnaire de fenêtre Pantheon (écrit en vala et en GTK3) ou encore le logiciel de gestion de photos, qui est un fork de Shotwell. Que dire du logiciel Musique ?

La seule fois où j’ai parlé de la elementaryOS Freya, c’est à l’époque de sa béta 1 en août 2014. J’écrivais à l’époque
:

[…]On sent que l’ambition derrière ElementaryOS dépasse vraiment les possibilités de l’équipe de développement. La volonté de réinventer la roue et de proposer des logiciels respectant à la lettre les fondements graphiques d’ElementaryOS montre que c’est un chantier énorme, pour ne pas dire gargantuesque.

A trop vouloir bien faire, on finit par mal faire. Musique en est l’exemple flagrant. C’est un logiciel encore beaucoup trop jeune pour être proposé à une utilisation grand public, vu les manques flagrants qu’il a : pas de surveillance de la bibliothèque musicale, pistes rangées par ordre presque aléatoire.[…]

Je suppose que Musique a du faire des progrès entre temps, mais pour tout dire, je n’ai pas envie de tester cette version finale de la elementaryOS.

Pourquoi ? Pour une raison qui me fera passer pour un linuxien ayant un caractère plus que porcin : la politique pour financer la distribution. Car sans argent, difficile de payer des développeurs à plein temps sur une distribution. La page de téléchargement est suffisamment parlante pour expliquer mon point de vue.

Je ne suis pas contre l’idée de donner pour aider une distribution. Mais je ne veux pas avoir l’impression de me faire tordre le bras. Car la page comporte trois erreurs.

  1. Elle laisse penser qu’il faut payer pour récupérer l’ISO de la distribution
  2. Le bouton par défaut est celui de 25$
  3. Le bouton « autre » n’est pas pas parlant. Un « Donnez ce que vous voulez » serait plus parlant

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« Tensions à bord », le septième tome de Rossetti & MacLane : une série qui se bonifie en vieillissant.

Je ne suis pas un grand fan des romans policiers, mais la série de Jérôme Dumont, « Rossetti et MacLane » m’a réconcilié en partie avec ce genre. Outre le fait qu’il y a une enquête, les intrigues secondaires permettent au lecteur de respirer et de se demander : comment l’auteur va se débrouiller pour reconnecter toutes les intrigues d’ici la fin.

Après le très bon « Scoumoune Niçoise » où Gabriel se prenait un chargement de tuiles sur le crâne, cette fois, c’est en plein océan atlantique que la poisse poursuit Gabriel, son épouse et leurs amis.

Ayant décidé d’aller à New York sur le Queen Mary 2 et de profiter d’une croisière de rêve, celle-ci se transforme dès la soirée d’ouverture de la croisière en catastrophe.

À croire que la faucheuse ne semblent pas vouloir se séparer de Gabriel Rossetti.

Dans ce huis-clos maritime, Jérôme Dumont a pris un énorme plaisir à « torturer » ses personnages. Le truculent avocat pénaliste Robert Martinez, Amandine MacLane et son cerveau toujours en ébullition, nous entraine dans une histoire aux multiples ficelles où l’être humain montre parfois ses pires travers.

J’ai dévoré le livre en l’espace de quelques heures, car le récit est addictif. La fin du livre peut laisser penser que Jérôme Dumont prépare quelques vacheries pour le tome 8.

Si vous voulez vous procurer le livre, il y a l’option de l’acheter sur Amazon ou sur l’espace IggyBook de l’auteur.

La beauté, c’est vraiment relatif… Spécialement en informatique libre :)

La beauté est une notion toute relative, spécialement en informatique libre avec le thème d’icone aplatie en cette année 2015. Mais je ne vais pas revenir sur des icones qui ressemblent à des dessins de maternelle mal finis. Non, je vais parler dans cet article d’une énième dérivée de la Xubuntu LTS, j’ai nommé BellaOS.

