En vrac’ de fin de semaine.

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • George Orwell connu pour son roman dystopique « 1984 » ou encore pour des romans comme « Hommage à la la Catalogne » et « La ferme des animaux » va entrer dans la collection de la Pléiade.
  • Prenez une enquête policière, deux photos et une vieille pièce italienne découvertes dans le coffre fort d’un vieillard sans histoire et vous aurez « Bien paraître » de Sébastien Mayoux qui m’a été conseillé par Agnès de Destination Passions.

Dans la série, « on continue la longue quête des longplays pour Planet-X3 » déjà évoquée dans cet article, en voici un nouveau, le sixième, consacré à la carte « 2nd Strike ».

Bon week-end 🙂

Presque trois semaines sous Gnome 3.36.x, un premier bilan rapide.

Dans un article du 8 juin 2020, j’expliquais dans les grandes lignes que je revenais sur Gnome après plusieurs années passées sous Xfce puis Mate. J’avais envie de faire un petit billet après trois semaines d’utilisation de Gnome.

Je concluais l’article du 8 juin 2020 ainsi :

J’ignore combien de temps je vais rester sous Gnome. Est-ce que cela va être une semaine, deux mois, voire un an. Seul l’avenir le dira. Au moins, on ne pourra pas me critiquer sur ma volonté de changer tous les trois jours d’interface graphique 😉

Mon installation n’a que peu bougé, et côté extension, je suis passé par « AppIndicator/KStatusNotifierItem support for GNOME Shell » pour avoir une zone de notification dans la barre supérieure. C’était le seul gros manque de mon installation. Un commentaire signé par TL;DR m’a aiguillé sur ce point précis.

Je n’ai pas ressenti le besoin de faire marche arrière pour le moment, et je suis 99,9% du temps avec Wayland. L’extension EasyScreeCast m’a sauvé la mise pour l’enregistrement de vidéo sous Wayland, que ce soit en plein écran qu’en mode fenêtré, comme avec le trolldi épisode 69 sorti le 26 juin à minuit. Ben quoi, j’ai bien le droit de me faire un peu de publicité, non ? 🙂

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Vieux Geek, épisode 215 : PC-Task, l’émulateur de PC pour Amiga.

Quand j’étais utilisateur d’un Amiga 1200 dans les années 1993-1995, il y avait un logiciel qui était un peu spécial, car il permettait d’émuler un PC. Son nom ? PC-Task. Cependant, il ne fallait pas s’attendre à des miracles.

La différence des microprocesseurs étaient telles qu’émuler un 8088 à 4,77 Mhz – en gros celui du premier IBM PC – tenait presque du miracle sur un Amiga 1200 sans aucune accélération matérielle. Quant à faire fonctionner MS-Windows 3.1, il fallait sortir la très grosse artillerie, du genre l’Amiga 4000 gonflé au maximum en mémoire vive, et encore, je ne suis pas certain 🙂

Il y avait d’autres facteurs qui rentraient en compte : l’incompatibilité des disquettes sur le plan du formatage… Bref, il fallait vraiment avoir besoin d’un logiciel n’existant pas sous Amiga. La dernière version, la 4.4 est sortie en 1997. En recherchant l’outil pour l’article, j’ai appris qu’en 2010, l’auteur l’avait libéré sous la forme d’un freeware.

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Ah, le fantasme de la récupération des macistes déçus par le monde Linux…

Un rapide jus de cerveau suite à l’officialisation du passage des machines fruitées vers une architecture ARM. NextInpact a fait un excellent résumé auquel je vous renvoie.

J’avais exprimé mes doutes sur une telle migration dans un article écrit le 21 juin 2020 dans l’après-midi. J’exprime donc ici un mea-culpa. Surtout par rapport à ce paragraphe :

Vous imaginez que des grosses boites comme Adobe vont s’amuser à porter leurs logiciels phares qui sont des gouffres à calculs sur des puces ARM ? Je n’y crois pas trop.

Apparemment, Adobe est déjà en train de migrer le code… Je n’ose pas imaginer la complexité, surtout avec des puces plus connues pour leur sobriété énergétique. Apparemment, un kit de développement est disponible avec la puce ARM maison, ce qui veut dire qu’Apple ne veut plus dépendre à terme des caprices d’Intel. Une migration qui commencerait en 2021 après le lancement de MacOS 11.0 alias Big Sur.

Mais ce ne sera pas pour autant une aubaine pour le monde linuxien. Je pense que l’on aura encore une fois le schéma du 90-9-1 qui s’était appliqué lors de la mise à mort de MS-Windows XP, puis de MS-Windows 7.

En gros, il y a 90% des macistes historiques qui feront la grimace et iront tant bien que mal vers la nouvelle architecture, en espérant que les gains annoncés soit bien au rendez-vous. 9% se diront : bon, ça me fait mal au fondement, mais je pourrais toujours utiliser mon vieux mac intel pour y mettre un MS-Windows via Bootcamp et faire tourner mes logiciels professionnels qui y existent. Le dernier pourcent ira voir dans le monde linuxien si l’herbe y est plus verte.

Surtout que d’un côté on a un pré carré où tout est taillé à la serpe pour que rien ne dépasse (Apple) et de l’autre, le bordel monstre avec 250 distributions bureautiques, une dizaine d’environnements de bureau, etc… (Linux).

Si vous entendez des personnes vous dirent que c’est une aubaine pour le monde linuxien, ignorez-les. Et en 2023, fin de la période de migration des processeurs Intel vers ARM chez Apple, on verra bien si la part de marché de Linux a explosé… Ou pas !

En vrac’ de fin de semaine :)

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt doux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