Il faut savoir rester réaliste et s’arrêter au meilleur moment :)

Désolé pour les personnes n’étant pas intéressées par les billets sur l’auto-édition, mais cette fois, c’est un billet qui ne parlera d’aucun lobby sur le réseau à l’oiseau bleu. C’est juste une note de passage.

Je précisais dans un article du 6 novembre 2016 ceci :

[…]
Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.

Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂

Sur ce plan, rien n’a changé. J’ai aussi récemment posté le brouillon terminé à 75% (en ce 30 novembre 2016) de la première partie d’un projet de trois « tomes » qui traîne dans les méandres de mon cerveau depuis 1995. Oui, plus de 20 ans, c’est long 🙂

Comme je l’ai précisé dans un billet « en vrac' » du 19 novembre 2016 :

[…]
Un peu d’autopromotion : je viens de mettre en ligne un projet en cours de rédaction qui normalement devrait être finalisé pour février 2017. Son nom ? « Trois femmes : Marie ». Oui, ce sera un texte un peu plus romantique que mes précédentes productions 🙂
[…]

J’espère arriver à tenir le rythme, et normalement, pour février 2017, il sera disponible en accès libre sur Atramenta et à 0,99€ sur Amazon. Soyons fou, osons demander un prix démesuré 😉

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Ah, les distributions GNU/linux parfaites… :)

Je le savais, je n’aurai pas dû faire le billet sur la distribution au caméléon. Les commentaires ouverts jusqu’au 27 novembre 2016 sont une incitation à vider un champ de maïs entier pour en faire du pop-corn.

Je me doutais que j’allais ouvrir la boite de Pandore – toute proportion gardée bien entendue – mais je ne pensais pas que cela irait aussi loin.

Donc, tout en écoutant du métal industriel russe – oui, ça existe – et en me tâtant de manière symbolique sur l’achat du dit album, je rédige ce billet alors qu’il reste en ce dimanche 20 novembre 2016, une grosse semaine d’ouverture de commentaires.

Mais j’ai eu envie de faire un petit billet qui sera qualifié de troll par mes détracteurs et de reflexion intéressantes par les autres personnes. Sans vouloir m’avancer, donc une proportion de 80/20 en faveur de mes détracteurs 😉

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Un dernier jus de cerveau en passant sur l’auto-édition…

J’avoue bien aimer l’expression jus de cerveau qui est quand même plus classieuse et moins vulgaire que celle de masturbation intellectuelle. Même si le résultat est au final le même. C’est Woody Allen qui en parle le mieux dans son film oscarisé « Anny Hall » : « Hé! Ne te moque pas de la masturbation! C’est faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime… »

Promis, juré, craché, c’est le dernier sur ce domaine, étant donné que mon domaine de prédilection est l’informatique libre. Du moins, c’est ce qu’on pourrait en déduire 🙂

Comme je l’ai précisé dans un en vrac’ récent, j’ai sorti sur Atramenta – et peut-être un jour cela sera disponible sur Amazon et compagnie – la version finalisée d’un texte entamé en janvier 2016.

Ajout au 20 novembre 2016 : il est aussi disponible au prix de 0,99€ sur Amazon. Soyons fous 🙂

Oui, dix mois, c’est long pour un texte d’une quarantaine de pages au format A4. Mais la vraie vie étant intervenue, la rédaction de mes chroniques acides qui me prend du temps. Sans oublier une formation professionnelle que je me suis financé et qui m’a bouffé pas mal de temps libre.

Autre point à ne pas oublier, c’est un texte dans un domaine que je ne maîtrise pas vraiment, le fantastique. Même mon livre uchronique qui a été descendu en flamme par un commentaire qui empeste la vendetta à 15 kilomètres a été une épreuve pour moi à écrire.

