En vrac’ de fin de semaine

Minuscule en vrac’ en cette fin septembre 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Un collègue auto-édité, Xavier Delgado, vient de rajouter une nouvelle sur son site, intitulée « Vie et Mort ». Plus d’info sur son site.

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en cette fin d’été 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

La vidéo officielle du titre « Pantha Rei » d’Aephanemer, ça dépote.

Bon week-end 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce milieu de mois de septembre 2021.

Côté informatique :

Côté culture :

Un exemple des reprises de Sershen & Zaritskaya, « Soldier of Fortune », une ballade qui m’arrache toujours une petite larme.

Bonne fin de semaine 🙂

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en ce vendredi maussade de septembre 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Ça faisait longtemps que Manjaro n’avait pas fait un partenariat étrange. Cette fois, c’est l’inclusion de Vivaldi (la surcouche de Chromium ayant le vent en poupe) dans la version Cinnamon qui est communautaire. Plus d’infos sur le communiqué de presse de Vivaldi.
  • Pour les fans de FreeBSD, GhostBSD 21.09.06 arrive avec une nouveauté majeure : l’abandon d’OpenRC au profit du rc.d natif à FreeBSD. Tiens donc… Une technologie native fonctionne mieux qu’une importée ? Comme c’est étrange !
  • Pour naviguer en toute tranquillité, Tails 4.22 est sorti.

Côté culture ?

Pour finir, voici le clip du premier extrait du deuxième album d’Altesia, « Mouth of the Sky ». Et oui, ça dépote pas mal !

Bon week-end 🙂

L’installateur automatisé d’Archlinux ? Si vous n’êtes pas anglophone…

Passez votre chemin. Depuis le mois d’avril 2021 – et non ce n’était pas un poisson d’avril – l’équipe d’Archlinux propose un installateur automatisé, basé sur Python. Il y a quelques jours, je parlais des installateurs automatisés pour Archlinux. Il ne manquait qu’Archinstall à l’appel.

J’ai pu le tester, et il souffre de plusieurs petits problèmes :

  1. Il est assez rigide au niveau du partitionnement.
  2. Les locales définies ne sont pas prises en compte à l’installation
  3. Le fuseau horaire entré n’est pas pris en compte par défaut

L’outil est intéressant mis à part cela, mais je dois dire que ce genre de limitations, inhérentes à des outils automatisées, sont un brin irritante. Surtout quand on doit les corriger en post-installation.

Mais le mieux, c’est une vidéo d’une vingtaine de minutes où je montre l’installateur en action… La vidéo aurait pu être plus longue, mais comme j’ai accès à la fibre optique, ça permet de limiter le temps d’installation 🙂

Que dire pour conclure : c’est pratique pour une installation à l’emporte-pièce, mais il lui manque la souplesse des autres installateurs dont j’avais parlé dans l’autre article. Ce sera sans moi pour le moment, en cas d’une installation à faire sur du matériel récupéré.

En vrac’ de fin de semaine

Minuscule en vrac’ en ce dernier samedi d’août 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien, la rentrée sera je l’espère un peu plus remplie. Je dois avouer que j’attends les albums de Collapse, d’Altesia et de Persona que j’ai financé durant la première moitié de l’année 2021.

Bon fin de week-end 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce dernier mercredi d’août 2021. Pas grand chose à se mettre sous la souris en ce moment.

Côté informatique :

Côté culture :

Rien, désolé, c’est une période creuse…

Une petite vidéo dans la série « tutos à la con » pour parler d’un émulateur pour ordinateurs Atari 8 bits, Altirra :

Bonne fin de semaine 🙂

Mate-Desktop 1.26, 18 mois d’attendre pour pas grand chose visible au final ?

En tant qu’ancien utilisateur de Mate-Desktop, j’attendais par curiosité l’arrivée de la version 1.26 qui se faisait attendre depuis au moins février-mars de cette année.

Elle est finalement sortie en août 2021, soit 18 mois jour pour jour après la version 1.24.

Les notes de publications sont copieuses, mais les nouveautés vraiment visibles ne sont pas franchement très nombreuses.