Addition toute fraiche à la liste des distributions indexées sur Distrowatch (elle fait donc partie des 290 distributions encore vivantes), la BellaOS est pour schématiser une Xubuntu à laquelle on aurait rajouté Plank (le dock du projet ElementaryOS), avec le menu Whisker, Banshee, un fond d’écran à la MacOS-X.

La version 2.2 du projet a été annoncé récemment sur la page d’accueil de Distrowatch. Elle ne semble exister qu’en 64 bits. Je l’ai donc récupéré depuis l’espace sourceforge. Apparemment, c’est aussi la première version disponible en téléchargement.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
–2015-04-11 14:34:08– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bellaos/BellaOS-2.2_64bit/Bella-OS-2.2-64bit.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1649410048 (1,5G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Bella-OS-2.2-64bit.iso »

Bella-OS-2.2-64bit. 100%[=====================>] 1,54G 2,52MB/s ds 10m 52s

2015-04-11 14:45:00 (2,41 MB/s) — « Bella-OS-2.2-64bit.iso » sauvegardé [1649410048/1649410048]

J’ai ensuite lancé VirtualBox pour voir cette énième dérivée de Xubuntu LTS en action.

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Bon anniversaire, Destinations Passions !

Quand il m’arrive de parler de la blogosphère francophone, c’est que je me préoccupe souvent de sa « portion » libriste qui comme l’a souvent fait remarquer Cyrille Borne a tendance à se réduire à une peau de chagrin.

Dans le domaine de la culture, il n’y a que peu de blogs que je suis régulièrement, et celui d’Agnès en fait partie. En ce 9 avril 2015, son blog fête ses trois ans, et c’est pour moi l’occasion de lui souhaiter un bon anniversaire.

Tenir un blog consacré à la culture, ce n’est pas si évident. Comme les blogs geek, la pression des éditeurs est forte, et garder son indépendance, ce n’est pas évident. Agnès a réussi, et c’est tout à son honneur.

Pour les trois ans de son blog, elle propose un billet « cadeaux » dont les détails sont alléchants.

Tout ce que je souhaite à Agnès c’est que dans un an, elle puisse souffler une bougie supplémentaire ! 🙂

La bureautique libre ne se limite pas à LibreOffice, petit article pratique.

Les outils de bureautique libre ne se limite pas à LibreOffice, même si celui-ci s’est imposé au fil des mois comme l’outil incontournable. Il y a au moins deux suites bureautiques libre, et un duo qui permet de remplir les fonctions classique de traitement de texte et de tableur. On m’a fait la remarque que je ne parlais que de LibreOffice, donc acte !

J’ai nommé Apache OpenOffice, Calligra et le duo Abiword plus Gnumeric.

Commençons par Apache OpenOffice. Remontons au début des années 2000. À l’époque, vouloir faire de la bureautique libre relevait de la gageure. En mai 2002, Sun Microsystems, acquéreur de la suite bureautique StarOffice, propose la version 1.0 d’OpenOffice.org, dont le code est publié sous licence libre.

C’est à l’époque une bouffée d’air frais, même si on est très loin du mastodonte qu’est MS-Office 2000, en terme de qualité ou de compatibilité. Les années passent, les versions 1.x et 2.x d’OpenOffice.org aussi. Oracle rachète Sun Microsystems en 2009 et la communauté du libre se dit, non sans raison : ça empeste le sapin pour OpenOffice.org sur le long terme.

En effet, en avril 2011, trois mois après la sortie d’OpenOffice.org 3.3.0, Oracle annonce qu’il arrête les frais. Le code est alors forké et LibreOffice naît. Il prend rapidement de l’ampleur. Néanmoins, le code détenu par Oracle et qui avait été forké est donné à la fondation Apache.

Ce qui donnera naissance en mai 2012 à la version 3.4 d’Apache OpenOffice. La version la plus récente est la 4.1.1, sortie en août 2014. Même si les deux suites sont compatibles sur le plan des documents, chacune vit sa vie. Le retard pris par Apache OpenOffice au démarrage lui est dommageable. Il n’est que rarement proposé par les distributions GNU/Linux.

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