Bref, je suis un auteur pour le plaisir, pas dans le but de mettre « un steak » dans mon assiette 🙂

Par chance, je ne suis pas rancunier, et je sais, en personne intéressée par le Bouddhisme, qu’on récolte toujours ce que l’on sème, aussi bien en bon qu’en mauvais. Ce sont d’ailleurs les premiers versets du Dhammapada qui en parle le mieux 🙂

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Écrire via l’auto-édition ? Oui, mais pour la passion avant tout !

Si j’avais sorti ce court billet un vendredi, on aurait crié au troll. Même un autre jour d’ailleurs !

Je compte bientôt publier – ou j’aurais publié – un court texte d’une quarantaine de pages (au format A4). Un projet qui traine sur mon disque dur et accessoirement sur la plateforme d’autoédition indépendante Atramenta depuis début janvier 2016. J’y reviendrai dans un billet dédié.

Au moment où je rédige ce billet, j’ai une machine virtuelle pour un article « projet fou du logiciel libre » qui mouline du vieux code source. Si tout se passe bien, j’aurai un superbe billet geek jusqu’au bout des ongles à présenter. Mais fermons cette parenthèse, et revenons à l’écriture.

Si j’ai mis un de mes textes directement sur Amazon en me débrouillant pour le rendre gratuit – pour une fois que la Fnac m’a été utile ! – c’est pour le plaisir de partager. Je sais très bien que pour gagner un tant soit peu d’argent avec l’écriture, il n’y a que deux possibilités : soit être journaliste (ou pigiste), soit être sous contrat temporaire ou long terme avec une maison d’édition.

Dans le deuxième cas, le plus gros des gains, ce sont les avances. Ce n’est pas avec les 4% – en moyenne – du prix hors taxe qu’on arrive à accumuler des droits d’auteur au point de pouvoir se payer un appartement dans le XVIe arrondissement de Paris 🙂

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Quand l’art du troll de qualité se perd, on n’a plus que nos yeux pour pleurer.

Je pensais bêtement pouvoir consacrer mon samedi matin – et le reste de mon week-end – à des activités plus agréable que pousser une énième gueulante sur la bétise humaine. Sur mon article consacré à la MX-16, l’inutile et éternelle guerre des init a repris de plus belle, avec le commentaire du « vilain gros minet » (qui est un pseudo aussi développé que le contenu qui a suivi) et que je recopie verbatim :

sic :
« qu’un système d’init fasse le travail qu’on lui demande »
donc systemd, qui en fait plus et trop , et pas mieux, qui n’est pas un système d’init, mais le prend en charge en s’imposant sous l’aspect « pratique » , un peu du microsoft quoi …
et vous direz quoi quand ses devs le sortiront de la licence libre ?

Il faudra me dire quel logiciel en LGPL est passé sous une licence non-libre. J’avoue qu’en 20 ans de présence plus ou moins prononcée dans le monde du logiciel libre, je n’en vois pas des masses. À moins que je sois d’une inculture crasse ?

J’y reviendrai un peu plus loin. En attendant, j’ai envie de citer le chapô d’un article concernant la Refracta 8.0, une dérivée du fork plus idéologique que technique de la Debian, j’ai nommé la Devuan.

There are probably some people living in the world today who still haven’t heard of systemd, though I doubt that any of them read DistroWatch. More digital ink has been spilled debating the topic of init systems than any other in techie history. There is probably nothing I can say about systemd that hasn’t already been said, and no argument either for or against it that hasn’t been repeated ad nauseum. So I won’t waste this review seeking converts for The Cause™. I don’t expect the issue to be finally settled until the Sun swells up to become a red giant and evaporates the Earth.

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Ah, la dé-GAFAM-isation… Plus facile à dire qu’à faire :(

Le but d’une personne voulant être aussi libre que possible sur le grand nain ternet, c’est de ne pas dépendre des GAFAM. Donc de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.