On sent dès le départ que la majorité du travail a été effectué dans les tripes de l’environnement. La première entrée donne le ton : Atril (le lecteur de PDF), le moniteur système, Pluma (l’éditeur de texte), Mate Terminal et d’autres composants fonctionnent avec Wayland !

Pluma s’est largement complexifié avec l’ajout des pluma-plugins qui permettent d’avoir un Emacs allegé à la sauce Mate-Desktop 🙂

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L’émulateur Vice, il devient quoi ?

Vice, c’est un des émulateurs parmi les plus complets dans le monde de la rétro-informatique, en dehors de l’émulateur de machines d’arcade Mame.

Vice, pour « Versatile Commodore Emulator » qu’on peut traduire par émulateur Commodore versatile, c’est la possibilité de reproduire le fonctionnement des ordinateurs suivants :

  1. Le Commodore Pet (1977-1982)
  2. Le Commodore Vic 20 (1980-1985)
  3. Le Commodore 64/64C (1982-1994)
  4. Le Commodore SX64 (1984-1986)
  5. Les Commodore Plus4/16/116 (1984-1985)
  6. Le Commodore 128 (1985-1989)

Et il doit me manquer encore une ou deux références. Sans oublier l’émulation des lecteurs de disquettes, de cassettes, certaines extensions mémoire… Bref, c’est le couteau suisse de l’émulation pour les ordinateurs Commodore 8 bits au point qu’il sert de base à la couche logicielle des projets comme les :

Même si la version de Vice utilisée semble être un brin vieille… Dixit le github de RetroGames Ltd…

L’émulateur a un rythme de publication plutôt lent, à savoir une version majeure par an. La denière version majeure est sortie en décembre 2020.

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Vers un abandon à terme de Mozilla Firefox ?

Je suis un utilisateur de très longue date du navigateur de la Fondation Mozilla. J’avais en septembre 2002 – p’tain, 19 ans déjà ! – utilisé le lointain ancêtre qui s’appelait alors Phoenix avant de devenir Firebird puis Firefox pour sa version 1.0 en novembre 2004.

Autant dire que côté durée d’utilisation, je suis inscrit dans la longue durée. Je me souviens de la longue maturation de Mozilla Firefox 4.0 en mars 2011 (j’avais d’ailleurs rédigé un article, supprimé par la suite), des forks plus ou moins justifié à cause de l’interface avec PaleMoon en mai 2015, ou encore la fin de vie de technologie comme XUL et XPCOM en novembre 2017 avec l’arrivée de Quantum… Bref, j’ai connu je ne sais combien de fois des gueulantes de la part des personnes censées aider le logiciel et qui l’enfonçaient comme des enfants gâtés auxquels on enlevait leur jouet préféré.

Le résultat est très net. Une perte de la masse d’utilisateurs du navigateur d’environ 50 millions de personnes, comme le précise cet article de developpez.com.

C’est la goutte d’eau qui fait presque déborder le vase en ce qui me concerne. Je suis donc en train de tester la migration vers Chromium, qui sera à terme le seul moteur de rendu, étant donné que la part de marché de Mozilla Firefox va descendre au pourcent symbolique d’ici la fin de l’année 2022 voire 2023.

Je ne fais pas ces essais de gaieté de coeur, mais simplement car j’utilise ma masse cérébrale et que j’essaye d’estimer le temps qu’il reste à vivre à un excellent navigateur desservi par une politique brouillonne et des soutiens qui jouent plus souvent dans le registre du lynchage.

J’ai quelques articles et vidéos qui montreront l’utilisation de Mozilla Firefox. La première étape a été d’importer mes données dans Chromium. J’ai aussi virer le lien du navigateur de la Fondation Mozilla de ma barre de favoris.

Je vais donc voir si la migration est faisable et surtout si je supporterai un tel changement. Si oui, il me faudra trouver un remplaçant pour Mozilla Thunderbird. Et cela, ce sera largement plus chiant.

Rendez-vous dans 15 jours pour un premier bilan ?