Cela fait bien maintenant trois ans que j’ai commencé à m’intéresser au rétro-ludique, les délires libristes me lassant un brin et me gonflant avec une régularité d’horloge helvétique. Je n’avais pas envie de contracter un ulcère avant d’avoir atteint mes 50 ans.
Maintenant que j’ai atteint le demi-siècle, je n’ai cependant pas trop envie de contracter un ulcère et c’est la raison pour laquelle je passe mon temps libre à écrire – quand l’inspiration veut bien se pointer – ou à rétro-geeker.
J’ai fini par acquérir certains réflexes. Si j’ai besoin d’émuler :
- Un Commodore 8 bits, c’est avec Vice
- Un Amstrad CPC, c’est soit RetroVirvualMachine, soit Caprice32
- Un PC sous MS-DOS ? C’est Dosbox-X
- Un ZX Spectrum ? C’est soit Zesarux, soit RetroVirtualMachine, soit Fuse
- Un Atari 8 bits ? C’est avec Atari800
N’étant pas branché rétroludique 16 bits, je n’utilise quasiment jamais des jeux pour Atari ST/Falcon ou Commodore Amiga.
Il est vrai que je peux parfois me faire plaisir avec un vrai Commodore 64, en utilisant une interface SD2IEC pour charger certains jeux sur un vrai Commodore 64. Il ne me manque qu’une cartouche Kung Fu Flash pour charger tranquillement les jeux au format cartouche comme ceux de la série des « Briley Witch Chronicles » par exemple.
J’ai aussi un vieux PC qui me sert pour les jeux MS-DOS, même si j’ai un mal de chien à faire fonctionner le beeper, mais je ne désespère pas d’y arriver. C’est aussi la plateforme la plus laxative, surtout quand on doit se faire des menus spécifiques pour charger X ko de mémoire EMS ou XMS ou je ne sais plus quelle abréviation barbare.
Au moins avec mon Commodore 64, je branche l’interface SD2IEC, la cartouche de chargement rapide de disquettes et vogue la galère.
Tout n’est pas parfait dans le monde rétroludique, mais j’évite les concetés de querres intestines qui pourrisse la vie du libriste moyen.