Pour trois noms de la liste, je n’ai aucune dépendance : Apple (ayant un vieux PC de 6 ans et des bananes), Microsoft (étant utilisateur de logiciel libre depuis plus de 10 ans mono-démarrage) et Facebook (n’ayant pas de compte chez eux).

Oui, je suis un mauvais libriste, j’ai un compte sur Amazon. J’ai une Kindle vieille de 5 ans qui me convient parfaitement. Si je veux lire des livres électroniques que je déplombe à chaque fois qu’un d’entre eux est menotté par des DRM, j’ai aussi l’option de passer l’application de lecture de ma tablette Android (et merdre, c’est du Google).

Pour Google et sa galaxie de produits, il est difficile de ne pas en utiliser un. J’ai plusieurs comptes google mail, dont le plus vieux a 11 ans. Difficile de mettre à la poubelle un compte de courrier électronique aussi vieux.

Mes autres dépendances ? Google Music pour accéder à ma musique quand je suis en déplacement, Google Photos pour une partie des photos que j’utilise pour mon blog. Youtube pour les vidéos, Dailymotion n’étant pas une alternative viable à mes yeux. Et bien entendu Android pour mon téléphone portable et ma tablette.

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Qui peut encore croire au mirage du linux sur le poste bureautique ?

Note préliminaire ajoutée le 20 octobre : commentaires clos avant l’heure, le débat tournant à la politique de caniveau.

Derrière cette question il y a un constat qui fait mal. Linux – métonymie pour les termes distribution GNU/Linux – est présent partout, sauf sur l’élément le plus important pour donner un visage visible au logiciel libre, le poste de travail bureautique.

Dans un article sobrement intitulé « La révélation », Cyrille Borne nous déclare :

[…]Nous sommes en train globalement d’écrire tous la même chose, on est en train d’assister à une radicalisation du propos du peu de communauté libre francophone restant avec une propension à faire fermer la gueule de son voisin qui aurait le tort d’exprimer une opinion contraire.

L’idée de ce billet n’est même pas de constater ceci, mais c’est tout simplement autre chose. Le point commun entre Cascador, Fred, Alterlibriste, Iceman et moi-même, c’est que nous sommes tous globalement mariés, pères de famille, la quarantaine ou pas loin, que nous sommes actifs et que notre quotidien n’est pas nécessairement fait d’informaticiens. Je peux vous garantir que de graviter au quotidien dans une sphère non technophile, ça change tout. On ne parle pas d’informatique de peur de passer pour un martien, on ne parle pas d’informatique car on ne veut pas ennuyer les gens avec des sujets qui ne les intéressent pas, on considère l’informatique comme ce qu’il est, un outil, pas une philosophie.[…]

J’ai eu déjà l’occasion de parler de ce sujet dans un billet récent sur lequel je ne reviens pas, mais qui montre l’aveuglement – et je serai traité de troll de service comme le précise justement Cyrille dans son article – d’une partie de la communauté mondiale du logiciel libre. Difficile de regarder les choses en face quand on se masque les yeux.

Pour cette partie de la communauté mondiale du logiciel libre, rien ne compte plus que le code et rien que le code. Et les humains, c’est quantité négligeable ? Ou les développeurs en question sont-ils dans un monde où la majorité des utilisateurs sont des technophiles, à l’opposé complet des utilisateurs d’informatique dans la vie courante ?

Fréquentant des « michus » au quotidien, même si je sais qu’une distribution GNU/Linux conviendrait à la plupart de leurs besoins, je n’en parle pas. Par égoïsme ? Non. Simplement car je sais que l’immaturité de certains logiciels clés sera un facteur de retour vers MS-Windows. Aussi car je veux conserver un minimum de temps libre pour me consacrer à mes autres passions comme l’écriture. Ben quoi, c’est mal d’avoir d’autres centres d’intérêt que l’informatique ? 🙂

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Le libre choix du prix, un piège à terme pour l’auto-édité(e) sur Kindle et Kobo ?

Alors que je suis en train de me régaler avec les oeuvres d’Olivier Saraja ou le premier livre d’Arnaud Codeville, j’ai constaté, après une remarque d’Agnès de Destination Passions, un lent glissement du prix du livre électronique. De la norme 0,99€, on semble glisser lentement vers une généralisation du 2,99€.

Après une réflexion rapide, j’ai enregistré la vidéo ci-dessous qui explique partiellement le glissement vers le prix de 2,99€, quelque soit la longueur de l’oeuvre proposée.

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De l’immaturité d’une partie de la communauté mondiale du logiciel libre…

Cela faisait longtemps que je n’avais pas exprimé mon exaspération envers une partie de la communauté mondiale du logiciel libre.

C’est une nouvelle fois l’occasion pour moi de passer pour le connard de service, mais je m’en contrebats les steaks. Il faut dire les choses comme elles sont : une partie non négligeable de de la communauté mondiale du logiciel libre est plus qu’immature, et / ou bloquée une dizaine d’années en arrière.

Je ne vais pas revenir sur la liste sans fins des guerres techniques comme celle des systèmes d’initialisation, de Gnome contre KDE contre Xfce contre Cinnamon, de celle de Vi contre Emacs et autres guerres qui n’intéresse qu’une minorité de technopĥiles.

Si je devais prendre un parallèle parlant pour les personnes ayant un minimum de culture musicale, cela reviendrait à nous refaire la guerre des Rolling Stones contre les Beatles dans les années 1960. Voyez le niveau d’utilité des dites guerres. Si tant est qu’une guerre puisse être utile.

Non, ce qui m’exaspère le plus, c’est les attaques sous la ceinture contre une distribution qui a aidé une partie non négligeable des linuxien(ne)s actuel(le)s a migré vers Linux pour le long terme. Oui, je parle de la distribution de Canonical.

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PCLinuxOS 2016.07 – Mate édition : faut-il redéfinir le terme de rolling release ?

J’ai été contacté pour me demander de faire un test sur la PCLinuxOS. Je connaissais cette vieille dérivée de la Mandrake ou déjà Mandriva Linux. Rolling release, elle propose – au moment où je rédige cet article, début octobre 2016 – trois versions principales : une basée sur un KDE 4.x allégé, une autre avec un KDE 4.x ultra complet et une version avec Mate-Desktop.

Il n’existe qu’une préversion basée sur Plasma, et comme je voulais une image ISO légère, j’ai récupéré depuis l’adresse miroir http://ftp.heanet.ie/pub/pclinuxos/pclinuxos/live-cd/ la version Mate sortie en juillet 2016.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://ftp.heanet.ie/pub/pclinuxos/pclinuxos/live-cd/64bit/pclinuxos64-mate-2016.07.iso
–2016-10-06 13:48:26– http://ftp.heanet.ie/pub/pclinuxos/pclinuxos/live-cd/64bit/pclinuxos64-mate-2016.07.iso
Résolution de ftp.heanet.ie (ftp.heanet.ie)… 2001:770:18:aa40::c101:c140, 193.1.193.64
Connexion à ftp.heanet.ie (ftp.heanet.ie)|2001:770:18:aa40::c101:c140|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1214251008 (1,1G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « pclinuxos64-mate-2016.07.iso »

pclinuxos64-mate-20 100%[===================>] 1,13G 2,10MB/s in 7m 46s

2016-10-06 13:56:15 (2,48 MB/s) — « pclinuxos64-mate-2016.07.iso » sauvegardé [1214251008/1214251008]

Je comptais faire faire un article classique, avec sa vidéo, mais je ne la ferai pas. Pourquoi ? Pour une série de raison que je vais développer, capture d’écran à l’appui. L’installateur est fonctionnel, c’est celui jadis utilisé par la Mandrake ou Mandriva (?) Live, première capture d’écran à l’appui.

Avec un nom comme « DrakLive install », le doute n’est pas permis 🙂

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